Bonjour à tous ^^
Voilà, je viens vers vous après une discussion avec une amie. Elle vient me trouver pour simplement me parler, me dire ses soucis, et moi, j'essaye de lui donner un avis le plus franc possible quand elle en a besoin et quand cela s'avère nécessaire. Et aujourd'hui, elle est venue me trouver parce qu'un désir de vengeance l'habitait, mais dans le mauvais sens du terme. Elle m'en avait déjà parlé auparavant, mais ça revenait, et il fallait pas se leurrer, ça la mangeait quand même de l'intérieur.
Dit brièvement, c'était plutôt une vengeance liée à une gaminerie, le fait qu'une amie a elle avait été égoïste quant à un truc qu'elles faisaient ensemble, et du coup, mon amie voulait la dégoûter de cet projet. On peut résumer ça comme ça.
J'ai été honnête et je lui ai dit que ça ne lui apporterait rien. Que même si ça pouvait apporter en premier lieu un sentiment de satisfaction, celui-ci était non seulement mauvais, mais aussi très superficiel, et qu'il y aurait donc un vide à l'intérieur d'elle même si elle réalisait "sa vengeance". En plus, quoi qu'elle fasse et quoi qu'elle accomplisse, ce poison resterait toujours en elle si elle ne l'abandonnait pas. Il y aurait toujours des résidus, si vous voulez, qui ne serait pas des racines bonnes en elles.
Mais c'était compliqué, comme discussion, et je vais être sincère, j'avais comme l'impression de faire un combat avec le diable, si je puis dire ça ainsi, pour que ce "poison" en elle s'épure et qu'elle redevienne bien. C'était presque effrayant, en fait, ce sentiment malsain qui venait presque de "l'esprit du mal", je trouvais. Dieu sait comment, elle a finalement compris que ça ne servirait à rien, mais il a fallu une longue conversation pour arriver à ce résultat-là et je me suis demandée ce que vous auriez pensé répondre à ma place. Je comprenais qu'elle soit dégoûtée puisqu'elle avait fait l'objet d'égoïsme, mais d'autre part, j'ai toujours la conviction que la vengeance ne rime à rien... "Vous avez entendu qu'il a été dit : "Oeil pour oeil, dent pour dent". Eh bien ! Moi je vous dis de ne pas tenir tête au méchant" dit le Seigneur (Mt 5, 38-39).
Et si c'est la Règle d'or mis dans le Nouveau Testament qui a été mon "phare" durant toute notre conversation (c'est vraiment cette phrase de l'Evangile qui s'est imposé tout de suite à mon esprit et que j'ai essayé de ne pas perdre tout du long : "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse") , ce n'était pas évident quand même, sachant que citer la Bible n'était peut-être pas la meilleure solution pour la convaincre ^^"
Donc voilà. Je me disais donc que ça pourrait être intéressant d'en parler ici.
Voilà, je viens vers vous après une discussion avec une amie. Elle vient me trouver pour simplement me parler, me dire ses soucis, et moi, j'essaye de lui donner un avis le plus franc possible quand elle en a besoin et quand cela s'avère nécessaire. Et aujourd'hui, elle est venue me trouver parce qu'un désir de vengeance l'habitait, mais dans le mauvais sens du terme. Elle m'en avait déjà parlé auparavant, mais ça revenait, et il fallait pas se leurrer, ça la mangeait quand même de l'intérieur.
Dit brièvement, c'était plutôt une vengeance liée à une gaminerie, le fait qu'une amie a elle avait été égoïste quant à un truc qu'elles faisaient ensemble, et du coup, mon amie voulait la dégoûter de cet projet. On peut résumer ça comme ça.
J'ai été honnête et je lui ai dit que ça ne lui apporterait rien. Que même si ça pouvait apporter en premier lieu un sentiment de satisfaction, celui-ci était non seulement mauvais, mais aussi très superficiel, et qu'il y aurait donc un vide à l'intérieur d'elle même si elle réalisait "sa vengeance". En plus, quoi qu'elle fasse et quoi qu'elle accomplisse, ce poison resterait toujours en elle si elle ne l'abandonnait pas. Il y aurait toujours des résidus, si vous voulez, qui ne serait pas des racines bonnes en elles.
Mais c'était compliqué, comme discussion, et je vais être sincère, j'avais comme l'impression de faire un combat avec le diable, si je puis dire ça ainsi, pour que ce "poison" en elle s'épure et qu'elle redevienne bien. C'était presque effrayant, en fait, ce sentiment malsain qui venait presque de "l'esprit du mal", je trouvais. Dieu sait comment, elle a finalement compris que ça ne servirait à rien, mais il a fallu une longue conversation pour arriver à ce résultat-là et je me suis demandée ce que vous auriez pensé répondre à ma place. Je comprenais qu'elle soit dégoûtée puisqu'elle avait fait l'objet d'égoïsme, mais d'autre part, j'ai toujours la conviction que la vengeance ne rime à rien... "Vous avez entendu qu'il a été dit : "Oeil pour oeil, dent pour dent". Eh bien ! Moi je vous dis de ne pas tenir tête au méchant" dit le Seigneur (Mt 5, 38-39).
Et si c'est la Règle d'or mis dans le Nouveau Testament qui a été mon "phare" durant toute notre conversation (c'est vraiment cette phrase de l'Evangile qui s'est imposé tout de suite à mon esprit et que j'ai essayé de ne pas perdre tout du long : "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse") , ce n'était pas évident quand même, sachant que citer la Bible n'était peut-être pas la meilleure solution pour la convaincre ^^"
Donc voilà. Je me disais donc que ça pourrait être intéressant d'en parler ici.