Comment vaincre une obsession?

@florence-yvonne non, c’est une fiction commençant en 1990, là ce qu’il se passe dans les extraits que j’ai passé c’est Lucifer s’imaginant ce qui ce serait passé s’il n’y avait pas un certain événement dans le vie de Kakouloukiam.
Oui c’est la bonne excuse que j’ai trouvé pour continuer à écrire quand j’ai vu le potentiel qu’il y a avait.
J’ai été pioché dans l’astrophysique, dans la genèse, dans les clichés que l’on a tout en mettant ma dose d’anti-cliché pour avoir des personnages en relief.

Cette fiction semble mettre en perspective le personnage que vous auriez vu en vision 
et qui vous obséderait, @Jean Michel
Vous l'Appelez La "mère Céleste".
Avez vous écrit cette fiction avant ou après vos rêves?
Et pourriez vous dire que celle qui est inventée dans votre fiction est la dame de vos rêves?

Dans la première partie de son intervention dans votre fiction, 
il apparaît clairement que cette femme n'est pas Marie, Mère de Jésus, Reine de notre Eglise.
Elle a peu à voir spirituellement avec Marie, qui est fille d'Israël et Fille Fille de la thora, 
Mère De Jésus Christ qu'elle éduqua humainement parlant et qu'elle confirma dans sa mission de Rédempteur.
Vraiment, elle n'y ressemble pas moralement et spirituellement, 
tout comme l'esprit de la Grèce antique ne ressemble pas à celui de l'antique Israël.

Dans la dernière Partie de son intervention ("La reine céleste se lève avec joie...")
On on pourrait peut-être croire à une certaine ressemblance, Mais c'est finalement celle du mirage avec la réalité.
Et là, on comprend mieux le syndrome de l'obsession... 
C'est celle du voyageur égaré dans le désert et qui "voit" l'oasis, si parfaite. 
Et sous les yeux étonnés de son compagnon encore lucide, 
l'homme (ou la femme) poursuit le mirage jusqu'à la désillusion.

S'il s'agissait de Notre Marie, vous l'auriez vu non pas entourée de toute sorte d'animaux, (Qui l'aiment bien, elle aussi)
mais entourée de gens de toute sorte Enfants et adultes, hommes et femmes, riches et pauvres, de toutes origines, 
tous assoiffés de l'Amour Divin et humain à la fois qu'elle donne continuellement et sans s'arrêter.

Car notre Marie partage avec nous un espérance: Une terre remplie d'humains sages, bons, 
et reconnaissants à la Divine Trinité pour la création, dont ils prennent ensemble soin.

Peut être un jour ferez vous partie de cette communauté d'humain qui se pressent sur le coeur d'une Même Divine Mère: Marie.
Cette communauté s'appelle l'Eglise.

Notre Marie est une source désaltérante.
Pour de vrai!

Ici, notre Marie Peinte par William Bouguereau.
Comme Elle est aimée! 
et comme elle sera encore aimée, espérée et honorée dans les temps à venir!
Et à Juste titre, car elle Aime, secourt et honore ceux qui aime son Fils: Le Rédempteur. 
Bon Dimanche!

@sofoyal la partie où elle rend visite à des humains vient à la ligne qui suit.
Je n’ai pas dépeint le personnage qu’il me semble avoir vu, je ne saurais l’égaler et elle n’a pas sa place dans un tel scénario.
J’ai choisi des passages précis donnant une certaine vision de la trame.
Pour te dire le passage où Marie est entourée d’animaux est inspiré de tableaux où l’on ne voit pas Marie mais Jésus.

Jean Michel a écrit:@sofoyal la partie où elle rend visite à des humains vient à la ligne qui suit.
Je n’ai pas dépeint le personnage qu’il me semble avoir vu, je ne saurais l’égaler et elle n’a pas sa place dans un tel scénario.
J’ai choisi des passages précis donnant une certaine vision de la trame.
Pour te dire le passage où Marie est entourée d’animaux est inspiré de tableaux où l’on ne voit pas Marie mais Jésus.

Ah bon?
D'accord.

@Thierry j’ai beau me repasser la conversation je suis au regret d’avouer que je ne le vois pas ton/votre poème.

Jean Michel a écrit:@Thierry j’ai beau me repasser la conversation je suis au regret d’avouer que je ne le vois pas ton/votre poème.

Il s'agit de ce poème:
https://imitationjesuschrist.forumactif.com/t5615-poesie-priere-a-jean-michel-et-non-pas-pour#47752

Aaah, bon, je vais le lire de ce pas.

Afin de répondre de manière catholique à votre allusion à des peintures
montrant Jésus au milieu d'animaux,
j'ai pensé à ce passage décrivant l'Ascension du Christ, que nous fêtons après Pâques.
J'ai colorié en rouge les mots en corrélation avec de tels tableaux.

L’Évangile Tel qu'il m'a été révélé" est  une oeuvre de Maria Valtorta, dans laquelle est relatée la Vie du Christ.
Si elle peut vous paraître un fiction, sachez que bon nombre d'entre nous sur ce forum
et un nombre croissant de catholiques y voient une révélation faites par une authentique mystique et messagère du Christ.
La vie de Jésus lui est montrée et elle transcrit immédiatement ce qu"elle voit.
C'st ce en quoi nous avons foi.
L'oeuvre est lisible en ligne si vous le désirez.

