La charité devrait être telle en vous que vos frères devraient ressentir comme une caresse le moindre de vos regards, tant ils devraient être saturés d'amour.
- L'ange Azarias à Maria Valtorta
Extrait du Livre d'Azarias
Enseignements donnés à Maria Valtorta par Azarias, son ange gardien
"En cette vie comme dans l'autre, les fautes qui ne méritent pas la damnation se réparent par
l'amour. Quand l'esprit a appris à aimer de façon à ne plus offenser l'Amour, alors il est bienheureux.
Ne crains ni la mort imprévue ni le jugement de Dieu. Cela ne doit pas faire peur. Crains plutôt de manquer à la charité. Ce sont les manquements à la charité qui provoquent la rigueur de Dieu. Et seul celui qui doit rencontrer cette rigueur a raison de craindre la mort. Les autres, non. Qu'elle vienne lentement ou comme un rapide coup de foudre, la mort ne fait pas mal à l'esprit continuellement purifié par la charité.
La charité devrait être telle en vous que vos frères devraient ressentir comme une caresse le
moindre de vos regards, tant ils devraient être saturés d'amour. En vérité, quand Dieu est vivant dans l'esprit au point de ne faire qu'un avec la créature, l'œil humain devient cette source de paix, d'affection, par laquelle celui qui souffre se sent consolé, celui qui est seul ressent la présence d'un frère, celui qui doute retrouve la foi puisque, comme au temps des premiers chrétiens, c'est l'amour qui convertit.
"Voyez comme ils s'aiment !", se disaient entre eux les païens. Par ce moyen simple et sublime, les chrétiens faisaient davantage de prosélytes convaincus que s'ils avaient parlé doctement du matin au soir en soutenant des débats et en exerçant des pressions."
Maria Valtorta, Le Livre d'Azarias, le 2 juin 1946 dimanche après l'Ascension.