Laissez Shiméï me maudire, si le Seigneur le lui a ordonné.''
2-Psaume 3 : 2-3, 4-5, 6-7 (Ps 3, )
R/ Lève-toi, Seigneur ! Sauve-moi, mon Dieu ! (Ps 3 : 8 )-
-acclamation-Luc 7 : 16 Un grand prophète s’est levé parmi nous,
et Dieu a visité son peuple. alléluia.
3-évangile Marc 5 : 1-20 Esprit mauvais sors de cet homme.
4-bréviaire 1 Thessaloniciens 2 : 13—3 : 13
La foi des Thessaloniciens gloire et joie de Paul.
5--Commentaire de saint Hilaire de Poitiers sur le psaume 132.
La multitude des croyants n’avaient qu’un cœur et qu’une âme.
- -
_____________________________________-
-antienne d’ouverture-#14-psaume 47 : 10-11 Nous rappelons ton amour, Seigneur, au milieu de ton temple;
sur toute la terre ceux qui t'ont rencontré proclament ta louange :
tu es toute justice.-
Prière de Collecte- Seigneur Dieu, par l’abaissement de ton Fils, tu as relevé le monde déchu ;
donne à tes fidèles une joie sainte : tu les as tirés de l’esclavage du péché ;
fais-leur connaître le bonheur éternel. Par Jésus Christ, ton Fils, notre Seigneur,
qui vit et règne avec toi dans l’unité du Saint Esprit, Dieu,
pour les siècles des siècles. — Amen.
Prière sur les offrandes- Puissions-nous être purifiés, Seigneur, par l’offrande consacrée à ton nom ;
qu’elle nous conduise, de jour en jour, à vivre de la vie du ciel. Par le Christ notre Seigneur.
Prière sur les offrandes -Seigneur Dieu, dans ta bonté, tu donnes à tes mystères de produire leurs effets ;
nous t’en prions : que notre liturgie soit accordée à la sainteté de ces dons.
Par le Christ, notre Seigneur. — Amen.
-antienne de la communion-Deux au choix : psaume 33 : 9 Goûtez et voyez comme est bon le Seigneur,
heureux qui trouve en lui son refuge.
OU Matthieu 11 : 28 ''Venez à moi, vous tous qui peinez, vous qui êtes accablés,
dit le Seigneur, et moi, je referai vos forces. »
Prière après la communion- Comblés de si grands bienfaits, nous te supplions, Seigneur :
fais que nous en retirions des fruits pour notre salut et que jamais
nous ne cessions de chanter ta louange.
Par le Christ, notre Seigneur. — Amen.
--intro aux antiennes et prières : L'Eucharistie est le mémorial de la Pâque.
Dès la collecte nous évoquons ce mystère : ''Dieu a relevé le monde par les abaissements de son Fils'',
nous tirant ainsi ''de l'esclavage du péché''. Par la résurrection du Christ il nous a mis en route
vers ''le bonheur impérissable'' (P 1). Mais le sacrifice que Jésus a offert une fois pour toutes
est présent dans l'Eucharistie avec toutes ses virtualités de salut, et chaque fois que nous prenons
part à la table du Seigneur nous renouvelons notre insertion dans sa Pâque.
La communion nous conduit, ''jour après jour, au Royaume où nous vivrons avec lui''. (P 2).
---.
1-2 Samuel 15 : 13-14, 30; 16 : 5-13a ''Fuyons devant Absalom.
Laissez Shiméï me maudire, si le Seigneur le lui a ordonné.''
--intro : : Après le châtiment du péché de David, un nouveau drame frappe la famille du roi :
devant la révolte de son fils Absalom, David est contraint de fuir
et il est insulté par un ennemi.
-/ Shiméi fils de Guéra est de la tribu de Benjamin.
Descendant de Benjamin /-
« En ces jours-là, un messager vint annoncer à David :
-Lecture à partir de 2'12'':
''Le cœur des hommes d’Israël a pris parti pour Absalom.''
