Bonjour,
Quel sens a la souffrance en fin de vie? Pourquoi accepter les souffrances de l'agonie, ne pas chercher à s'y soustraire en enfreignant le Commandement de Dieu qui dit de ne pas tuer, y compris en attentant à notre propre vie?
D'abord, simplement, bien sûr, par obéissance à Dieu.
Pourtant, même si Dieu veut que l'on s'abandonne à Lui sans exiger continuellement des explications sur Ses plans et Sa Volonté, Lui ne nous laisse pourtant pas sans réponses sur la souffrance et le sens de la souffrance.
Le Christ a transformé la rude Croix en quelque chose de salvateur pour nous.
Par la rude épreuve, il purifie notre âme, il nous détache de tout ce qui est terrestre, pour tourner notre âme de plus en plus vers Lui.
Lorsque nous souffrons sur terre, nous faisons comme notre Purgatoire, mais cette fois, ici-bas, c'est méritoire.
Nous ressemblons de plus en plus à Jésus, Dieu nous façonne à son image, il nous prépare pour le Ciel.
Voici un dialogue entre Jésus et des paysans qu'il a rencontrés et qui l'ont questionné à ce sujet, dans la belle oeuvre de Maria Valtorta.
Amicalement,
Emmanuel
Quel sens a la souffrance en fin de vie? Pourquoi accepter les souffrances de l'agonie, ne pas chercher à s'y soustraire en enfreignant le Commandement de Dieu qui dit de ne pas tuer, y compris en attentant à notre propre vie?
D'abord, simplement, bien sûr, par obéissance à Dieu.
Pourtant, même si Dieu veut que l'on s'abandonne à Lui sans exiger continuellement des explications sur Ses plans et Sa Volonté, Lui ne nous laisse pourtant pas sans réponses sur la souffrance et le sens de la souffrance.
Le Christ a transformé la rude Croix en quelque chose de salvateur pour nous.
Par la rude épreuve, il purifie notre âme, il nous détache de tout ce qui est terrestre, pour tourner notre âme de plus en plus vers Lui.
Lorsque nous souffrons sur terre, nous faisons comme notre Purgatoire, mais cette fois, ici-bas, c'est méritoire.
Nous ressemblons de plus en plus à Jésus, Dieu nous façonne à son image, il nous prépare pour le Ciel.
Voici un dialogue entre Jésus et des paysans qu'il a rencontrés et qui l'ont questionné à ce sujet, dans la belle oeuvre de Maria Valtorta.
http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2002/02-047.htm#Benediction- La douleur n'est-elle pas toujours un mal ?
- Non, ami, c'est un mal du point de vue humain, mais d'un point de vue qui dépasse l'humain, c'est un bien. Elle augmente les mérites des justes qui la supportent sans désespérer ni se révolter et l'offrent, en s'offrant par leur résignation en sacrifice d'expiation pour leurs propres manquements et pour les fautes du monde. Elle est rédemption pour ceux qui ne sont pas justes.
- C'est si difficile de souffrir! dit le paysan auquel se sont joints les membres de sa famille : une dizaine entre adultes et enfants.
- Je sais que l'homme trouve que c'est difficile. Et sachant comment l'homme l'aurait jugée telle, le Père ne l'avait pas donnée à ses fils. Elle est venue à la suite de la faute. Mais combien de temps dure la souffrance sur la terre ? Dans la vie d'un homme, peu de temps. Toujours peu, même si elle dure toute la vie. Maintenant je vous dis : n'est-il pas préférable de souffrir un peu de temps que toujours ? N'est-il pas préférable de souffrir ici qu'au Purgatoire ? Pensez, là le temps est multiplié par mille. Oh ! en vérité, je vous le dis qu'on ne devrait pas maudire mais bénir la souffrance et l'appeler "grâce" et l'appeler "pitié".
Amicalement,
Emmanuel