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Mère Teresa : fêtée le 5 septembre

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Message par Véronique1 Mar 5 Sep - 19:22

La soif de Mère Teresa de Calcutta


Mère Teresa ne chercha point à transformer le monde, mais à partager la misère des pauvres parmi les pauvres, en prenant sur ses épaules une part du fardeau. Comme Jésus, explique le père Jean-François Thomas, elle avait soif des hommes qui ont soif.


Si saint François d’Assise fut regardé en son temps comme un autre Christ, alter Christus, ce fut d’abord à cause de ses épousailles avec « Dame Pauvreté ». L’immense popularité et l’admiration dont bénéficia Mère Teresa dès son vivant ont une origine similaire : elle épousa la pauvreté, pour elle l’expression la plus fidèle de la présence du Maître en ce monde, et elle servit ceux qui étaient l’image souffrante du Sauveur dépouillé de tout. 

Elle fut d’ailleurs ignoblement critiquée pour cela, toujours par des esprits forts occidentaux qui n’hésitèrent pas à parler de ses « côtés ténébreux », à savoir sa manière de soigner les malades, ses contacts politiques, sa gestion financière et, cerise sur le gâteau, son « dogmatisme » à l’égard de l’avortement, de la contraception et du divorce. 

Ayant choisi de servir les plus pauvres parmi les pauvres, il n’est pas étonnant qu’elle fût l’objet de tant d’attaques de la part des nantis, toujours soucieux de reléguer Dieu et ses commandements dans des réserves bouclées à double tour.

Être toujours dans la joie


La jeune fille bourgeoise albanaise, Anjezë, éduquée dans une famille catholique pratiquante, fut d’abord marquée par le souci de ses parents envers les pauvres de Skopje en Macédoine — alors part de l’empire ottoman au moment de sa naissance en 1910. 

Sa mère ne cessait de dire à ses enfants, visitant les démunis et faisant l’aumône, qu’il fallait donner comme jetant une pierre à la mer et que chaque bouchée devait être partagée avec d’autres. 

Le père mourant prématurément et la famille connaissant un revers de fortune, elle s’habitua très jeune à un mode de vie simple, austère. 

Tout naturellement, ressentant à douze ans le désir d’être religieuse, elle s’en ouvrit à un père jésuite de sa paroisse très lié avec les missions lointaines. Confirmée dans sa vocation à l’occasion d’un pèlerinage marial, elle retint le conseil de son père spirituel d’être toujours « dans la joie ».

Entrée dans la congrégation des Sœurs de Notre-Dame-de-Lorette en 1928, elle fut ainsi envoyée en Inde pour sa formation, immédiatement frappée par la misère extrême à Calcutta. Essentiellement appelée à enseigner dans le collège huppé tenu par les religieuses dans cette ville, elle n’en oublie pas les pauvres et commence à arpenter les bidonvilles. Elle éprouve un malaise, côtoyant tant de souffrances mais demeurant malgré tout de l’autre côté de la barrière.


À Calcutta, elle était environnée de misère : matérielle, physique, spirituelle



Elle avait mis le doigt sur une terrible réalité, exprimée ainsi avant elle par Léon Bloy dans des termes qu’elle aurait pu faire siens : « La Pauvreté est le Relatif — privation du superflu. 

La Misère est l’Absolu — privation du nécessaire » (Le Sang du pauvre). 

À Calcutta, elle était environnée de misère : matérielle, physique, spirituelle, au sein de cet empire des Indes à majorité hindouiste où le système des castes rajoutait encore tant d’injustices au pouvoir britannique. 

Cette misère exponentielle est ce qui rapprocha la jeune religieuse d’une union plus parfaite avec le Christ, jusqu’à se retrouver un jour clouée dans la main du Maître.


Nuit de la foi

Le 10 septembre 1946, lors d’un trajet en train, elle entendit « l’appel dans l’appel ». Elle nomma cette révélation, « jour de l’inspiration ». 

Elle rapportera : « Soudain, j’entendis avec certitude la voix de Dieu. Le message était clair : je devais sortir du couvent et aider les pauvres en vivant avec eux. C’était un ordre, un devoir, une certitude. 

Je savais ce que je devais faire mais je ne savais comment. » Tout est scellé. Passons sur les différentes étapes qui la conduiront, avec l’autorisation de Pie XII, de vivre seule en dehors de sa communauté, puis d’accueillir autour d’elle des jeunes filles et des femmes soucieuses de répondre à une exigence identique. 

