Bonjour,
je voudrais vous demander comment vous combattez le mal en vous au quotidien.
Qu'est-ce qui peut aider à part des prières ( j'en fais), avez-vous des trucs ou des lectures qui aident dans ce genre de situation :
par exemple un différend, il y a une personne qui vous brusque ou qui vous "raffle" une amitié précieuse ou qui vous fait sentir sa supériorité.
Ces supériorités peuvent être bien réelles hélas car l'égalité n'est pas de ce monde ! Ce peut même être une supériorité au niveau de la foi....au niveau des relations sociales, de l'énergie, de la résilience....
Parfois je me dis :" si cela se trouve, cette personne plait plus à Dieu et c'est pourquoi Il la comble de bienfaits, elle a mérité ces grâces". "Et moi si j'ai pris tant d'embûches et d'ennuis, c'est parce que je faisais des péchés". Je reconnais en avoir fait plein, oui. Eloignée de Dieu, j'ai commencé par écouter les faux prophètes.
En comparaison avec cette personne qui a un parcours sans faute je me trouve nulle, déjà parce que j'ai un passé avec beaucoup de péchés, ensuite parce que, les inégalité étant le lot des humains, je suis effectivement "moins bien lotie" et qu'il est plus difficile parfois de trouver la vraie voie quand on n'a pas eu les repères et qu'on a longtemps erré.
Donc les brusqueries quand la personne me "remet à ma place" d'inférieure font d'autant plus mal. Elle cherche à me mettre à l'écart, je sens que pour elle je fais partie des "mauvais", des "inintéressants".
Qui, quel saint, a dit des choses sur ce type de situation ? Quelles Paroles peuvent nous aider dans ce cas ?
Quel est le moyen de ne pas sombrer dans une espèce de ressentiment envieux qui me ferait développer de l'antipathie pour cette personne ?
C'est vrai que je suis "trop sensible" et cette personne a tendance quand même à ne pas bien tolérer cela, à penser que je suis "nombriliste" parce que je ne fais pas beaucoup de choses dans ma vie sauf m'occuper (mal) des miens et prier ( plus les tâches ménagères, of course !).
Trop sensible aux rapports de pouvoir dans la vie sociale, trop fatiguée par de nombreux traitements, je n'arrive pas à m'"investir" dans quelque chose de bénévole ou d'associatif et cela peut amener des gens à penser : "elle se replie égoïstement sur elle-même avec ses petits problèmes de nombril".
Je connais mal l'usage du monde et les méthodes pour arriver à quelque chose alors je me suis repliée sur la vie de mon foyer. En se serrant un peu la ceinture, ça va. Sans emploi, j'ai très très peu de relations. On me croit volontiers un peu bête, un peu inculte...
Quels saint ont dit quelque chose à propos de la maladie ? De l'infériorité ? De l'isolement social ?
En résumé est-il possible de devenir bonne chrétienne sans avoir ce type de personnalité sociable, sure d'elle, extravertie à qui tout réussit et qui a beaucoup d'ascendant sur les autres ?
Que puis-je faire pour servir le Seigneur avec le peu que j'ai reçu ?
En UDP (Qu'attend-Il de moi en vrai ?)
Ptit' sirène
je voudrais vous demander comment vous combattez le mal en vous au quotidien.
Qu'est-ce qui peut aider à part des prières ( j'en fais), avez-vous des trucs ou des lectures qui aident dans ce genre de situation :
par exemple un différend, il y a une personne qui vous brusque ou qui vous "raffle" une amitié précieuse ou qui vous fait sentir sa supériorité.
Ces supériorités peuvent être bien réelles hélas car l'égalité n'est pas de ce monde ! Ce peut même être une supériorité au niveau de la foi....au niveau des relations sociales, de l'énergie, de la résilience....
Parfois je me dis :" si cela se trouve, cette personne plait plus à Dieu et c'est pourquoi Il la comble de bienfaits, elle a mérité ces grâces". "Et moi si j'ai pris tant d'embûches et d'ennuis, c'est parce que je faisais des péchés". Je reconnais en avoir fait plein, oui. Eloignée de Dieu, j'ai commencé par écouter les faux prophètes.
En comparaison avec cette personne qui a un parcours sans faute je me trouve nulle, déjà parce que j'ai un passé avec beaucoup de péchés, ensuite parce que, les inégalité étant le lot des humains, je suis effectivement "moins bien lotie" et qu'il est plus difficile parfois de trouver la vraie voie quand on n'a pas eu les repères et qu'on a longtemps erré.
Donc les brusqueries quand la personne me "remet à ma place" d'inférieure font d'autant plus mal. Elle cherche à me mettre à l'écart, je sens que pour elle je fais partie des "mauvais", des "inintéressants".
Qui, quel saint, a dit des choses sur ce type de situation ? Quelles Paroles peuvent nous aider dans ce cas ?
Quel est le moyen de ne pas sombrer dans une espèce de ressentiment envieux qui me ferait développer de l'antipathie pour cette personne ?
C'est vrai que je suis "trop sensible" et cette personne a tendance quand même à ne pas bien tolérer cela, à penser que je suis "nombriliste" parce que je ne fais pas beaucoup de choses dans ma vie sauf m'occuper (mal) des miens et prier ( plus les tâches ménagères, of course !).
Trop sensible aux rapports de pouvoir dans la vie sociale, trop fatiguée par de nombreux traitements, je n'arrive pas à m'"investir" dans quelque chose de bénévole ou d'associatif et cela peut amener des gens à penser : "elle se replie égoïstement sur elle-même avec ses petits problèmes de nombril".
Je connais mal l'usage du monde et les méthodes pour arriver à quelque chose alors je me suis repliée sur la vie de mon foyer. En se serrant un peu la ceinture, ça va. Sans emploi, j'ai très très peu de relations. On me croit volontiers un peu bête, un peu inculte...
Quels saint ont dit quelque chose à propos de la maladie ? De l'infériorité ? De l'isolement social ?
En résumé est-il possible de devenir bonne chrétienne sans avoir ce type de personnalité sociable, sure d'elle, extravertie à qui tout réussit et qui a beaucoup d'ascendant sur les autres ?
Que puis-je faire pour servir le Seigneur avec le peu que j'ai reçu ?
En UDP (Qu'attend-Il de moi en vrai ?)
Ptit' sirène