Lecture du deuxième livre des Rois
En ces jours-là, Salmanazar, roi d’Assour, lança des attaques à travers tout le pays d’Israël, et monta contre Samarie, qu’il assiégea pendant trois ans. ;La neuvième année du règne d’Osée, il s’empara de Samarie et déporta les gens d’Israël au pays d’Assour. Cela arriva parce que les fils d’Israël avaient péché contre le Seigneur leur Dieu, lui qui les avait fait monter du pays d’Égypte et les avait arrachés au pouvoir de Pharaon, roi d’Égypte.Ils avaient adoré d’autres dieux et suivi les coutumes des nations que le Seigneur avait dépossédées devant eux. Voilà ce qu’avaient fait les rois d’Israël. Or, le Seigneur avait donné cet avertissement Israël et à Juda, par l’intermédiaire de tous les prophètes et de tous les voyants : « Détournez-vous de votre conduite mauvaise.Observez mes commandements et mes décrets, selon toute la Loi que j’ai prescrite à vos pères et que je leur ai fait parvenir par l’intermédiaire de mes serviteurs les prophètes. » Mais ils n’ont pas obéi et ils ont raidi leur nuque comme l’avaient fait leurs pères, qui n’avaient pas fait confiance au Seigneur leur Dieu. Ils ont méprisé ses lois, ainsi que l’Alliance qu’il avait conclue avec leurs pères et les avertissements qu’il leur avait donnés. Alors le Seigneur s’est mis dans une grande colère contre les tribus d’Israël et les a écartées loin de sa face. Il n’est resté que la seule tribu de Juda.
PSAUME
(Ps 59- 3-4, 5-6, 13-14)
R/ Sauve-nous par ta droite,
Seigneur, réponds-nous !
Dieu, tu nous as rejetés, brisés ;
tu étais en colère, reviens-nous !
Tu as secoué, disloqué le pays ;
répare ses brèches : il s’effondre.
Tu mets à dure épreuve ton peuple,
tu nous fais boire un vin de vertige.
Tu as donné un étendard à tes fidèles,
était-ce pour qu’ils fuient devant l’arc ?
Porte-nous secours dans l’épreuve :
néant, le salut qui vient des hommes !
Avec Dieu nous ferons des prouesses,
et lui piétinera nos oppresseurs !
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
Ne jugez pas,pour ne pas être jugés .De la manière dont vous jugez, vous serez jugés de la mesure Dont vous mesurez, on vous mesurera. Quoi ! tu regardes la paille dans l’œil de ton frère ;et la poutre qui st dans ton œil, tu ne la remarques pas Ou encore: Comment vas-tu dire à ton frère : “Laisse-moi enlever la paille de ton œil”, alors qu’il y a une poutre dans ton œil à toi ? Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil ; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton prochain.
Aelf, Paris
Qui faut-il juger en premier recours ? C'est soi-même. Ce monsieur qui se regarde dans le miroir et aussitôt se trouve parfait. On pourrait écrire beaucoup de chose à ce sujet. Notre prêtre a parlé des saintes et des saints qui par grâce se sont vus tels que le Seigneur es a vus. Ils sont tombés les genoux sur le sol tellement ils étaient ils se sont trouvés mauvais et inutiles
du fait de leur présomption.
Toute vraie conversion commence par une chute face à la vanité qui avait été déployée afin de se cacher à soi-même afin de ne pas se mettre en route vers une véritable conversion. Si de nombreuses larmes de contrition ne sortent pas de notre carcasse de vanité et de suffisance et de gloriole incidente. Lorsque le Seigneur fait grâce à une âme quelconque, Il commence par montrer combien ce pénitent a cruellement manqué d'amour.
Ce passage est pénible est tellement pénible que l'on tombe à genoux, que l'on se vider à de tout ce que l'on avait cru bien suffisant. Mais , voici aussitôt, voici que d'autres larmes se mettent à couler. Des larmes de joie parfaite s'écoulent sur les joues qui sont toutes de joie céleste. C'est instant est tel que que le pénitent voudrait "mourir de suite avant que la vie et l'existence le conduise à se relever pour servir ce Dieu qui sauve d'un seul retard... Que de de splendeur en cette lumière !
.