Ce ne sont qu’anecdotes comparées à l’épreuve qui va signer son engagement envers les plus pauvres : elle va entrer dans une nuit de la foi qui durera jusqu’à sa mort, nuit révélée après son entrée dans la vie éternelle. 

Personne, durant sa vie — à l’exception de ses pères spirituels — ne devina jamais ce terrible fardeau.


Elle eut simplement le souci d’accompagner, de partager la misère, ce qui choquera bien de nos contemporains plus soucieux d’efficacité que de véritable compassion.
Pour qui a eu la grâce de voir Mère Teresa prier, de la rencontrer, de fixer son regard dans ses yeux perçants, pétillants, brûlants, une telle purification des sens pour cette religieuse hors pair, sera un étonnement sans fond. 

Complètement démunie, mais fidèle, en sa vie intérieure, elle ne cherchera donc point à transformer le monde, à militer contre les injustices, à se révolter, alors qu’à l’époque, déjà, dans l’Église, certains courants prenaient plutôt cette direction. 

Elle eut simplement le souci d’accompagner, de partager la misère, ce qui choquera bien de nos contemporains plus soucieux d’efficacité que de véritable compassion. 

Elle ne chercha jamais à rompre les habitudes de vie des plus pauvres mais à soulager ces derniers dans leurs épreuves en prenant sur ses épaules une part du fardeau. 

D’où les mouroirs, scandale pour nos sociétés repoussant la mort ; d’où les orphelinats, dégoût pour une mentalité contemporaine méprisant la véritable enfance.

 Elle n’eut pas honte d’annoncer que la souffrance humaine possède un sens si elle est unie à Dieu. Dans ce domaine, ses plus farouches critiques ne furent guère conscients que leur agressivité à son égard se retournait contre eux comme un effrayant anathème.

Répondre aux cris des plus petits


Imperturbable, elle dompte, par un simple geste, un mot paisible et ferme, un regard attentif, les lions de ce monde. Et elle en rencontra ! 

Bizarrement, cette amante de la pauvreté et cette mère des pauvres en imposait, y compris au sein des organisations internationales les plus perverses et les plus pourries. 

Elle n’hésita jamais, avec sa voix égale et sans passion désordonnée, à dénoncer aussi en retour la pauvreté insigne de notre monde occidental, critiquant le matérialisme galopant et soulignant la faim spirituelle qui tenaillait nos pays comblés. 

D’où ce mot affiché dans toutes les chapelles de ses communautés, à côté du crucifix : Sitio, « J’ai soif », une des dernières paroles de Notre Seigneur sur la Croix. 

Le Fils de Dieu a soif des hommes qui ont soif, et l’eau qu’Il demande est l’exercice de la charité dans les œuvres les plus modestes. 

Avoir soif de Dieu est répondre aux cris des plus petits, des plus démunis. Mère Teresa dira à propos des pauvres : 

« Pour moi, ils sont tous le Christ — le Christ dans un déguisement désolant. » Pas d’idéalisation de la pauvreté car l’épouser n’est pas un mariage de passion mais une union dans l’ascèse.

Le plus grand destructeur de la paix


Lorsqu’elle reçut le prix Nobel de la Paix en 1979, son discours trancha ô combien par rapport aux grandiloquences habituelles. 

Elle demanda à tous de dire avec elle la prière pour la paix de saint François d’Assise, son modèle terrestre après le Christ, et elle accepta la récompense au nom de tous les pauvres. 

De plus, elle dénonça longuement l’avortement, devant un parterre sans doute très agacé : 


« Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? » 

Il est facile d’imaginer le bouleversement produit par de telles paroles, comme lorsqu’elle ajoutera, dans une invitation pressante : 

« Et voici ce que je vous propose : nous aimer les uns les autres jusqu’à en avoir mal. Mais n’oubliez pas qu’il y a beaucoup d’enfants, beaucoup d’enfants, beaucoup d’hommes et de femmes qui n’ont pas ce que vous avez. Souvenez-vous de les aimer jusqu’à en avoir mal. » 

« Oups ! » s’exclameront certains esprits plus soucieux de paraître et de pouvoir que de vérité. En présence d’un tel don, d’une telle foi, d’un tel courage sans faux respect, les réserves et les critiques formulées envers Mère Teresa ne sont que de peu de poids. Et il apparaît, à notre grande honte, que les plus pauvres ne sont pas forcément les miséreux.


