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Santé : Obésité - Nous sommes pris entre une volonté d’équilibre santé et apologie constante de la nourriture

Gilles
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Message par Gilles Dim 19 Jan - 19:28

Santé : Obésité - Nous sommes pris entre une volonté d’équilibre santé et apologie constante de la nourriture Obesite-2019-site-600x400

« Ben voyons ! T’es pas grosse ! »

Nous sommes pris entre une volonté d’équilibre santé et apologie constante de la nourriture. Le nouveau terme « grossophobie » ne résout pas du tout ce problème. À l’inverse, il nous fait oublier certaines réalités.

Vous avez certainement croisé récemment la fameuse phrase qui commence de nombreux textes ces temps-ci :
« Avec la fin du temps des fêtes vient le temps des résolutions… Et qui dit résolutions, dit régimes ! »


Ce qu’il y a de fabuleux, c’est que ces mots introduisent autant les articles vantant/vendant des diètes que ceux qui les décrient…

Et voilà le sujet de cette chronique : la oh-combien-angoissante contradiction de notre société à propos de la nutrition et du poids santé.

Un peu moins de mou

Ça fait 7 semaines que j’ai accouché. J’avais surement pris plus que le entre-25-et-35-livres recommandé par mon très cher Mieux Vivre.

Pour être honnête, c’est à peu près ce qu’il doit me rester de cette grossesse, 25 livres… La vérité, c’est que je n’ai pas de balance et que je refuse de me peser lors des rencontres de suivi avec ma sage-femme. Pas envie ni besoin de mettre des chiffres sur l’évolution de mes bourrelets.

Tout ça pour dire que j’en arrive au moment où j’aimerais retrouver un corps un peu moins mou de partout. Parce que j’ai un réel surplus. Rien de dramatique ou de problématique pour ma santé, d’autant plus que j’allaite et que je sais que j’ai besoin de réserves. Mais c’est surtout que je sais que c’est un symptôme de ma sédentarité.

Entendez-moi bien : je ne dis pas que je suis obèse et je ne méprise pas ce corps qui a donné la vie plus souvent qu’à son tour. Je dis seulement que je pourrais mieux en prendre soin.

En bougeant plus, par exemple, et en coupant peut-être un peu le McDo.

Le faux culte du bien-être

J’entends déjà les « Ben voyons ! T’es pas grosse ! », ou même, les commentaires m’accusant d’être grossophobe. Vous pensez que j’exagère ? Parlez-en à Nathalie Simard.

La grossophobie, c’est une des nouvelles étiquettes tendance. Pour contrebalancer le culte absolu du corps svelte et l’apologie de l’anorexie omniprésente dans la représentation des femmes (surtout), on en vient aujourd’hui à admirer la grosseur. À la défendre. À dénoncer le désir de certains de perdre du poids, et même se considérer en « surplus », puisqu’ils véhiculent alors un message péjoratif et discriminatoire face aux personnes rondes.

Mettons tout de suite quelque chose au clair : je ne parle pas ici de beauté. Parce qu’évidemment que grosseur et beauté ne sont pas incompatibles. Au contraire.

On n’a qu’à penser aux Trois Grâces de Rubens (sans vouloir faire de mauvais jeu de mots), où l’artiste représente les déesses du charme, de la beauté et de la créativité par des femmes magnifiques, bien en chair, cellulite incluse. Elles sont splendides, ces femmes !
On s’entend qu’objectivement, y’a pas beaucoup de monde qui se sent mieux après une poutine extra-soooucisses qu’après une assiette de crudités.
Je pense surtout à la santé.

Parce que quand un nutritionniste suivi par des milliers de personnes publie dans ses médias sociaux que « c’est ben correct de manger de la crap si c’est de ça que t’as envie », pour appuyer le fait que la privation est rarement une bonne solution dans les habitudes alimentaires… c’est là que j’ai personnellement un malaise.

On s’entend qu’objectivement, y’a pas beaucoup de monde qui se sent mieux après une poutine extra-soooucisses qu’après une assiette de crudités.

Ne plus jouer à l’autruche

Qu’on promeuve de saines habitudes de vie, une alimentation variée et équilibrée, ça va pour moi. Mais qu’on ne puisse plus parler de la grosseur comme d’un problème, de peur de blesser certaines personnes, là, ça me dérange.

Après tout, en 2017, dans les pays membres de l’OCDE, c’était plus d’un adulte sur deux qui souffrait d’obésité, alors qu’on associe le surpoids à de plus en plus de problèmes de santé.

On ne veut tellement pas associer la grosseur ou la prise de poids avec les problèmes de contrôle personnel ou de relation malsaine avec la nourriture qu’on évacue complètement la question.

Certainement, plusieurs facteurs différents peuvent être à l’origine de l’obésité. On n’a qu’à penser aux abominables effets de médication pour soigner certains problèmes de santé mentale, par exemple, qui occasionnent des prises de poids effarantes et pratiquement inévitables…

Je ne dis pas que toutes les personnes grosses sont responsables de leur sort et n’ont aucune volonté. Je crois seulement qu’en évacuant totalement du discours ambiant les aspects problématiques liés au surplus de poids et les différentes façons d’y remédier, de peur que les personnes touchées ne se sentent accusées, on ne fait que jouer à l’autruche.

