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par jeune laïc italien (1963)
- 10 juillet 2020, publication du décret reconnaissant les vertus héroïques du serviteur de Dieu italien Angiolino Bonetta, fidèle laïc de l'association des Ouvriers silencieux de la Croix, né le 8 septembre 1948 à Cigole en Italie, et mort dans cette même ville le 28 janvier 1963.
- décret en italien
A l'âge de onze ans, Angiolino Bonetta a commencé à boiter parce qu'il avait une douleur intense à la jambe droite. Des tests ont révélé un ostéosarcome du tibia. Après cinq hospitalisations, le 2 mai 1961, il subit une amputation de la jambe. Au cours de sa convalescence, il découvre le Centre des Volontaires des Souffrances fondé par le bienheureux Luigi Novarese et adhére pleinement à la spiritualité proposée, s'engageant à offrir ses souffrances et à être apôtre parmi d'autres malades.
Le 21 septembre 1962, Angiolino devient associé des Travailleurs Silencieux de la Croix. Une vingtaine de jours plus tard, il est de nouveau hospitalisé, mais le traitement est inefficace. Il meurt chez lui à Cigole le 28 janvier 1963.
Depuis l'enfance, Angiolino Bonetta a permis à sa vie d'être illuminée par la foi, il l'a nourrie de l'Eucharistie et d'une prière intense. Pendant sa maladie, le sens de la présence de Jésus et la force de la prière se sont intensifiés, recourant à la Vierge Marie. La vertu de l'espérance, qui était l'âme de son acceptation de la maladie, se dirigeant tout entière vers la rencontre avec Dieu, est apparue dès le plus jeune âge, dans le caractère joyeux qui le distinguait. La vertu de la charité envers Dieu et le prochain s'est révélée dans l'oblation de la vie, ainsi que dans le rôle qu'il a réservé à la prière qui lui a donné le courage d'être un témoin de Dieu, en particulier parmi les autres malades. Lorsqu'il a été hospitalisé, il a réconforté ses compagnons avec la parole et la prière.
C'était un jeune homme sincère, sincère et loyal, fort dans la lutte contre la maladie, maintenant une héroïque tranquillité extérieure et intérieure.
C'est un magnifique exemple à proposer pour la joie de son existence vivifiée par la foi tout en étant marquée par la douleur, et aux malades.
En italien:
- Centro volontari della soffrenza (Centre des Volontaires des Souffrances)
- Angiolino Bonetta
- décret en italien
A l'âge de onze ans, Angiolino Bonetta a commencé à boiter parce qu'il avait une douleur intense à la jambe droite. Des tests ont révélé un ostéosarcome du tibia. Après cinq hospitalisations, le 2 mai 1961, il subit une amputation de la jambe. Au cours de sa convalescence, il découvre le Centre des Volontaires des Souffrances fondé par le bienheureux Luigi Novarese et adhére pleinement à la spiritualité proposée, s'engageant à offrir ses souffrances et à être apôtre parmi d'autres malades.Le 21 septembre 1962, Angiolino devient associé des Travailleurs Silencieux de la Croix. Une vingtaine de jours plus tard, il est de nouveau hospitalisé, mais le traitement est inefficace. Il meurt chez lui à Cigole le 28 janvier 1963.
Depuis l'enfance, Angiolino Bonetta a permis à sa vie d'être illuminée par la foi, il l'a nourrie de l'Eucharistie et d'une prière intense. Pendant sa maladie, le sens de la présence de Jésus et la force de la prière se sont intensifiés, recourant à la Vierge Marie. La vertu de l'espérance, qui était l'âme de son acceptation de la maladie, se dirigeant tout entière vers la rencontre avec Dieu, est apparue dès le plus jeune âge, dans le caractère joyeux qui le distinguait. La vertu de la charité envers Dieu et le prochain s'est révélée dans l'oblation de la vie, ainsi que dans le rôle qu'il a réservé à la prière qui lui a donné le courage d'être un témoin de Dieu, en particulier parmi les autres malades. Lorsqu'il a été hospitalisé, il a réconforté ses compagnons avec la parole et la prière.
C'était un jeune homme sincère, sincère et loyal, fort dans la lutte contre la maladie, maintenant une héroïque tranquillité extérieure et intérieure.
C'est un magnifique exemple à proposer pour la joie de son existence vivifiée par la foi tout en étant marquée par la douleur, et aux malades.
En italien:
- Centro volontari della soffrenza (Centre des Volontaires des Souffrances)
- Angiolino Bonetta
« Ils disent que nous sommes de pauvres malades et nous sommes plutôt les plus riches du monde. »
