Merci de vos réponses...en fait, je ne fais que mon "boulot", je veux dire : je fais ce que j'ai promis devant Dieu et les homme que je le ferai.
Ca n'a rien de particulier.
Si la rupture survient, qu'elle ne soit pas de mon fait, au moins.
Si elle ne survient pas et que mon mari reste, puisse-t-il à la fin de sa vie regretter ses fautes . Le mari de Ste Monique, Patricius, était paien et infidèle à sa femme. un coureur de jupes endurci !Peu avant sa mort, il a regretté ses péché et je crois qu'il s'est converti, Monique avait prié longtemps pour lui.
Et puis il faut bien l'avouer : je ne veux pas être dans cette horrible situation de divorcée qui amenera bien plus de souffrances que celles que j'ai actuellement . Tribunal, conflit sur la garde des filles, guerre par avocats interposés, et au total la cinquantaine bien entamée avec une petite chambre de bonne, la solitude, des chances de trouver du boulot proches du zéro, et la solitude ( je ne "referai" pas ma vie, comme catholique). Ma place est dans ma famille ! Mon rôle est de prier pour les pécheurs, pas de les imiter !
La souffrance est pénible, mais combien plus pénible encore serait le divorce (sur lequel tout le monde raconte des carabistouilles).
Quitte à souffrir : autant que ce soit en faisant la volonté de Dieu plutôt qu'en lui désobéissant.
Je me dis aussi de temps à autre : "vu la vie de pécheresse ( fornication, dos tourné à l'Eglise, fréquentation de milieux homosexuels, amitiés douteuses, méchancetés envers mes parents, contraceptifs locaux et pillule du lendemain...)que tu as menée autrefois...prends-le comme une expiation". C'est peut-être une expiation.
Ca n'a rien de particulier.
Si la rupture survient, qu'elle ne soit pas de mon fait, au moins.
Si elle ne survient pas et que mon mari reste, puisse-t-il à la fin de sa vie regretter ses fautes . Le mari de Ste Monique, Patricius, était paien et infidèle à sa femme. un coureur de jupes endurci !Peu avant sa mort, il a regretté ses péché et je crois qu'il s'est converti, Monique avait prié longtemps pour lui.
Et puis il faut bien l'avouer : je ne veux pas être dans cette horrible situation de divorcée qui amenera bien plus de souffrances que celles que j'ai actuellement . Tribunal, conflit sur la garde des filles, guerre par avocats interposés, et au total la cinquantaine bien entamée avec une petite chambre de bonne, la solitude, des chances de trouver du boulot proches du zéro, et la solitude ( je ne "referai" pas ma vie, comme catholique). Ma place est dans ma famille ! Mon rôle est de prier pour les pécheurs, pas de les imiter !
La souffrance est pénible, mais combien plus pénible encore serait le divorce (sur lequel tout le monde raconte des carabistouilles).
Quitte à souffrir : autant que ce soit en faisant la volonté de Dieu plutôt qu'en lui désobéissant.
Je me dis aussi de temps à autre : "vu la vie de pécheresse ( fornication, dos tourné à l'Eglise, fréquentation de milieux homosexuels, amitiés douteuses, méchancetés envers mes parents, contraceptifs locaux et pillule du lendemain...)que tu as menée autrefois...prends-le comme une expiation". C'est peut-être une expiation.