Et on n’aide finalement personne.



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Message par Gilles Lun 20 Jan - 3:07

Santé : Obésité - Nous sommes pris entre une volonté d’équilibre santé et apologie constante de la nourriture 16fff8da-lat08_obesite_julieartacho-1200x675

Il faut changer notre regard sur les gros

Non, les gros ne sont pas paresseux et portés sur les burgers. Non, être gros n’est pas synonyme de mauvaise santé, tout comme être mince ne veut pas dire être en grande forme. Pourtant, c’est ce qu’on répète sans relâche à ceux qui ne correspondent pas aux standards corporels. Et ils en ont marre.

Enhardie par quelques gorgées de rosé et des sourires bienveillants, Catherine Joubert, une directrice de marketing de 39 ans, s’épanche devant la dizaine de femmes assises en cercle dans le studio de la photographe Julie Artacho, rue de Bordeaux, à Montréal. « Je me suis haïe toute ma vie, mais aujourd’hui, je suis en train d’accepter que c’est correct d’être grosse, et que je n’ai pas à m’excuser d’exister, dit-elle, pimpante dans son chemisier kimono fleuri. Et c’est grâce à des personnes comme vous, tellement hot, belles, rayonnantes ! »

Ce 5 à 7 sous le signe de l’émotion, où les participantes ne se font pas prier pour raconter leur vécu, est l’une des premières rencontres d’un groupe qui s’est formé sur Facebook au printemps et qui compte une centaine d’adhérentes à cette heure : le Montreal Fat Babe Squad (traduction libre : le club des belles filles grosses). L’actualité a été convié, à la condition de taire les noms de famille de celles qui ne veulent pas risquer d’être reconnues alors qu’elles étalent des pans intimes de leur vie.

Ce petit cercle privé est l’une des nombreuses manifestations d’un courant de plus en plus populaire au Québec — la fat acceptance, une expression pas encore traduite qui signifie « acceptation des gros ». Le mouvement militant, porté presque seulement par des femmes, même si la cause défendue concerne aussi les hommes, s’inspire directement du vocabulaire et de la pensée des fat activists aux États-Unis, qui ont investi Internet et les réseaux sociaux dans les années 2000.

Les filles du Fat Babe Squad sont grosses. Pas rondelettes, ni grassouillettes, ni potelées : grosses. Assez pour porter l’étiquette d’obèses, selon les critères fixés par l’Organisation mondiale de la santé — c’est-à-dire que leur indice de masse corporelle (IMC), calculé en divisant le poids en kilos par la taille en mètre au carré, est de 30 ou plus. Au Québec, c’est le cas d’un homme sur cinq et d’une femme sur six, des proportions en constante augmentation depuis les années 1980.

Les souffrances que vivent ces personnes vont bien au-delà des complexes que peuvent éprouver ceux dont les courbes sont un peu trop prononcées par rapport aux standards de beauté de notre époque. Elles subissent une discrimination réelle, documentée par de plus en plus de chercheurs en Occident, à laquelle on a donné le nom de « grossophobie ». Le terme, apparu pour la première fois dans les années 1990, englobe les préjugés et les attitudes hostiles à l’égard des gros, ainsi que les nombreuses iniquités qu’ils subissent, entre autres à l’école, au travail et dans le cabinet du médecin.

Loin d’être anecdotique, la discrimination fondée sur le poids est aussi présente que le sont le racisme et le sexisme dans la société, démontrent les travaux de la psychologue américaine Rebecca Pulh, directrice du centre de recherche et de politiques publiques Rudd Center for Food Policy and Obesity à l’Université du Connecticut.

Mais contrairement à l’exclusion des Noirs, des juifs ou des gais, celle des gros est « acceptée socialement », affirme le sociologue Jean-Pierre Poulain, spécialiste de l’alimentation et de la corpulence à l’Université Toulouse–Jean-Jaurès, en France, auteur du livre Sociologie de l’obésité (PUF, 2009). « Ceux qui l’exercent le font sans culpabilité, car les obèses sont soi-disant responsables de leur état et méritent d’être condamnés. À leurs yeux, ce ne sont pas des gens normaux. »

La grossophobie touche plus durement les femmes et croît avec le poids ; autrement dit, plus les gens sont gros, plus ils sont susceptibles d’être discriminés, selon une vaste étude réalisée par des chercheurs allemands en 2015. Par exemple, une personne présentant une obésité dite morbide — dont l’IMC est de 40 ou plus — risque davantage de subir des agressions verbales ou de se voir refuser un emploi à cause de sa grosseur qu’une autre présentant une obésité légère.

À ce jour, aucune étude n’a mesuré l’ampleur de la stigmatisation liée au poids au Québec. La recherche sur la question en est encore à ses balbutiements, contrairement à ce qu’on observe aux États-Unis. Mais il suffit d’écouter pendant quelques heures les filles du Fat Babe Squad pour saisir à quel point la société est cruelle à l’égard de ceux dont le corps déborde du moule.

