Témoignages de vies données à Dieu

Amalia Escriva retrace l’histoire d’une vocation singulière.


Revenant d’une vie marginale, errante, douloureuse, Soeur Angélina entre au monastère La-Joie-Notre-Dame, à Campénéac, à l’âge de 35 ans.

Dix ans après son arrivée, cette jeune femme est devenue moniale, sous-prieure, et vit une liberté intérieure réelle au sein de sa clôture.
 
Artiste, philosophe à ses heures, amoureuse de la nature, elle analyse avec acuité le basculement de son ancienne vie, de grande précarité matérielle et psychologique, vers une forme de délivrance particulière, de paix trouvée.

Soeur Angélina relate avec simplicité son parcours, et revient sur les raisons profondes qui l’ont amenée à opter pour ce choix radical. Photographe, elle puise son inspiration dans les détails, les objets qui peuplent notre vie quotidienne, dessinant un mouvement de l’infiniment petit à l’infiniment grand, vers l’absolu.

C’est ce dépassement de la béance originelle, cette ouverture vers la résilience, la libération dont il est ici question. Ce chemin de foi passe ainsi par le retour sur soi, la prise en compte des failles, l’acceptation des plaies et limites, pour mieux dégager le ciel et laisser poindre l’aurore.



http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Celle-qui-avance-comme-l-aurore-extrait

À 21 ans, la soeur de la réalisatrice annonce à sa famille son entrée au monastère Notre-Dame-de-l’Assomption à Bet Gemal en Israël. Neuf ans plus tard, la famille rend visite à celle que l’on appelle à présent « Soeur Yohanan ».

L’occasion pour la réalisatrice de filmer la famille enfin réunie et de répondre à d’importantes questions : « Comment mes parents ont-ils vécu le départ de leur fille, sa prise d’habit ? Quels sont les rapports entre ma fille de huit ans et sa tante du bout du monde ? La vocation d’une fille, d’une soeur, vous rapproche-t-elle de Dieu ?... »

http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Ma-petite-soeur-extrait

Des hommes ont entendu un appel, y ont répondu et ont découvert qu'en donnant leur vie à Dieu, ils vivaient de la vie même de Dieu et qu'ils étaient heureux.

Découvrons la vie des frères de l’abbaye bénédictine de la Pierre-qui Vire dans le Morvan.
Que représente pour eux la vie consacrée ? Quelle est leur façon particulière de la vivre ? Que souhaitent t-ils transmettre au monde en consacrant ainsi leur vie à Dieu ? Des moines en contact avec les visiteurs et retraitants et des moines qui vivent la clôture de façon plus stricte nous partagent leur vie quotidienne entre offices monastiques, prière personnelle, travail et vie communautaire. Une vie d'une grande richesse.

http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Une-vie-pour-Dieu-et-le-monde-a-l-abbaye-de-la-Pierre-qui-Vire

En 2015, les Clarisses de Poligny dans le Jura fêtent le 600e anniversaire de leur monastère. Dix sept soeurs y vivent en communauté, partageant travail, contemplation et silence. Cloîtrées, elles entretiennent pourtant une relation fraternelle au monde puisqu'elles vivent essentiellement des dons que la population leur apporte, selon les règles initiales de pauvreté et de clôture de l'ordre fondé par sainte Claire en 1212 et restauré par sainte Colette en 1415. "Les sœurs Clarisses sont un cœur qui bat pour Poligny".

http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Le-monde-des-clarisses

Frère Benoît a récemment embrassé la vie monastique que Père Olivier mène depuis 45 ans. A l'engouement du premier répond la sagesse de l'ancien. Portraits croisés à l'abbaye de Cîteaux.

http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Pourquoi-ont-ils-dit-oui-a-la-vie-monastique

Le père Olivier Quenardel est le prieur de l'abbaye cistercienne de Cîteaux. Les moines y vivent selon la règle monastique écrite par saint Benoît au 6ème siècle. Chants, lectures, prières, célébrations sont les seuls temps de Parole. Avec simplicité, Olivier Quenardel nous introduit au monde du silence de la vie monastique, qui laisse toute la place à Dieu.

http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Olivier-Quenardel-Le-moine-chasseur-de-Dieu

Amalia Escriva retrace l’histoire d’une vocation singulière.
Revenant d’une vie marginale, errante, douloureuse, Soeur Angélina entre au monastère La-Joie-Notre-Dame, à Campénéac, à l’âge de 35 ans.