https://fr.aleteia.org/2023/01/15/la-soif-de-mere-teresa-de-calcutta/
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Message par Véronique1 Mar 5 Sep - 19:24

Mgr Rivière : « Mère Teresa continue de déranger »


Reconnaissant envers l’œuvre des Missionnaires de la Charité et sa fondatrice, Mgr Rivière, évêque d’Autun, était à Rome, dimanche 4 septembre 2016, pour la canonisation de Mère Teresa. 100.000 personnes ont participé à la messe, sous un grand ciel bleu, dans la sérénité.
Quels aspects de sa personnalité avez-vous (re) découvert ?
La première image que je retiens d’elle, c’est la figure féminine du Bon Samaritain. Elle ne se penche pas sur des idées mais sur quelqu’un. Albanaise, elle est étrangère en Inde et n’est pas de religion hindoue. Pour ces deux raisons, c’est bien un Samaritain moderne pour l’Inde.
Elle a aussi quelque chose d’universel, comme une sœur universelle.
Enfin s’impose à moi l’image d’une femme qui, volontairement, plonge dans les lieux des plus grands abandons, avec ceux qui sont proches de se noyer, et qui s’accroche à une bouée, pour elle-même et pour ceux qui sont dans la détresse. Cette bouée, c’est la prière. Son chapelet autour des mains n’était pas une image d’Epinal.

Quel est son message au monde aujourd’hui selon vous ?

C’est quelqu’un qui continue de déranger.
Sa sainteté dérange par l’appel à aimer –non pas pour faire la leçon aux autres. Par son attitude, elle sort des conforts idéologiques ou même religieux.
 Je dirais qu’elle est une mère, exigeante et douce, qui rayonne. Mère Teresa EST un message : elle est une Parole qui réveille, qui donne un élan.
Au sens biblique du mot, la Parole est un acte. C’était une femme profondément enracinée dans le don d’elle-même à Dieu. Dans notre Occident, nous pensons que quelqu’un est à Dieu ou aux hommes.
Or Mère Teresa est complètement à Dieu et aux hommes. Elle est consacrée par excellence car elle ne s’appartient plus elle-même. Mère Teresa dit qu’elle va vers les pauvres dans un élan d’amour – cet amour qu’elle puise en Dieu.

Sa canonisation a eu lieu pendant le Jubilé de la Miséricorde
Mère Teresa est un exemple concret de Miséricorde en actes. Elle témoigne que la fécondité d’une vie est la charité active.
Pour elle, chaque personne compte : elle vous regarde ! Son regard est très présent à la personne. Il ne s’impose pas et pour autant, elle ne peut pas souffrir que quelqu’un soit en dehors du rayonnement de l’amour.
Il y a là quelque chose de la Miséricorde. Plus on est au contact de la misère, moins il faut rentrer dans le tragique. Le tragique empêche d’agir alors que l’amour miséricordieux devient action.
« Soyez comme des icônes du Christ dans cette grande ville »

Mère Teresa : fêtée le 5 septembre 201111-mereteresa-150x150


Alors frère de la communauté de Jérusalem, Mgr Benoît Rivière a rencontré la future sainte à Marseille, dans les années 80.

Il est touché, à l’époque, par son « grand rayonnement ». « De son visage émanait une lumière intérieure que je ne peux pas oublier.

Elle vous prenait les mains comme une grand-mère. Sans les retenir pour elle mais pour vous donner de l’élan » se souvient-il.

Aujourd’hui il en est convaincu : « Elle est mère au sens qu’elle est allée vers la vie dans des profondeurs où l’on pensait qu’elle n’existait plus.

C’est ça une mère : quelqu’un qui croit envers et contre tout, même là où la mort est proche.

C’est aussi une mère des profondeurs, par son expérience spirituelle.

Et pourtant, c’est une mère lumineuse, toujours avec le sourire et une volonté de joie.

Son sourire exprime la certitude que, même dans l’obscurité la plus totale, Jésus est joie ».

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Message par Véronique1 Mar 5 Sep - 19:30

Mère Teresa, la sainte des « ténèbres »


Si, de son vivant, les superlatifs concernant l’humble religieuse albanaise, née Agnès Gonxha Bojaxhin, ont atteint des sommets ; son sourire, sa frêle silhouette voûtée et son sari blanc aux liserés bleus continuent d’habiter la mémoire populaire.