Alors David dit à tous ses serviteurs, qui étaient avec lui à Jérusalem :
''Debout, fuyons !
Autrement nous n’échapperons pas à Absalom. Vite, partez !
Sans quoi, il nous gagnera de vitesse, il nous précipitera dans le malheur
et passera la ville au fil de l’épée.''
David montait par la montée des Oliviers ; il montait en pleurant, la tête voilée ;
il marchait pieds nus. Tous ceux qui l’accompagnaient avaient la tête voilée ;
et ils montaient en pleurant. Comme le roi David atteignait Bahourim,
-Lecture à partir de 1'13'':
il en sortit un homme du même clan que la maison de Saül.
Il s’appelait Shiméï, fils de Guéra.
Tout en sortant, il proférait des malédictions.
Il lançait des pierres à David et à tous les serviteurs du roi,
tandis que la foule et les guerriers entouraient le roi à droite et à gauche.
Shiméï maudissait le roi en lui criant :
''Va-t’en, va-t’en, homme de sang, vaurien !
Le Seigneur a fait retomber sur toi tout le sang de la maison de Saül
dont tu as usurpé la royauté ; c’est pourquoi le Seigneur a remis
la royauté entre les mains de ton fils Absalom.
Et te voilà dans le malheur, car tu es un homme de sang.''
Abishaï, fils de Cerouya, dit au roi :
''Comment ce chien crevé peut-il maudire mon seigneur le roi ?
Laisse-moi passer, que je lui tranche la tête.''
Mais le roi répondit :
''Que me voulez-vous, fils de Cerouya ?
S’il maudit, c’est peut-être parce que le Seigneur lui a ordonné de maudire David.
Alors, qui donc pourrait le lui reprocher ?''
David dit à Abishaï et à tous ses serviteurs :
''Même celui qui est mon propre fils s’attaque à ma vie :
à plus forte raison ce descendant de Benjamin !
Laissez-le maudire, si le Seigneur le lui a ordonné.
Peut-être que le Seigneur considérera ma misère
et me rendra le bonheur au lieu
de sa malédiction d’aujourd’hui. »
À l'humble reconnaissance de son péché
Dieu fait miséricorde et pardonne...
---.
2-Psaume 3 : 2-3, 4-5, 6-7 (Ps 3, )
R/ Lève-toi, Seigneur ! Sauve-moi, mon Dieu ! (Ps 3 : -
—Seigneur, qu’ils sont nombreux mes adversaires,
nombreux à se lever contre moi,
nombreux à déclarer à mon sujet :
''Pour lui, pas de salut auprès de Dieu !''
—Mais toi, Seigneur, mon bouclier,
ma gloire, tu tiens haute ma tête.
À pleine voix je crie vers le Seigneur ;
il me répond de sa montagne sainte.
—Et moi, je me couche et je dors ;
je m’éveille : le Seigneur est mon soutien.
Je ne crains pas ce peuple nombreux
qui me cerne et s’avance contre moi.
----.
3--évangile Marc 5 : 1-20 Esprit mauvais sors de cet homme.
--intro : La guérison d’un possédé, racontée de façon vivante et populaire,
fait poser de nouveau le questionnement sur la personne de Jésus.
Les habitants lui demandent de quitter leur région,
tandis que le miraculé est invité par Jésus à y proclamer
ce que Dieu a accompli en sa faveur.
« En ce temps-là, Jésus et ses disciples arrivèrent sur l’autre rive,
de l’autre côté de la mer de Galilée, dans le pays des Géraséniens.
Comme Jésus sortait de la barque, aussitôt un homme possédé d’un esprit impur
s’avança depuis les tombes à sa rencontre ;
il habitait dans les tombeaux et personne
ne pouvait plus l’attacher, même avec une chaîne ;
en effet on l’avait souvent attaché avec des fers aux pieds et des chaînes,
mais il avait rompu les chaînes, brisé les fers, et personne ne pouvait le maîtriser.
