Si nous rencontrons une personne avec un besoin quelconque, sommes-nous prompts à répondre précisément à ce que la personne nous demande ? Et sommes-nous prêts à approfondir la quête de foi avec cette personne, si elle en faisait la mention ou si elle démontre un changement positif voire lumineux ?
Nous avancerons et nous aiderons les autres dans la mesure où nous laissons Jésus guérir notre malaise. Nous nous en servirons alors pour le bien d’autrui. Ce que nous souhaitons que Jésus guérisse en nous, nous le souhaitons aussi pour les autres.
C’est le signe de la résurrection de Jésus, dans notre vie. Résurrection du sentiment de mort à la réalité de la vie, résurrection de la maladie à la guérison, résurrection de la tristesse à la joie, résurrection de la blessure à la miséricorde, résurrection de l’intimidation à l’amitié, résurrection de la de la haine et de la rancœur à l’amour, etc.
Nous sommes tristes lorsque des personnes placent des étiquettes sur notre dos. Nous savons que ces étiquettes ne sont pas notre réalité profonde. Nous devons ressortir aussi des apparences, des jeux d’ombres que nous figeons sur les autres.
Nous avons à laisser passer Dieu, en premier, pour connaitre et aimer les gens.
Livre : Debout! Allons!
Normand Thomas