Les députés français ouvrent la porte à la PMA

Dans la situation d'un couple stérile, la PMA, pourquoi pas ?

Dans PMA, il y a procréation médicalement assisté, on peut considérer la PMA comme un traitement médical.

La PMA existe déjà pour les couples stériles, homme/ femme. 
On veut l’autoriser aux femmes homosexuelles en couple et aux femmes seules.
Résultat: des enfants sans père! 
Et pourquoi une révision de la loi aussi souvent? 
Hitler n’était qu’un enfant de choeur à côté de ce qu’on nous concocte maintenant: recherche sur les embryons, etc. On va les modifier aussi puisque la folie humaine n’a pas de limites. 

Le rapport souhaite aussi assouplir le cadre des recherches sur l'embryon, interdites jusqu'en 2013 et aujourd'hui strictement réglementées. Il préconise notamment la levée de l’interdiction de créer des embryons transgéniques «afin de favoriser la recherche scientifique».


Le rapporteur de la mission, le député LAREM Jean-Louis Touraine, propose aussi de permettre à tous les couples de se soumettre à des tests génétiques avant de concevoir un enfant, afin de pouvoir détecter un certain nombre de maladies génétiques graves.


Donc, les trisomiques, autistes, et tous ceux dont on ne veut pas, à la poubelle. 
C’est la belle culture du déchet dont nous parle le pape François! 
Et cela ne fait pas réagir grand monde. 

Des enfants sans pères, cela ne manque pas, père décédés, père parti sans laisser d'adresse, père divorcé qui oublient qu'ils ont des enfants, ces derniers ne sont pas traumatisés pour autant.

Pour les enfants sans pères, il y a les grands-pères, les oncles, les cousins, les amis, autant de figures paternelles qui font très bien l'affaire.

Vous avez une drôle de notion de la figure paternelle.
Allez dire cela aux enfants qui n’ont pas connu leurs parents et qui les recherchent systématiquement....

Tu dévies sur le sujet des enfant nés sous X et qui ne se construiront jamais.

Voici un lien qui explique bien la position de l'Eglise Catholique qui refuse la PMA :

https://fr.aleteia.org/2017/09/12/pma-les-trois-raisons-simples-pour-lesquelles-leglise-y-est-defavorable/

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Personnellement, je suis contre cette objetisation de l'embryon, et même de l'enfant...

Je pense que celui-ci doit toujours avoir un père et une mère, car ils ont tous deux une force morale différente, qui permettra à l'enfant de grandir en s'appuyant sur eux.

Le père, par exemple, doit avoir si c'est possible une certaine force d'esprit et une belle droiture. Et la mère, elle, parce qu'elle est faite pour aimer, doit donner de la douceur et de l'amour, tout en aidant son mari par ses autres qualités (l'intelligence, ou ce que vous voulez). A deux, ils forment comme deux arbres fort au milieu duquel peut pousser leur enfant, sereinement et positivement.

C'est ce que je pense en tout cas.

(Et les parents, l'un comme l'autre, peuvent avoir beaucoup d'autres qualités évidemment, tant qu'ils s'aident et s'aiment toujours l'un l'autre).

Edit : et puis, Dieu le dit lui-même très bien : l'homme n'est pas fait pour être seul. Je crois que ça vaut dans le couple, mais aussi pour l'enfant, il a besoin du côté paternel et maternel pour grandir selon le bel ordre voulu par Dieu.

Bien sûr, il y a des catastrophes et des horreurs, quand l'un des conjoints meurt prématurément ou autre. Mais là, c'est totalement involontaire... Et même si on doit "faire avec", car la société l'impose comme tel et parce que la vie doit reprendre, on sent toujours un manque...

Pour celui qui a la foi, cela aide de se dire que son proche est aimé de Dieu et est au Ciel, c'est ce qu'on aime penser en tout cas. Mais pour ceux qui ne l'ont pas... Et qui sont peut-être dégoûtés de ce que la société offre... Il y a manque, quelque chose qu'on n'a pas, et dont on a envie, et qui est pour moi l'amour parental, qui est à la fois maternel et paternel.

En tout cas, je trouve que ces deux amours se marient ensemble pour former un bon équilibre pour l'enfant qui doit grandir.

