Mardi 28 mars 2017
En pleine restauration du tombeau du Christ, les engins ultramodernes d'un groupe de scientifiques sont tombés en panne simultanément. Ils n'en revenaient pas tant la situation était « inexplicable ».
La restauration du Saint-Sépulcre doit être un moment privilégié dans la carrière d'un scientifique. Imaginez alors ce qu'ont vécu la professeure Antonia Maro et son équipe, après avoir assisté à un phénomène « que l'on ne peut expliquer ».
La scène a été relatée dans l'émission 13h15 le dimanche, diffusée sur France 2 le dimanche 26 mars. L'été dernier, plusieurs scientifiques ont restauré le tombeau de Jésus-Christ, situé à l'intérieur de l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem. Le 26 octobre 2016, l'entreprise de restauration prend une tournure encore plus historique : le tombeau est ouvert pour la première fois depuis 200 ans.
Antonia Maro, ingénieure-chimiste, est présente. Son équipe est en plein travail. Inexplicablement. D'un coup, leurs engins, ultra sophistiqués, qui servent à renforcer la structure en mauvais état, tombent en panne. Subitement. Les scientifiques n'en reviennent pas. « Je ne peux vous en dire plus, confie la scientifique. Il y a parfois des phénomènes qu'on ne peut expliquer. (...) C'est une tombe vivante, la tombe du Christ. Je crois que tout le monde peut comprendre qu'il y a des choses naturelles qui peuvent perturber les champs électromagnétiques. Il faut simplement admettre que la force avec laquelle l'on croit ou l'on pense, en fait partie », explique-t-elle.
Après plusieurs mois de restauration, le site a été inauguré officiellement le mercredi 22 mars. Les travaux avaient été financés par les trois principales confessions chrétiennes du Saint-Sépulcre (Grecs Orthodoxes, Franciscains, Arméniens) ainsi que par des contributions publiques et privées.
Source :
En pleine restauration du tombeau du Christ, les engins ultramodernes d'un groupe de scientifiques sont tombés en panne simultanément. Ils n'en revenaient pas tant la situation était « inexplicable ».
La restauration du Saint-Sépulcre doit être un moment privilégié dans la carrière d'un scientifique. Imaginez alors ce qu'ont vécu la professeure Antonia Maro et son équipe, après avoir assisté à un phénomène « que l'on ne peut expliquer ».
La scène a été relatée dans l'émission 13h15 le dimanche, diffusée sur France 2 le dimanche 26 mars. L'été dernier, plusieurs scientifiques ont restauré le tombeau de Jésus-Christ, situé à l'intérieur de l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem. Le 26 octobre 2016, l'entreprise de restauration prend une tournure encore plus historique : le tombeau est ouvert pour la première fois depuis 200 ans.
Antonia Maro, ingénieure-chimiste, est présente. Son équipe est en plein travail. Inexplicablement. D'un coup, leurs engins, ultra sophistiqués, qui servent à renforcer la structure en mauvais état, tombent en panne. Subitement. Les scientifiques n'en reviennent pas. « Je ne peux vous en dire plus, confie la scientifique. Il y a parfois des phénomènes qu'on ne peut expliquer. (...) C'est une tombe vivante, la tombe du Christ. Je crois que tout le monde peut comprendre qu'il y a des choses naturelles qui peuvent perturber les champs électromagnétiques. Il faut simplement admettre que la force avec laquelle l'on croit ou l'on pense, en fait partie », explique-t-elle.
Après plusieurs mois de restauration, le site a été inauguré officiellement le mercredi 22 mars. Les travaux avaient été financés par les trois principales confessions chrétiennes du Saint-Sépulcre (Grecs Orthodoxes, Franciscains, Arméniens) ainsi que par des contributions publiques et privées.
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