« La semaine passée, je revenais d’une soirée à pied et des gars en char ont proposé de me faire la faveur de m’enculer, puisque personne ne devait jamais vouloir de moi », raconte Élise, une orthopédagogue dans la vingtaine. Ses consœurs hochent la tête avec tristesse — toutes ont déjà subi pareille violence. Les histoires sordides s’enchaînent. Beaucoup se plaignent d’être la cible de fétichistes qui rêvent juste d’« essayer une grosse », comme si elles étaient un « manège », et de recevoir des demandes sexuelles dégradantes qu’elles devraient pourtant s’estimer chanceuses de recevoir, étant donné leur poids…

Aux « grosse truie », « gros suif » ou « bonhomme Michelin » lancés en pleine rue par des sans-génie s’ajoutent les regards dédaigneux et les remarques insidieuses. « Il y a les collègues qui s’étonnent de te voir manger une salade, les amies minces qui te trouvent donc “courageuse” de te mettre en maillot, les membres de ta famille qui surveillent tes portions pendant un party, énumère Catherine Joubert. Sans compter les inconnus au gym qui te félicitent de te “prendre en main” ! »


Lire la suite : Il faut changer notre regard sur les gros | L'actualité

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Message par Gilles Lun 20 Jan - 17:13

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Est-ce un péché d'être obèse ?

Après quatre régimes majeurs en une décennie, je savais que la perte de poids n'était pas mon problème.

Garder mon poids avait plus à voir avec mes pensées qu'avec la cuillère dans ma main.

Nous classons les personnes grosses ou grosses en surpoids comme des «graisses». Et la cause d'un poids excessif, l'obésité, peut même ne pas être de la nourriture. Dette de sommeil, médicaments et troubles médicaux, inactivité, dépression chronique, vieillissement, tendances ancestrales, arrêt du tabac - il existe de nombreux contributeurs potentiels à la prise de poids.

Nous ne pouvons pas dire que l'obésité est un péché, et nous devons faire attention à ne pas juger les autres sur leur apparence extérieure ( Jean 7:24 ), surtout si nous ne connaissons pas leur histoire.

Les médias ne devraient pas non plus avoir le dernier mot pour définir «maigre» et «gras». Les corps jeunes et aérographiés sont censés nous pousser à acheter des solutions rapides. Nous devons recevoir des messages sur l'apparence de l'Écriture, pas de la culture.

Mais nous ne pouvons pas non plus rejeter les problèmes de poids trop rapidement, car la Bible présente une forte cause de la plupart des excès alimentaires.

Les chrétiens ne doivent jamais se condamner eux-mêmes, car Dieu ne condamne pas les croyants ( Romains 8: 1 ). En Christ, les croyants sont libres et Il nous aide à découvrir le chemin d'une alimentation saine. Mais nous devons demander et être enseignables Jacques 1: 5 ; Psaume 25: 1-5 ).


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Message par Gilles Mar 21 Jan - 3:01

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5 raisons de ne jamais juger une personne en surplus de poids

1. La majorité des Canadiens ont un surplus de poids

Plus d’une personne sur 3 est en surplus de poids au Canada, tandis qu’une personne sur 4 souffre d’obésité1. Des pourcentages aussi élevés démontrent que le problème n’est pas individuel, mais à beaucoup plus grande échelle. L’obésité est un phénomène complexe en lien avec plusieurs facteurs, qui diffèrent d’une personne à l’autre. Mettre toute la responsabilité sur la personne est réducteur et ne tient pas compte d’éléments importants comme les facteurs environnementaux.

2. La génétique contribue au surplus de poids

Selon une étude effectuée au Québec, la prévalence de l’obésité peut être expliquée de 10 à 50% par l’hérédité 2. Ainsi, bien que l’environnement ait un impact sur la prise de poids, les gènes vont déterminer si la personne aura ou non un gain de poids important.

3. Une prise de poids ne s’explique pas seulement par l’alimentation

Plusieurs facteurs peuvent expliquer une prise de poids dans la vie d’une personne. Un arrêt tabagique, une prise de médicaments, une diminution de l’activité physique à la suite d’une blessure, un changement d’emploi ou un manque de sommeil sont toutes des causes possibles d’une prise de poids sans changement des habitudes alimentaires !

4. Le poids n’est pas le reflet des habitudes de vie de la personne

Que les personnes en surplus de poids ou souffrant d’obésité ont de moins bonnes habitudes de vie est un mythe bien répandu, à la fois chez les professionnels de la santé que dans la population en général. Les dernières données canadiennes sur l’activité physique montrent que seulement 15% des Canadiens rencontrent les recommandations en matière d’activité physique (soit 150 minutes d’activité physique modérée à vigoureuse par semaine). En plus, les personnes en surplus de poids ou obèses, particulièrement les femmes, ne font pas moins d’activité physique que les personnes de poids normal.

5. Le poids ne dit absolument rien sur la personne devant vous!

Évidemment, le poids ne dit absolument rien sur la personnalité et les qualités des gens qu’on côtoie. En jugeant une personne en surplus de poids, on s’empêche de connaître des personnes intéressantes et enrichissantes !


Source : https://equipenutrition.ca/

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