Message de Dieu le Père donné à son instrument la Fille du Oui à Jésus le 10 Septembre 2016 : La paix, source de guérison
Jésus : JE SUIS est avec toi. Ma fille, tu es à mon Père. Ce qu’il t’a donné au petit matin n’appartient qu’à lui. Tu es à lui, tu ne peux t’appartenir. Lorsqu’il t’a donné la vie, il a mis en toi son amour, et tu as été en ma Chair visible, toi et tous ceux que mon Père a voulu : ses enfants visibles. Ma joie est en toi. Va, écris ce que Dieu t’a donné pour eux.
Dieu le Père : Mon enfant, c’est pour toi qui lis que je fais écrire ce message d’amour. Par ma voix, en cette enfant, moi, ton Père, je te fais connaître ma Volonté. Bien que plusieurs ne croient pas qu’elle entend la voix de Dieu, toi qui crois en ma Volonté, sache que c’est moi qui te donne cette grâce de croire. Rien ne vient de toi, tout est de moi. Je suis Dieu et en moi tout est. Sois tout effacé, c’est ainsi que je te veux : tout à moi, que pour moi.
Je t’aime, mon enfant. Ce qu’elle a entendu était pour toi et pour d’autres. Vous êtes si nombreux à vivre dans la souffrance, qu’elle soit morale, physique ou affective, une souffrance, c’est lourd de conséquences. Aisés, pauvres ou riches, la souffrance frappe tout le monde. À chacun de venir vers moi.
Tu m’as demandé avec la puissance du Saint-Esprit de venir à ton aide. Ces mots que l’instrument a entendus ne venaient pas d’une enfant qui se garde dans sa volonté, mais dans ma Volonté.
Voilà pourquoi cela te semblera être pour toi. Mes paroles prononcées, tu les avais en toi. En ce moment, tu lis et tu as l’impression que les mots sortent de toi. Sache que cela est du Saint-Esprit, c’est ton abandon en ma Volonté qui agit. Continue à être ainsi, et tu pourras comprendre ce que je te donne.La vie est en toi et elle ne t’appartient que par moi. Dès ta création, je t’ai donné ma Volonté. Des millions, des millions et des millions d’années, tu étais en moi. Ma perfection émanait de moi pour toi, tous mes biens célestes et mes biens matérialisés n’étaient que pour toi. Il n’a fallu qu’un instant éternel pour que tu ressentes un vouloir. Moi, Dieu, je savais ce qui était pour être en toi depuis ta création. Rappelle-toi que je suis l’Amour Inconditionnel, et l’amour se donne, se donne et se donne.
Mon amour en ma pensée pour toi était si fort que l’Éternel qui est moi voulut de toi, voulut de toi et encore, et encore, et encore voulut de toi. Dans mon Être éternel, je savais aussi que ton désir de revenir à moi était pour être plus fort que ton vouloir. Ton petit vouloir s’est fait connaître à toi par ton besoin de venir en aide à ton frère Adam, mais en passant devant moi qui suis la Vie Éternelle : la Divine Volonté. Enfant de la Divine Volonté, tu avais ta place auprès de moi, ce que tu as perdu une fois sur terre! Mon amour ne pouvait être loin de toi : je t’ai envoyé mon Fils. C’est mon Fils bien-aimé qui t’a redonné ta place en ma sainte Volonté.
Toi et tes frères et sœurs reconnaissez que vous êtes tous sortis de ma Volonté pour entrer dans votre volonté, sauf ma Fille bien-aimée Marie, la Vierge conçue sans péché. La petite Marie a été, est et sera toujours fidèle à Dieu, pas aux hommes, voilà pourquoi elle n’a jamais connu la tache originelle. Elle a été créée comme toi et tous tes frères et sœurs. L’humble Marie a été créée au même moment que vous tous.
Purs vous étiez, purs vous êtes redevenus, par mon Fils. Il est important de comprendre que l’humble Marie est venue sur la terre sans la tache originelle, sans sa propre volonté. Parce qu’elle était toujours dans ma Volonté, elle a été choisie pour être la Mère de mon Fils Jésus. Aujourd’hui, les enfants qui veulent faire ma Volonté sont capables de croire sans voir, et cela ne vient pas d’eux, de Dieu seul. Ma Volonté est puissante, et seule ma Volonté a donné foi en cette révélation : ‘Marie est l’Immaculée Conception depuis toute éternité’.
Mon enfant, vous ne portiez en vous aucun mal lorsque vous étiez en mon Fils, c’est lorsque vous êtes venus sur la terre, au moment où vous avez passé par le sein de votre maman, que vous avez connu la honte de la tache originelle en votre âme. Dieu n’a pas le mal en lui, donc je ne donne pas ce que je n’ai pas en moi. La tache originelle, c’est la désobéissance à ma Volonté.