Sans arrêt, nuit et jour,
il était parmi les tombeaux et sur les collines, à crier, et à se blesser avec des pierres.
Voyant Jésus de loin, il accourut, se prosterna devant lui
et cria d’une voix forte :
''Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu Très-Haut ?
Je t’adjure par Dieu, ne me tourmente pas !''
Jésus lui disait en effet :
''Esprit impur, sors de cet homme !''
Et il lui demandait :
—''Quel est ton nom ?''
L’homme lui dit :
— ''Mon nom est Légion, car nous sommes beaucoup.''
Et ils suppliaient Jésus avec insistance de ne pas les chasser en dehors du pays.
Or, il y avait là, du côté de la colline, un grand troupeau de porcs
qui cherchait sa nourriture.
Alors, les esprits impurs supplièrent Jésus :
— ''Envoie-nous vers ces porcs, et nous entrerons en eux.''
Il le leur permit. Ils sortirent alors de l’homme et entrèrent dans les porcs.
Du haut de la falaise, le troupeau se précipita dans la mer :
il y avait environ deux mille porcs, et ils se noyaient dans mer.
Ceux qui les gardaient prirent la fuite,
ils annoncèrent la nouvelle dans la ville et dans la campagne, et
les gens vinrent voir ce qui s’était passé.
Ils arrivent auprès de Jésus, ils voient le possédé assis, habillé,
et revenu à la raison, lui qui avait eu la légion de démons,
et ils furent saisis de crainte.
Ceux qui avaient vu tout cela leur racontèrent l’histoire du possédé
et ce qui était arrivé aux porcs.
Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire.
Comme Jésus remontait dans la barque,
le possédé le suppliait de pouvoir être avec lui.
Il n’y consentit pas,
mais il lui dit :
''Rentre à la maison, auprès des tiens, annonce-leur
tout ce que le Seigneur a fait pour toi dans sa miséricorde.''
Alors l’homme s’en alla, il se mit à proclamer dans la région de la Décapole
ce que Jésus avait fait pour lui, et tout le monde était dans l’admiration. »
---.
--Intro au bréviaire:
Toute la 4e semaine au bréviaire nous lisons la 1 et 2 des lettres aux Thessaloniciens :
-intro générale au bréviaire : Les deux Lettres de Paul aux chrétiens de Thessalonique…
Les deux lettres que Paul adressa aux chrétiens de THESSALONIQUE, sans doute en 51,
présentent un intérêt exceptionnel.
Elles ne sont pas seulement les premières lettres écrites par Paul,
mais même absolument les premiers écrits chrétiens compilés
dans leur forme définitive. Elles nous révèlent les conditions d'existence
et les problèmes des jeunes communautés chrétiennes immergées
dans un monde païen tout au début de la mission dans le monde grec.
Elles nous livrent aussi les premières confessions de foi.
La situation qu'elles nous font connaître n'est pas sans analogie
avec celle qui devient la nôtre.
Les chrétiens se trouvent dispersés dans un monde qui les ignore
et qui ne fait pas sien l'idéal qui les anime.
Convertis de fraîche date, ces chrétiens demeurent fragiles et leurs mœurs
ne sont pas toujours au niveau de leur enthousiasme.
Paul ne cache pas son inquiétude : maintenant qu'il n'est plus parmi eux,
les chrétiens de Thessalonique tiendront-ils ?
''Pourvu que le tentateur ne vous ait pas tentés
et que notre labeur n'ait pas été rendu vain.'' (1 Th. 3' 5).-
S'il nous est facile de comprendre la situation de cette jeune Église,
en revanche les problèmes qui l'agitent, les questions qu'elle se pose,
nous déconcertent. Ces chrétiens vivaient dans une attente fiévreuse
du retour du Christ qu'ils croyaient imminent.
Dès lors, ils ne se souciaient plus guère des problèmes monde
et certains en venaient même à négliger leur tâche professionnelle.
