Bonjour,
mon mari s'était mis dans une colère noire contre moi après une soirée au bistrot avec ses amis libertaires athées .Il me reproche d'avoir ouvertement exposé mes opinions.
En faits je me rends compte que la fréquentation de ce type de militants ne me vaut rien et me fait souffrir souvent plusieurs jours après la rencontre.
Dernièrement mon mari a voulu les revoir, cette fois je ne suis pas venue.
Mais en revenant il a parlé d'une prochaine rencontre, ils veulent "nous" inviter chez eux et je ne suis pas très enthousiaste. L'idée de manger avec une femme qui pense comme ça sans avoir le droit de lui dire comme je pense me répugne. Elles sont déjà si nombreuses à m'avoir fait du mal à des époques où je n'avais pas d'arguments à leur opposer( mère psychiatres, psys de toutes écoles, "copines"etc...).
Avec des gens comme cela ( très répandus dans le milieu socio professionnel de mon mari et dans ceux qui étaient les miens autrefois) mon mari m'ordonne le silence sur ces sujets polémiques ( divorce, amour "libre", mariage gay, mondialisation, famille...)mais en réalité il est "avec eux". Il a juste peur que cela fasse un conflit et que ses potes n'aient plus envie de le voir à cause de la "réac" avec qui il a le malheur d'être marié.
Je proposerais bien de rester aussi ce soir là à la maison.
Mais je subodore que mon mari souhaite que je vienne pour fermer ma gueule et laisser la militante ( fervente adepte de l'"amour non possessif", tout un programme....)sortir tous ces slogans qui, en raison de mon passé, de mon vécu ( et même de mon couple actuel) etc ne peuvent pas me laisser de marbre. Comme je l'ai dit, après une soirée comme ça je suis bonne pour une semaine de déprime.
Si encore on passait un pacte réciproque : ni l'une ni l'autre ne dit quoi que ce soit sur ces sujets, on parle loisir, cuisine, voyage, spectacles, cela irait. Mais non, ce qu'ils veulent c'est que je soit ( en tant qu'élément discordant) la seule à me taire.
Je cherche une solution....et je ne vois pour le moment que la maladie juste ce soir_là.
mon mari s'était mis dans une colère noire contre moi après une soirée au bistrot avec ses amis libertaires athées .Il me reproche d'avoir ouvertement exposé mes opinions.
En faits je me rends compte que la fréquentation de ce type de militants ne me vaut rien et me fait souffrir souvent plusieurs jours après la rencontre.
Dernièrement mon mari a voulu les revoir, cette fois je ne suis pas venue.
Mais en revenant il a parlé d'une prochaine rencontre, ils veulent "nous" inviter chez eux et je ne suis pas très enthousiaste. L'idée de manger avec une femme qui pense comme ça sans avoir le droit de lui dire comme je pense me répugne. Elles sont déjà si nombreuses à m'avoir fait du mal à des époques où je n'avais pas d'arguments à leur opposer( mère psychiatres, psys de toutes écoles, "copines"etc...).
Avec des gens comme cela ( très répandus dans le milieu socio professionnel de mon mari et dans ceux qui étaient les miens autrefois) mon mari m'ordonne le silence sur ces sujets polémiques ( divorce, amour "libre", mariage gay, mondialisation, famille...)mais en réalité il est "avec eux". Il a juste peur que cela fasse un conflit et que ses potes n'aient plus envie de le voir à cause de la "réac" avec qui il a le malheur d'être marié.
Je proposerais bien de rester aussi ce soir là à la maison.
Mais je subodore que mon mari souhaite que je vienne pour fermer ma gueule et laisser la militante ( fervente adepte de l'"amour non possessif", tout un programme....)sortir tous ces slogans qui, en raison de mon passé, de mon vécu ( et même de mon couple actuel) etc ne peuvent pas me laisser de marbre. Comme je l'ai dit, après une soirée comme ça je suis bonne pour une semaine de déprime.
Si encore on passait un pacte réciproque : ni l'une ni l'autre ne dit quoi que ce soit sur ces sujets, on parle loisir, cuisine, voyage, spectacles, cela irait. Mais non, ce qu'ils veulent c'est que je soit ( en tant qu'élément discordant) la seule à me taire.
Je cherche une solution....et je ne vois pour le moment que la maladie juste ce soir_là.