Tu comprends maintenant l’importance de ce que je te dis : avant de venir sur la terre, tout enfant créé était en Dieu et il était parfait spirituellement et corporellement, et son intelligence était humble. Sur terre, le corps comme la pensée sont faillibles. Bien que je savais que vous étiez pour être malades, je vous ai envoyés en mission, par amour, avec ma puissance d’amour. Chaque instant de votre vie vient à moi pour me présenter vos actes de vie : le temps c’est vivant, c’est l’éternité, c’est ma Divine Volonté.
Voilà pourquoi personne ne vient sur la terre au moment où, lui, il le veut. Je t’ai envoyé sur la terre avec ma perfection, en sachant que ton corps était pour ressentir les imperfections des enfants de Dieu qui sont venus sur la terre avant toi; c’est pourquoi mon amour a été jusqu’à faire naître mon Fils sur la terre par amour pour toi et les autres afin de vous aider à vivre vos souffrances avec mes grâces.
J’ai tout pouvoir : celui de rendre ton corps parfait, mais apprendrais-tu à aimer qui tu es tel que tu es, toi qui as passé ta volonté avant ma Volonté? À Dieu de te montrer l’amour que tu es pour moi, pour toi-même et pour tous ceux qui ont été créés au même moment que toi. Crois en ces mots avec ta chair faible à cause de ta volonté. Tout est de Dieu, tout est en Dieu et tout est pour Dieu, c’est ma Volonté.
Ma Volonté est éternelle. Elle était, elle est et elle sera. Vous êtes créés ainsi : vous étiez, vous êtes et vous serez, telle est ma Volonté. Voilà pourquoi il est écrit «Créons l’homme à notre Image». Ces mots ont été prononcés dans le temps éternel, non dans votre temps; ils se sont écrits pour vous afin que vous sachiez de qui vous êtes, en qui vous êtes et pour qui vous êtes. Je m’ouvre à toi, mon enfant, pour te faire comprendre ma Volonté et ma Volonté est éternelle. Ma Volonté est de te faire lire ce qui sera bon pour toi et mes enfants.
La vie est de moi, elle a été déposée en chacun par mon Vouloir. Ce qui est en chacun de vous est éternel, est pur et est sans faiblesse : il est très important de méditer ces mots, car ils sont puissants. Les maladies que vous connaissez viennent à vous par la faiblesse des hommes qui ne font pas ma Volonté, mais leur volonté qui est prisonnière entre les griffes du pouvoir du mal.
Mon enfant, tu as en toi la connaissance du bien et la connaissance du mal, c’est ce qui vous a tous rendus faibles. Il est de toi et de mes enfants de saisir que ces connaissances qui sont en vous le sont par votre propre choix : ce choix a été de passer votre volonté en avant de ma puissance. Adam et Ève se sont maintenus faibles devant la tentation, et leur faiblesse est devenue votre faiblesse, et cela est en vous, et parce que cela est en vous, vous ouvrez une porte au mal.
À toi et à eux de comprendre qu’une porte, c’est quelque chose qui s’ouvre ou qui demeure fermé. En chacun de vous vous avez une volonté et cette volonté a le pouvoir, par la vie, d’ouvrir votre intérieur à ce qui est extérieur, telle une porte. La personne qui, par sa volonté humaine, ouvre sa porte intérieure, elle reçoit chez elle ce qui était à l’extérieur. Est-ce qu’elle savait ce qui était de l’autre côté de la porte? Non, ce n’est qu’une fois à l’intérieur qu’elle l’a su.
Mon enfant, apprend à être docile, la docilité te conduit à l’abandon, et l’abandon à vivre ma Volonté. Ma Volonté, c’est l’amour et être amour pour moi, c’est être fidèle à l’amour que j’ai déposé en toi et en chacun de tes frères et sœurs, et qui est une puissance de vie. Mon amour inconditionnel nourrit votre amour conditionnel lorsque vous faites ma Volonté. Tu sais que l’amour est libre. C’est en lisant ce mot ‘libre’ que toi et tes frères et sœurs pouvez entrer dans ce qui vous est nécessaire de comprendre pour vous protéger de vous-mêmes.
La liberté, vous l’avez par l’amour qui est en vous. Moi, Dieu le Père, je n’interviens pas dans votre vie lorsque vos choix sans amour sont contre vous; ce n’est que lorsqu’ils sont amour que je le fais. Sache qu’à l’instant où ta volonté rencontre ma Volonté, il n’y a plus deux volontés, il n’y a qu’une Volonté, et c’est la mienne. Uniquement ma Volonté puisque je t’ai créé avec ma Volonté, donc une Volonté : la mienne qui devient la Nôtre.