« Icône du Bon Samaritain, elle se rendait partout pour servir le Christ chez les plus pauvres » dit d’elle le pape Jean-Paul II. Il faut pourtant aller au-delà de cette dimension humanitaire et du rayonnement inouï de son action (fondation de deux congrégations internationales ; ouverture d’orphelinats, d’écoles, d’hospices, de maisons d’accueil pour malades du sida, de la lèpre ou de tuberculose…) pour mieux la comprendre.

Jésus, le Bien-Aimé

Dans un livre de référence, Mère TeresaViens, sois ma lumière [1], Brian Kolodiejchuk, Missionnaire de la Charité, commente les écrits intimes de la sainte de Calcutta. Il  précise notamment : « Une des meilleures descriptions de Mère Teresa fut celle d’une femme « totalement, passionnément, follement amoureuse de Jésus » ». Car c’est bien ce désir du Christ, né précocement dans une famille profondément croyante et accueillante, qui n’a cessé de l’animer. Il fut le roc sur lequel sa foi s’arrima. Au-delà de ses souffrances, de son sentiment persistant de solitude, de ses accidents de santé, de ses doutes crucifiants.

Missionnaire enseignante heureuse dans son couvent Notre-Dame de Lorette, Mère Teresa (nom choisi par attachement à sainte Thérèse de Lisieux) eut la grâce de recevoir ce qu’elle nomma « un appel dans l’appel ».

extrait :
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Message par Véronique1 Mar 5 Sep - 19:40

Sainte Mère Teresa de Calcutta


05 septembre 

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Sainte Mère Teresa de Calcutta  (© Vatican Media)

Albanaise et Indienne


Cette messagère lumineuse de l’amour de Dieu est née le 26 août 1910 à Skopje, une ville située aux croisements de l’histoire des Balkans. Cadette de Nikola et Drane Bojaxhiu, elle fut appelée Gonxha Agnès. Le jour de sa première communion, elle fut remplie d’un grand amour pour les âmes. La mort soudaine de son père quand elle avait environ huit ans, laissa la famille dans une condition financière difficile.

Naissance d’une vocation missionnaire


A l’âge de dix-huit ans, poussée par le désir de devenir missionnaire, Gonxha quitte sa maison en septembre 1928 pour rentrer à l’Institut de la Vierge Marie. En décembre, elle part pour l’Inde, et arrive à Calcutta le 6 janvier 1929. Le 24 mai 1937, Sœur Teresa fit ses vœux perpétuels devenant, comme elle disait, “l’épouse de Jésus” pour “toute l’éternité.” A partir de ce moment-là, elle fut appelée Mère Teresa. Elle continua à enseigner à Sainte Marie et en 1944 devint la directrice de l’école.

Un appel dans l’appel


Le 10 septembre 1946, Mère Teresa reçut son “inspiration”, son “appel dans l’appel”. Ce jour-là, d’une manière qu’elle n’expliquera jamais, la soif d’aimer de Jésus et sa soif pour les âmes prit possession de son cœur et le désir de satisfaire cette soif devint la motivation de sa vie. Jésus lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d’être ignoré d’eux et son immense désir d’être aimé par eux. Il demanda à Mère Teresa d’établir une communauté religieuse.

Missionnaires de la charité dans le monde


Le 7 octobre 1950, la nouvelle congrégation des Missionnaires de la Charité était officiellement établie dans l’Archidiocèse de Calcutta. Au début des années 60, Mère Teresa commença à envoyer ses sœurs dans d’autres régions de l’Inde. L’approbation accordée par le Pape Paul VI en février 1965 l’encouragea à ouvrir une maison au Venezuela. Ce fut bientôt suivi par des fondations à Rome et en Tanzanie et finalement, sur tous les continents. Commençant en 1980 et continuant à travers les années 90, Mère Teresa ouvrit des maisons dans presque tous les pays communistes, y compris l’ancienne Union Soviétique, l’Albanie et Cuba.

1979, le prix Nobel


Durant ces années de croissance rapide, le monde commença à tourner son regard vers Mère Teresa et le travail qu’elle avait commencé. Elle reçut de nombreux prix pour honorer son travail, en commençant par le prix indien Padmashri en 1962 et le Prix Nobel de la Paix en 1979, alors que les médias, avec un intérêt grandissant, commençaient à suivre ses activités. Elle reçut tout cela “pour la gloire de Dieu et au nom des pauvres”. 

Le 5 septembre 1997 fut le dernier jour de la vie terrestre de Mère Teresa.

https://www.vaticannews.va/fr/saint-du-jour/09/05/sainte-mere-teresa-de-calcutta.html
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