La PMA dans le cas où l'un des membres du couple est infertile, La PMA comme traitement de la stérilité dans un couple hétéro-sexuel, tu en penses quoi ?

Excusez moi de m’immiscer dans votre discussion, mais j'ai vraiment envie de juste dire ce que j'ai au coeur à propos de la PMA en faisant une réponse à Florence sur la question ci dessus.

Même si cette raison de vouloir passer par cette horreur qu'est la PMA, peut paraître être justifiable dans ton exemple Florence, c'est néanmoins la solution piégée de facilité par rapport à l'adoption. 
Solution piégée oui, car induite par Satan. Car lui et ses démons, ces ex anges de lumière qui se sont désunis de Dieu par orgueil puis par haine, sont devenus volontairement l'antithèse de chaque vertu de Dieu, mais aussi des singes calqueurs qui prennent exemple sur ce qui est de Dieu pour le diaboliser et en faire des contrefaçons de perdition pour l'homme, qu'ils haïssent au plus haut point, car de par eux même ils ne peuvent rien créer, rien innover, car seul Dieu est créateur. Alors ils reprennent les merveilles de l'Amour pour les refaçonner selon leurs plans machiavéliques. 

Et la PMA est un de ces plan justement. Quand Dieu crée l'âme avant de lui créer le corps qui lui sera uni, Satan lui, crée un être sans âme. Son but : offenser Dieu, le blesser au plus haut point.
Et sachant la grande facilité de l'homme a se laisser berner, il lui présente cela à la manière d'un magnifique bonbon fait de substances artificielles qui lui donnent un goût succulent et un parfum exquis, alors que sa composition principale est uniquement faite d'arsenic.

Et l'homme se fiant qu'à uniquement ses sens, puisqu'il a jeté depuis fort longtemps les dons de l'Esprit à la poubelle, tombe dans le panneau, et sans même penser que c'est un autre qui lui a posé ce bonbon sous le nez, il se complaît à se pavaner aux yeux de tous que c'est lui qui a braver des dangers pour le voler. Lui, l'être libre et autonome, le super héro qui n'a nul besoin de Dieu pour gérer sa longue et belle vie.

Et c'est la même chose pour d’innombrables autres choses que la PMA, comme l'euthanasie, l'avortement, etc.

Le projet avait été annoncé durant la campagne d’Emmanuel Macron, répété après son élection, il n’a donc été que confirmé et précisé ce mardi 12 septembre au matin par Marlène Schiappa, interrogée par Jean-Jacques Bourdin : la procréation médicalement assistée (PMA) sera bien ouverte à toutes les femmes à l’horizon 2018, c’est à dire étendue aux lesbiennes et aux femmes célibataires.

Ni dogmatique, ni moraliste, pleinement consciente des souffrances engendrées par l’infertilité, l’Église demeure pourtant opposée à cette pratique au nom de sa haute considération de la dignité de tout être humain. Une vision exigeante, source de nombreuses incompréhensions, que l’on peut synthétiser en trois points.

1 – Respecter l’intégrité de l’embryon :

La vie humaine doit être respectée dès sa conception. Compte tenu de cette vision fondamentale, l’Église ne peut accepter une pratique médicale qui conduit à la destruction des embryons surnuméraires qui ne seront pas implantés après fécondation in vitro (FIV) et ne seront pas l’objet de « projets parentaux ». « De cette perspective où l’on reconnaît l’être et la dignité de l’embryon humain comme valeurs absolues, découle le plein respect de son inviolabilité » rappelait l’Académie pontificale pour la vie lors de sa XII^e assemblée en 2006.

2 – Associer la fécondité à l’union des corps : 

La vie humaine résulte de l’union charnelle d’un homme et d’une femme. Au nom de sa vision de l’amour et du mariage, l’Église demeure fidèle à cette anthropologie naturelle et ne valide pas en conséquence la technicisation de la reproduction humaine. « L’amour est essentiellement don, et l’amour conjugal, en amenant les époux à la “connaissance” réciproque qui fait qu’ils sont “une seule chair”, ne s’achève pas dans le couple ; il les rend en effet capables de la donation la plus grande qui soit, par laquelle ils deviennent coopérateurs avec Dieu pour donner la vie à une autre personne humaine » affirmait saint Jean Paul II dans l’exhortation apostolique Familiaris Consortio de 1981.