Ils se demandaient par contre si les membres de la communauté décédés
avant le retour du Christ seraient ou non exclus du Royaume,
comment eux-mêmes viendraient au-devant du Christ, etc.
Paul espère, lui aussi,(questionnement nécessaire
et l'appel à se tenir toujours prêts pour...)
dans le retour prochain du Christ.
Aussi les exhorte-t-il à la vigilance, car ''le Seigneur viendra comme un voleur''.
Mais il ne partage pas leur attente fiévreuse et,
constatant les déviations où elle les entraîne,
il s'efforce dans sa seconde lettre de tempérer leur excitation
et de les ramener à plus de mesure.
Il leur rappelle donc que les signes précurseurs du retour du Christ
ne sont pas encore tous réalisés.
Entre une trop grande attention au monde dont ''la figure passera''
et une attente fiévreuse du dernier jour, un équilibre est peut-être difficile à trouver ;
les deux lettres de Paul aux Thessaloniciens peuvent sans doute y contribuer.
---.
4-bréviaire 1 Thessaloniciens 2 : 13—3 : 13 La foi des Thessaloniciens,
gloire et joie de Paul.
« 13 Et voici pourquoi nous ne cessons de rendre grâce à Dieu :
quand vous avez reçu la parole de Dieu que nous vous faisions entendre,
vous l’avez accueillie pour ce qu’elle est réellement,
non pas une parole d’hommes,
mais[size=16] la parole de Dieu qui est à l’œuvre en vous, les croyants.[/size]
14 En effet, frères, vous avez imité les Églises de Dieu
qui vivent en Judée dans le Christ Jésus,
parce que vous avez souffert
de la part de vos compatriotes
de la même manière qu’elles ont souffert de la part des ju.ifs.
15 Ceux-ci ont tué le Seigneur Jésus et les prophètes, et nous ont persécutés ;
ils déplaisent à Dieu ; ils sont les adversaires de tous les hommes,
16 puisqu’ils nous empêchent de proclamer
la Parole aux païens
pour qu’ils soient sauvés ;
cela met sans cesse un comble à leurs péchés.
Mais, à la fin, la colère de Dieu les a rejoints.
17 Quant à nous, frères, séparés de vous pour un temps – de visage mais non de cœur –
nous avons tout fait pour revoir votre visage, tellement nous en avions le désir.
18 Nous avons donc voulu aller chez vous – moi, Paul,
j’ai essayé une fois, même deux fois –
mais Satan nous en a empêchés.
19 En effet, qui est notre espérance ?
Qui est notre joie et la couronne dont nous serons fiers devant
notre Seigneur Jésus lors de sa venue ?
N’est-ce pas vous ?
20 Oui, c’est vous qui êtes notre gloire et notre joie.
3: 1 C’est pourquoi, n’y tenant plus, nous avons préféré rester
seuls à Athènes, Sylvain et moi,
2 et nous vous avons envoyé Timothée, notre frère,
collaborateur de Dieu pour l’annonce de l’Évangile du Christ.
Il devait vous affermir et vous réconforter dans votre foi,
3 afin que personne ne soit ébranlé dans les détresses actuelles,
car vous savez bien, vous-mêmes, que nous y sommes exposés.
4 En effet, quand nous étions chez vous, nous vous annoncions
que la détresse devait nous atteindre,
et c’est ce qui est arrivé, vous le savez bien.
5 Voilà pourquoi, n’y tenant plus, j’ai envoyé quelqu’un --------
l'Église mandate
toujours ses envoyés
irrécusablement depuis les tout débuts...
Personne ne peut produire
l'enseignement
s'il n'est attaché à la tête.
pour savoir où en était votre foi,
de peur que peut-être le Tentateur ne vous ait tentés,
et que notre peine ne soit perdue.
6 Or Timothée vient de nous arriver de chez vous,
et il nous a apporté la bonne nouvelle de votre foi et de votre charité ;
il nous a dit que vous gardez toujours un bon souvenir de nous,
et que vous avez le très vif désir de nous revoir,
comme nous l’avons à votre égard.