Reconnais, mon enfant, que tout en toi est ma Volonté, bien que tu aies ta propre volonté. L’amour conditionnel est ton amour et l’amour inconditionnel est mon amour, et lorsque tu fais ma Volonté par amour, il n’y a plus deux volontés, mais une seule : ma Volonté, la mienne qui a enveloppé ta volonté pour prendre toute la place. Cela ne peut être que par la liberté que te donne l’amour.
Comprends-tu que la liberté a sa puissance? Il faut entrer dans cette lumière qui vous est révélée. Depuis longtemps les êtres humains n’ont fait que leur volonté en utilisant leur liberté, ce qui a fait naître dans leur vie au quotidien de la souffrance physique, morale et spirituelle, puisqu’ils se sont servis de leur liberté au détriment de leur amour envers eux-mêmes. Ils ont développé des inquiétudes, des anxiétés, des doutes, des malaises, des contrariétés, des négations, etc., ce qui a empiré leurs souffrances et cela a si endommagé leur vie quotidienne qu’ils ont créé des affrontements, des rancœurs, des intimidations, des insultes, des jugements, des désappointements, des découragements et combien d’autres souffrances, et tout cela face à eux-mêmes.
Mon enfant, lorsque les enfants créés avec ma Volonté ne font pas ce qui est bon pour eux-mêmes, la porte fermée en eux s’ouvre et s’ouvre et encore s’ouvre vers l’extérieur et ce qui est déjà entré et ce qui entre n’apportent pas de l’amour venant d’eux-mêmes et venant du prochain, mais des souffrances venant d’eux-mêmes et de tous ceux qui se donnent des souffrances. Qui vous a montré à être contre vous? C’est la connaissance du mal en vous. Et qui a réussi par ruse à faire entrer en vous cette connaissance? Satan.
La connaissance du bien et la connaissance du mal sont deux connaissances qui vous habitent. Elles sont toujours en combat : votre volonté contre votre volonté. Oui, mon enfant, il y a deux connaissances en toi et lorsque ta volonté n’est pas dans la paix et l’amour, elle est dans la connaissance du mal et, elle, elle te fait ressentir sa présence. Même si tu refuses de goûter au mal, elle est là présente en toi pour te faire souffrir. Mon enfant, ta souffrance est causée par des inquiétudes, des anxiétés, des doutes, des malaises, des contrariétés, des négations, etc. en toi, car lorsque tu es dans cet état, il y a des mouvements qui t’agitent et te font connaître un pouvoir : celui du mal. Le mal en toi prend son pouvoir sur ta vie, et il gère tout ce qui est en toi dans le but de te faire souffrir et encore souffrir.
N’ai-je pas dit «N’allez pas vers ce qui est contre vous : l’arbre de la connaissance»? En allant vers la connaissance défendue, il vous est arrivé un grand malheur : la connaissance de la mort. Pour connaître la mort, le corps passe par la souffrance et c’est là que la connaissance du bien et du mal se livre un combat : la vie ou la mort. Pour que cela se fasse connaître sur la terre, le corps apprend, par ses propres choix, à se livrer bataille : le bien ou le mal. Vous-mêmes vous mettez votre corps en danger de défaite et votre corps aussi à l’intérieur se met dans une situation de danger.
Toi, mon enfant, et ceux qui sont venus sur la terre depuis le début n’avez pas été créés pour le combat, vous êtes des enfants d’amour, donc des enfants de paix. Vous êtes conçus pour vivre dans la paix, ainsi est créé votre corps. L’être humain a besoin de paix pour vivre sur la terre avec un corps en santé. Lorsque tu n’es pas dans ta paix, il y a en toi des mouvements contraires à l’amour. Tu es amour et tu as besoin de toi : être toi-même pour être amour.
Sache que lorsqu’il y a de l’agitation, tout ton corps à l’intérieur ne peut connaître sa paix : ce qu’il ressent, ce sont des mouvements qui le perturbent et cela le met en état d’alarme. Il ne peut faire son œuvre : te faire ressentir ton bien-être, ton harmonie, ta force et ton état de paix et de joie nécessaires pour guérir.
Toi et ceux qui sont dans cet état d’agitation développez des lacunes et parce qu’il y a en vous de l’ignorance face à ce que vous ressentez, vous vous motivez en prenant ce qui vient de l’extérieur et qui vous agite à nouveau; ce qui force votre corps à réagir, et vous attendez les effets positifs qui doivent vous aider à retrouver votre état normal. Mais ce qui est normal en vous ne répond pas à ce qui est entré et qui agresse vos organes vitaux.