3 – Protéger la filiation des enfants : 

Le cas particulier de l’insémination artificielle avec donneur (IAD) brouille la filiation des enfants. Ce cas, incontournable dans le cas des lesbiennes et des femmes célibataires qui bénéficieront de l’ouverture annoncée par Marlène Schiappa, prive délibérément l’enfant de la figure paternelle. « La fécondation artificielle hétérologue lèse les droits de l’enfant, le prive de la relation filiale à ses origines parentales, et peut faire obstacle à la maturation de son identité personnelle » indique l’instruction Donum Vitae de 1987.



C’est donc une vision haute de la dignité humaine, du caractère inviolable de la vie, de la protection de l’enfance, de la grandeur du mariage et de la beauté de la sexualité, qui guide la position exigeante de l’Église. Position que l’on pourrait résumer à une phrase : l’enfant est un don, pas un dû.





https://fr.aleteia.org/2017/09/12/pma-les-trois-raisons-simples-pour-lesquelles-leglise-y-est-defavorable/

Merci @Thierry pour ta belle réponse.

Tu as une vision plus nuancée que moi à ce sujet, puisque j'allais dire que, pour les couples infertiles et les couples hétérosexuels qui étaient stériles, qu'il n'était pas forcément mauvais de recourir à la PMA pour les aider à avoir un enfant.

Je veux dire par là que pour moi, la science n'est pas mauvaise si elle aide à voir Dieu et à mettre en avant la vie.

Elle devient mauvaise en revanche si, loin de se satisfaire de ces deux objectifs, elle veut devenir elle-même Dieu et élargir ses recherches de façon... non éthique. Et pour moi, faire des expériences sur des embryons est ainsi abominable par exemple.

Donc j'allais dire que non la PMA n'était pas forcément mauvaise dans le cas de figure où on croit que Dieu crée l'âme et que tout ne vient pas que de la science.

Maintenant, en lisant ton post et l'article d'Aleteia, je suis plus réservée quant à cette pratique. Je ne dirai pas que j'ai le meilleur avis sur le sujet... Et que je dois sûrement plus discerner, réfléchir là-dessus aussi, pour avoir une opinion plus "nuancée".

Par exemple, je ne savais pas que les autres embryons pouvaient être détruits lors de la PMA. Et évidemment, je suis contre cela aussi, car chaque "corps" est destiné à avoir une âme, je pense, et supprimer les embryons, c'est pratiquer en un sens la mort, même si paradoxalement, on veut donner un bébé à un couple...

Puis Dieu reste le Créateur... Et il est facile de penser que, "moi qui suis la science, je suis aussi puissante que Dieu puisque je peux participer à la fécondation et donner à un couple un bébé". Orgueil, orgueil, orgueil...

Et enfin - l'article l'Aleteia a de nouveau raison -, la naissance d'un bébé provient de l'acte de deux parents aussi donc bon...

Je ne suis pas la mieux placée pour parler du sujet, mais je suis plus réservée pour la PMA du coup ^^

florence_yvonne a écrit:Désolée je n'approuve pas quand l'accès a un site dois passer par l'acceptation de ceci

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Merci, @Véronique1, pour ce rappel de l'enseignement de l'Église sur la question.

Toujours cette tentation pour l'Homme de se faire Dieu en rejetant les Lois de Dieu pour les remplacer par ses idéologies du moment.

La PMA est le traitement contre la stérilité, dire que Dieu est contre cela revient à dire qu'une personne atteinte d'un cancer ne doit pas se soigner parce que si Dieu à donner le cancer à cette personne, lui seul doit décider si elle doit vivre ou mourir.

erreur

Emmanuel a écrit:

florence_yvonne a écrit:Désolée je n'approuve pas quand l'accès a un site dois passer par l'acceptation de ceci

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florence_yvonne a écrit:

Emmanuel a écrit:

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florence_yvonne a écrit:La PMA est le traitement contre la stérilité, dire que Dieu est contre cela revient à dire qu'une personne atteinte d'un cancer ne doit pas se soigner parce que si Dieu à donner le cancer à cette personne, lui seul doit décider si elle doit vivre ou mourir.