7 C’est pourquoi, frères, nous sommes réconfortés grâce à vous
au milieu de toutes nos difficultés et de notre détresse, à cause de votre foi.
8 Et maintenant nous revivons, puisque vous autres, vous tenez bon dans le Seigneur.
9 Comment pourrions-nous assez rendre grâce à Dieu à votre sujet,
pour toute la joie que nous avons à cause de vous devant notre Dieu ?
10 Nous le prions avec ardeur, jour et nuit,
pour que nous puissions revoir votre visage
et compléter ce qui manque à votre foi.
11 Que Dieu lui-même, notre Père, et que notre Seigneur Jésus
nous tracent le chemin jusqu’à vous.
12 Que le Seigneur vous donne, entre vous
et à l’égard de tous les hommes,
un amour de plus en plus intense et débordant,
comme celui que nous avons pour vous.
13 Et qu’ainsi il affermisse vos cœurs, les rendant irréprochables en sainteté
devant Dieu notre Père, lors de la venue de notre Seigneur Jésus
avec tous les saints. Amen. »
---.
5--Commentaire de saint Hilaire de Poitiers sur le psaume 132.
La multitude des croyants n’avaient qu’un cœur et qu’une âme.
« Qu'il est bon, qu'il est joyeux pour des frères d'habiter ensemble !
Il est bon et joyeux pour des frères d'habiter ensemble
parce qu'en habitant le même lieu, ils forment un groupement d'Église ;
on les appelle frères, parce qu'ils sont d'accord
par la charité qui leur donne un seul vouloir.
Nous savons que ce grand précepte s'est réalisé
au début de la prédication des Apôtres,
puisque nous pouvons lire :
Tous ceux qui avaient adhéré à la foi avaient
un seul cœur et une seule âme.
Ainsi convenait-il au peuple de Dieu d'être des frères ayant un seul Père,
de ne faire qu'un par un seul Esprit,
de vivre unanimes dans une seule maison, d'être les membres d'un seul corps.
Il est bon et joyeux pour des frères d'habiter ensemble.
Le Prophète présente ce bien et cette joie en donnant une comparaison :
On dirait un baume précieux qui descend de la tête d'Aaron sur sa barbe,
qui descend jusqu'au bord de son vêtement.
Le baume d'Aaron, employé pour sa consécration sacerdotale,
était composé de divers parfums.
Dieu a voulu que cette consécration fût d'abord accordée à son grand prêtre,
et le psaume dit que notre Seigneur aussi fut consacré
d'une onction invisible de préférence à ses compagnons.
Car cette onction n'est pas terrestre,
elle n'emploie pas de l'huile contenue dans une corne,
comme pour l'onction des rois, mais de l'huile d'allégresse.
Après cette onction, Aaron fut appelé selon la loi ''Christ'', c'est-à-dire « oint ».
De même que cette onction, lorsqu'elle est donnée à un homme,
détruit les aspirations impures du cœur, ainsi par l'onction de la charité,
nous respirons la concorde qui est déjà délicieuse pour Dieu.
Comme dit l'Apôtre :
Nous sommes la bonne odeur du Christ.
De même que Dieu a d'abord pris plaisir aux parfums qui consacrèrent le prêtre Aaron,
ainsi est-il bon et joyeux pour des frères d'habiter ensemble.
Le baume descend de la tête sur la barbe.
La barbe caractérise l'âge viril.
Et nous ne devons pas être des tout-petits dans le Christ,
sinon, comme on l'a dit, de petits enfants pour le mal, non pour le jugement.
L'Apôtre déclare que tous les incroyants sont de petits enfants,
car ils sont trop faibles pour prendre une nourriture solide,
ils ont besoin de lait :
C'est du lait que je vous ai fait boire, non de la nourriture solide :
vous ne l'auriez pas supportée,
mais vous ne la supporteriez pas davantage aujourd'hui. »
----.
À suivre.