4 août 2016
En chiffres. Ce que l’Église catholique fait de ses « richesses »
Certes, l’Église brasse des sommes absolument faramineuses. Mais elle les utilise pour soutenir plus d’œuvres sociales dans le monde entier que toute autre institution.
« L’Église catholique est riche et n’a pas besoin d’argent ». Une opinion que l’on retrouve sur Internet, mais fréquemment aussi dans des conversations mondaines, voire dans les milieux professionnels, avec ce sujet qui revient inévitablement sur le tapis : les « richesses de l’Église ». Les commentaires sur la question relèvent souvent de la simple ignorance. Qu’en est-il vraiment ? Prenons, par exemple, le cas de la Banque du Vatican, « la plus puissante de la planète », a-t-on entendu dire plus d’une fois. C’est pourtant faux : il s’agit de l’ICBC, la Banque industrielle et commerciale de Chine, suivie par la Wells Fargo, des États-Unis.
Suite de l'article en entier : En chiffres. Ce que l’Église catholique fait de ses « richesses »
par Daniel R. Esparza
En chiffres. Ce que l’Église catholique fait de ses « richesses »
Certes, l’Église brasse des sommes absolument faramineuses. Mais elle les utilise pour soutenir plus d’œuvres sociales dans le monde entier que toute autre institution.
« L’Église catholique est riche et n’a pas besoin d’argent ». Une opinion que l’on retrouve sur Internet, mais fréquemment aussi dans des conversations mondaines, voire dans les milieux professionnels, avec ce sujet qui revient inévitablement sur le tapis : les « richesses de l’Église ». Les commentaires sur la question relèvent souvent de la simple ignorance. Qu’en est-il vraiment ? Prenons, par exemple, le cas de la Banque du Vatican, « la plus puissante de la planète », a-t-on entendu dire plus d’une fois. C’est pourtant faux : il s’agit de l’ICBC, la Banque industrielle et commerciale de Chine, suivie par la Wells Fargo, des États-Unis.
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par Daniel R. Esparza