Dictée de Jésus du 17 mai 1953, extrait des "Carnets"
Ma divine miséricorde avait donné l’Œuvre par miséricorde pour un nombre infini d’âmes, perdues ou en voie de perdition, laïques et même consacrées, afin qu’elles retrouvent le Salut éternel.
L’Œuvre était l’application pratique des actes de miséricorde spirituels que j’ai enseignés : “Instruire les ignorants, convertir les pécheurs...”
Ceux qui l’ont bloquée depuis des années, sans justice et sans véritable motif – ou plutôt pour une raison répréhensible ‑, n’ont pas compris le sens, le but, la puissance de mon don. Ils ont profondément blessé mon Cœur et se sont rendus responsables de la mort spirituelle de beaucoup de personnes et d’un grand manque de charité et de justice à ton égard.
Comme je l’ai déjà dit dans la seconde année de la Vie Publique : “Toute âme qui s’égare ou que l’on pousse à se détourner du droit chemin – or le fait de déformer pour soi ou pour d’autres ma Parole, mon Œuvre, ou d’en empêcher la diffusion est un dévoiement de ce genre ‑ nuit à Dieu puisque des âmes se perdent. Chaque âme qui se perd est une blessure qui m’est faite, à moi, leur Dieu et Sauveur.”
Et puisque, depuis cinq ans, on me cesse de me blesser par une action injuste contre l’Œuvre, j’ai fermé le flot de la divine sagesse que je voulais déverser sur toi, ma citerne d’amour et de grâce pour les âmes, en t’expliquant l’Apocalypse, les autres épîtres pauliniennes comme celles de Pierre, Jacques et Jude : autrement dit, toutes les lettres apostoliques. »