Dix ans après son arrivée, cette jeune femme est devenue moniale, sous-prieure, et vit une liberté intérieure réelle au sein de sa clôture.

Artiste, philosophe à ses heures, amoureuse de la nature, elle analyse avec acuité le basculement de son ancienne vie, de grande précarité matérielle et psychologique, vers une forme de délivrance particulière, de paix trouvée.

Soeur Angélina relate avec simplicité son parcours, et revient sur les raisons profondes qui l’ont amenée à opter pour ce choix radical. Photographe, elle puise son inspiration dans les détails, les objets qui peuplent notre vie quotidienne, dessinant un mouvement de l’infiniment petit à l’infiniment grand, vers l’absolu.

C’est ce dépassement de la béance originelle, cette ouverture vers la résilience, la libération dont il est ici question. Ce chemin de foi passe ainsi par le retour sur soi, la prise en compte des failles, l’acceptation des plaies et limites, pour mieux dégager le ciel et laisser poindre l’aurore.

http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/La-vie-consacree/Celle-qui-avance-comme-l-aurore-extrait

Des sœurs au service des femmes toxicomanes...

Sr Raphaëlle, responsable de la maison située à Méobecq, résume pour nous ce que représente cette mission pour elles-mêmes et pour les jeunes femmes au service desquelles elles se mettent.

http://www.stjean.com/des-soeurs-au-service-des-femmes-toxicomanes

La Fraternité diocésaine des Parvis est née en 2001 à la suite du Synode des jeunes. De communauté, elle est devenue en 2006 association publique de fidèles. Christine, Etienne et Patrice ont répondu à l'appel du Christ : vivre l'Evangile dans le monde, au plus près des pauvres et tisser avec eux des liens d'amitié.

Dans la banlieue de Lille, Rebecca et Myriam apprennent aux enfants de la cité du Faubourg de Béthune les cadres de la vie en société à partir de différentes activités. Elles répondent ainsi à l'appel de JESUS qu'elles découvrent aussi dans tous ces visages.

Le père Raphaël Buyse anime la Fraternité diocésaine des Parvis à Lambersart. A l'occasion d'un baptême, il explique l'action de la Fraternité au croisement liturgique de la Parole et de la vie. Une démarche d'église qui sert à révéler la présence de Dieu en chacun et qui fait des paroissiens des acteurs de la messe.

Séverine compose des bouquets pour fleurir l'église saint-Maurice. Christine visite Philippe, une personne qui vit en marge de la société. Au sein de la Fraternité diocésaine des Parvis, les membres vivent des missions différentes, animés par le même désir de suivre le Christ.

Une des clefs de voûte de la Fraternité diocésaine des Parvis : inviter les laïcs à devenir acteur de leur vie spirituelle. Cela se traduit dans la façon de célébrer la messe. Une liturgie différente donc qui choque certains mais répond aussi à l'attente de nombreux "recommençants", selon le père Raphaël Buyse.


http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Chroniques/Ainsi-Sont-Ils/La-Fraternite-diocesaine-des-Parvis-Les-nouveaux-missionnaires#content

A 75 ans, le père Daniel-Ange mène la double vie d'ermite et de missionnaire. A l'école Jeunesse-Lumière qu'il a fondée en 1984, il revient sur la genèse de son intuition : faire rencontrer Dieu aux jeunes par les jeunes.


http://www.lejourduseigneur.com/Web-TV/Focus/Grands-entretiens/Daniel-Ange-Comment-apporter-Dieu-aux-jeunes