Votre corps a été créé pour l’amour non pour l’exploitation. Votre intérieur n’est pas une machine qui fonctionne par gravité, par pression et par modification, votre intérieur vous donne ce qui vient de lui-même : un bien-être. Oui, il veut ‘être’ pour que vous ressentiez qui vous êtes : un être de paix afin d’être bien avec vous-mêmes.
Comment ne pas saisir l’importance de la paix dans ton quotidien, lorsque tu es sous l’effet des agresseurs qui sont en toi. Qui sont ces agresseurs? Tout ce qui est entré en toi par la peur : peur de la maladie, de la douleur, de la mort, etc. Mais tout cela n’est pas apparu instantanément dans ta vie.
Pense à tout ce que tu aurais voulu être, à tout ce que tu aurais voulu pour toi-même et à tout ce que tu aurais voulu pour les tiens, et tu comprendras que tout ce que tu as réussi à faire : c’est de te mettre dans un état d’alarme. Déceptions sur déceptions t’ont amené à connaître des malaises inexplicables. C’est la connaissance du mal qui habite ton corps, depuis si longtemps, qui t’amenait à vouloir gérer ta vie et celle des autres. À chaque échec, ton corps semblait perdre des forces. C’est avec acharnement que tu cherchais à bâtir ton bonheur, et pendant ce temps ta paix intérieure ne semblait plus être de la course.
Oui, tu voyais bien que ton caractère était changeant. Ta joie, il fallait que tu l’obtiennes au prix de ton vrai bonheur, la vie familiale et tes journées se nourrissaient de vain espoir : ‘oui un jour ça changera’. À chaque fois que tu perdais ta paix, cela empirait : tes paroles face à toi-même et face aux autres devenaient anodines, et tes souffrances morales, physiques et de cœur devenaient si lourds à vivre. Avec le temps, ton corps t’a montré son épuisement : fatigue quotidienne, manque de force face aux maladies, douleurs physiques constantes, état dépressif et sentiments contrôleurs. Tout cela a entraîné ta vie dans des remous si profonds qu’aujourd’hui ton corps entier connaît les conséquences de ton manque de paix : ‘Mon Dieu, viens-t’en, ce monde s’écroule. À quoi servent tous ces efforts, tout ce que je vois, c’est la discorde partout.’
Je te le dis garde ta paix et aie la foi envers ma puissance : ma Volonté. Je suis l’Éternel à moi de t’apporter ce que tu as besoin en toi : la paix. C’est dans la paix que toi et tes frères et sœurs allez retrouver vos forces que vous avez besoin pour guérir.
. Crois en mes paroles; je vous ai envoyé mon Fils pour arracher le mal de vos actes de vie sans amour afin qu’ils redeviennent des actes de vie d’amour.
Mon amour est inconditionnel, mon enfant, comprends que je t’aime tel que tu es. Moi, ton Père, je t’apporte ce dont tu as besoin pour vivre dans la paix malgré la connaissance du bien et du mal que tu avais choisie. Il ne faut pas oublier l’amour qui est demeuré en toi. Cet amour devenu conditionnel a une force, et c’est en restant dans la paix que tu ressentiras ta force pour éviter de retomber dans la même erreur : ta volonté qui se livre toujours un combat : ma volonté, pas ta volonté; non, ta volonté n’est pas ma volonté : volonté contre volonté. Ta volonté n’est pas ma Volonté, seule ma Volonté est puissante et seule ma Volonté est paix.
Ceux qui me demanderont des grâces, en passant par l’humble Marie qui amènera tout à mon Fils pour que lui vienne à moi, obtiendront une force d’amour envers eux-mêmes pour faire ma Volonté.
Ils vivront de paix, et des peurs il n’y en aura plus, des inquiétudes il n’y en aura plus, des anxiétés il n’y en aura plus, des doutes il n’y en aura plus, des désappointements il n’y en aura plus, des maladies il n’y en aura plus; c’est par la paix que tout s’harmonisera, que tout se donnera et que tout se transformera pour ne connaître que l’amour. Je suis l’Amour.
Que tous ceux qui s’aiment aiment qui ils sont dans la paix, la joie et l’ordre, car il y a un ordre de vie sur la terre : bien vivre pour vivre avec les autres heureux. Tout a commencé le jour où la porte du Cœur de mon Fils s’est ouverte et tout commence le jour où la porte de votre cœur ne s’ouvre qu’au bien.Papa du Ciel.
Provenant du site :Myriamir