S’il existait un moyen de guérir l’homme ou la femme stérile soit par voie de médication ou par une opération, l’Église ne s’y opposerait pas. Ici, on veut altérer complètement la façon par laquelle les enfants sont conçus. Là est la différence, et les explications rappelées par Véronique ci-dessus résument bien ce qui est problématique.

La stérilité à souvent des causes médicales. Si la médecine permet aux couples homme-femme stérile d'avoir un enfant où est le problème ? Si Dieu n'avait pas voulu que la PMA existe, elle n'aurait pas existé.

A quoi ressemblerait un Dieu qui refuserait que l'on se soigne ?

florence_yvonne a écrit:La stérilité à souvent des causes médicales. Si la médecine permet aux couples homme-femme stérile d'avoir un enfant où est le problème ? Si Dieu n'avait pas voulu que la PMA existe, elle n'aurait pas existé.

A quoi ressemblerait un Dieu qui refuserait que l'on se soigne ?

Ce n'est pas Dieu qui a inventé la PMA, c'est l'homme et Dieu nous a créés libres.

Le problème, c'est que tu ne crois pas à la VIE qui démarre dès la CONCEPTION.

Je ne vois pas le rapport, la PMA utilisée pour soigner la stérilité est une bonne chose.

Je pense que l’âme prend possession du corps de l'embryon entre la 4 et la 12e semaine de gestation.

florence_yvonne a écrit:Je ne vois pas le rapport, la PMA utilisée pour soigner la stérilité est une bonne chose.

Je pense que l’âme prend possession du corps de l'embryon entre la 4 et la 12e semaine de gestation.

Ce que tu penses Florence-Yvonne n'est pas ce que pense l'Eglise :

L’Église promeut les techniques d’aide à la fertilité (traitement hormonal, restauration ou désobstruction des trompes, traitement de l’endométriose) mais s’oppose à l’assistance médicale à la procréation, soit parce qu’elle « réalise une totale dissociation entre la procréation et l’acte conjugal » (insémination), soit parce qu’elle suppose une destruction d’embryons surnuméraires (fécondation in vitro). « Compte tenu du rapport entre le nombre total d’embryons produits et ceux effectivement nés, le nombre d’embryons sacrifiés reste très élevé », peut-on lire dans l’instruction Dignitas personae, « sur certaines questions de bioéthique », publiée en 2008 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.

La PMA existe déjà pour les couples stériles. Ce n’est donc pas la question. 
Quant à l’âme , elle est infusée dès la fécondation.....

Marylie a écrit:La PMA existe déjà pour les couples stériles. Ce n’est donc pas la question. 
Quant à l’âme , elle est infusée dès la fécondation.....

Voilà et c'est pour cela que l'Eglise est contre, car il y a des embryons qui sont détruits.

Véronique1 a écrit:

florence_yvonne a écrit:Je ne vois pas le rapport, la PMA utilisée pour soigner la stérilité est une bonne chose.

Je pense que l’âme prend possession du corps de l'embryon entre la 4 et la 12e semaine de gestation.

Ce que tu penses Florence-Yvonne n'est pas ce que pense l'Eglise :

L’Église promeut les techniques d’aide à la fertilité (traitement hormonal, restauration ou désobstruction des trompes, traitement de l’endométriose) mais s’oppose à l’assistance médicale à la procréation, soit parce qu’elle « réalise une totale dissociation entre la procréation et l’acte conjugal » (insémination), soit parce qu’elle suppose une destruction d’embryons surnuméraires (fécondation in vitro). « Compte tenu du rapport entre le nombre total d’embryons produits et ceux effectivement nés, le nombre d’embryons sacrifiés reste très élevé », peut-on lire dans l’instruction Dignitas personae, « sur certaines questions de bioéthique », publiée en 2008 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.

Je pense que les embryon surnuméraire devraient être donnés aux femmes qui n'ont plus d'ovule.

Un exemple, ma sœur a eu un cancer du sein hormonodépendant, il a fallu lui retirer ses ovaires, elle n'a donc jamais eu d'enfant. Si on avait prélevé ses ovules et qu'on les avaient congeléés, une fois guérie, grâce à une fiv, elle aurait pus avoir des enfants.

Mais à l'époque, cela ne se faisait pas. quoique avec un dons d’embryon surnuméraire, elle aurait pu avoir l'enfant qu'elle désirait.