" Je vous bénis tous au moment de cet adieu, et je demande au Père de vous accorder la récompense de ceux qui ont consolé le douloureux chemin du Fils de l’homme.      Bénie soit la partie choisie de l’humanité qui existe chez les juifs comme chez les païens, et qui s’est montrée dans l’amour qu’elle a eu pour moi.          Bénie soit la terre avec ses plantes et ses fleurs, ses fruits qui tant de fois m’ont fait plaisir et m’ont restauré. Bénie soit‑elle avec ses eaux et ses tiédeurs, ses oiseaux et ses animaux qui bien des fois ont surpassé les êtres humains pour réconforter le Fils de l’homme. Béni sois‑tu, soleil et toi, mer, et vous, montagnes, collines et plaines. Bénies soyez‑vous, étoiles qui avez été pour moi des compagnes dans la prière nocturne et dans la douleur. Et toi aussi, lune qui m’as éclairé pour me diriger dans mon pèlerinage d’évangélisateur.      Soyez bénies, toutes les créatures, qui êtes l’œuvre de mon Père, mes compagnes en cette heure mortelle, les amies de celui qui avait quitté le Ciel pour enlever à l’humanité affligée les tribulations dues à la Faute qui coupe de Dieu.       Et bénis soyez‑vous, instruments innocents de ma torture : épines, métaux, bois, cordages tordus, parce que vous m’avez aidé à accomplir la volonté de mon Père!»           Quelle voix de tonnerre a Jésus ! Elle se répand dans l’air chaud et paisible comme le son d’un bronze qu’on a frappé, elle se propage en ondes sur la mer des visages qui le regardent de tous côtés.         Ils sont des centaines à entourer Jésus qui monte, avec les plus aimés, vers le sommet de l’Oliveraie. Arrivé près du champ des Galiléens — où il n’y a plus de tentes à cette époque entre les deux fêtes —, Jésus ordonne aux disciples :          «Faites arrêter les gens là où ils se trouvent, puis suivez‑moi.»   Il gravit encore le sommet le plus haut de la montagne, celle qui est déjà plus proche de Béthanie — qu’elle domine — que de Jérusalem. Sa Mère, les apôtres, Lazare, les bergers et Martial se pressent autour de lui. Plus loin, les autres disciples forment un demi‑cercle pour tenir en arrière la foule des fidèles.   - Jésus est debout sur une large pierre qui dépasse un peu, toute blanche au milieu de l’herbe verte d’une clairière. Il est inondé de soleil, ce qui rend son vêtement blanc comme neige et fait briller comme de l’or ses cheveux. Ses yeux brillent d’une lumière divine.     Il ouvre les bras en un geste d’étreinte. Il paraît vouloir serrer sur son sein toutes les multitudes de la terre que son esprit voit représentées dans cette foule.           Son inoubliable, son inimitable voix donne son dernier ordre :  «Allez en mon nom évangéliser jusqu’aux extrémités de la Terre. Que Dieu soit avec vous, que son amour vous réconforte, que sa lumière vous guide, que sa paix demeure en vous jusqu’à la vie éternelle.» Il se transfigure en beauté. Qu’il est beau ! Beau comme sur le Thabor, davantage encore. Tous tombent à genoux pour l’adorer. Tandis que déjà il se soulève de la pierre sur laquelle il est posé, il cherche encore une fois le visage de sa Mère, et son sourire atteint une puissance que personne ne pourra jamais rendre… C’est son dernier adieu à sa Mère.            Il s’élève, s’élève… Le soleil, encore plus libre de l’embrasser, maintenant que nul feuillage, même léger, ne vient intercepter ses rayons, frappe de son éclat le Dieu‑Homme qui monte avec son corps très saint au Ciel, et dévoile ses plaies glorieuses qui resplendissent comme de vifs rubis.    Le reste est un sourire de lumière nacrée. C’est vraiment la Lumière qui se manifeste pour ce qu’elle est, en ce dernier instant comme dans la nuit de la Nativité. La Création étincelle de la lumière du Christ qui s’élève. Lumière qui dépasse celle du soleil… Lumière surnaturelle et bienheureuse… Lumière qui descend du Ciel à la rencontre de la Lumière qui monte…           Et Jésus Christ, le Verbe de Dieu, disparaît de la vue des hommes dans un océan de splendeurs…             Sur terre, deux bruits seulement rompent le silence profond de la foule en extase : le cri de Marie quand il disparaît : “Jésus !” et la plainte d’Isaac.

[url=http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME 10/index.htm][/url] [url=http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME 10/10-022-2.htm][/url] [url=http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME 10/10-024.htm][/url]

Un étonnement religieux a rendu les autres muets, et ils restent là, jusqu’à ce que deux lumières angéliques d’une extraordinaire pureté apparaissent sous une forme humaine, pour dire les paroles rapportées dans le premier chapitre des Actes des Apôtres.

@Thierry ne t’en fais pas, ce lire n’est pas une régression, c’est juste un projet.
Les histoires de bac derrière moi devraient intensifier encore plus la seconde partie, née avec la première apparition que j’ai eu. Ça énerve beaucoup la première d’ailleurs car elle perd encore plus vite le contrôle ^^.

Ça remonte à loin.
Merci à Maman, Papa et les membres du forum qui se sont montré patiens vis à vis de moi.

Oh Maman, que Tu es belle !