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Messe de l’Épiphanie : le Pape François rappelle le sens de l’adoration

Véronique1
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Message par Véronique1 Lun 6 Jan - 11:42

Messe de l’Épiphanie : le Pape François rappelle le sens de l’adoration Cq5dam.thumbnail.cropped.1000.563  Le Pape embrassant l'Évangile lors de la messe de l'Épiphanie, le 6 janvier 2020 à la basilique Saint-Pierre.  (Vatican Media)


Messe de l’Épiphanie : le Pape François rappelle le sens de l’adoration

En ce jour de l’Épiphanie (célébrée au Vatican et en Italie à la date fixe du 6 janvier, et non pas le premier dimanche de janvier comme en France), le Pape François a centré son homélie sur le sens du verbe “adorer”, invitant donc à suivre les rois mages dans leur sincérité et leur humilité vis-à-vis de Jésus.



«Si nous perdons le sens de l’adoration, nous perdons le sens de la marche de la vie chrétienne, qui est un cheminement vers le Seigneur, non pas vers nous», a averti François. «C’est le risque contre lequel l’Evangile nous met en garde, en présentant, à côté des Mages, des personnages qui n’arrivent pas à adorer.»


C’est notamment le cas du roi «Hérode, qui utilise le verbe adorer, mais avec une intention fallacieuse», en demandant aux rois mages de lui indiquer le lieu de la naissance de Jésus, sous prétexte de pouvoir venir l’adorer. «En réalité, Hérode n’adorait que lui-même», a rappelé le Pape. Cela montre que «l’homme, quand il n’adore pas Dieu, est amené à adorer son moi. Et même la vie chrétienne, sans adorer le Seigneur, peut devenir un moyen raffiné pour s’affirmer soi-même et son talent», a-t-il averti.


Un autre contre-exemple est offert par «les chefs des prêtres et les scribes du peuple. Ils indiquent à Hérode, avec une précision extrême, où serait né le Messie : à Bethléem de Judée. Ils connaissent les prophéties et les citent avec exactitude. Ils savent où aller, mais n’y vont pas», a raconté le Pape, avant de lancer cette interpellation : «Dans la vie chrétienne, il ne suffit pas de savoir : sans sortir de soi-même, sans rencontrer, sans adorer, on ne connaît pas Dieu. La théologie et l’efficacité pastorale servent à peu de choses ou même à rien si on ne plie pas les genoux ; si on ne fait pas comme les Mages, qui ne furent pas seulement des savants organisateurs d’un voyage, mais qui marchèrent et adorèrent.»


L’adoration, un critère de sincérité et d’humilité dans la foi 



«Au début de l’année, redécouvrons l’adoration comme une exigence de la foi. Si nous savons nous agenouiller devant Jésus, nous vaincrons la tentation de continuer à marcher chacun de son côté», a souligné le Pape François. «Adorer, en effet, c’est accomplir un exode depuis l’esclavage le plus grand, celui de soi-même. Adorer, c’est mettre le Seigneur au centre pour ne pas être centrés sur nous-mêmes. C’est remettre les choses à leur place, en laissant à Dieu la première place.»


«Adorer, c’est se faire petit en présence du Très Haut, pour découvrir devant Lui que la grandeur de la vie ne consiste pas dans l’avoir, mais dans le fait d’aimer, a expliqué l’évêque de Rome. Adorer, c’est nous redécouvrir frères et sœurs devant le mystère de l’amour qui surmonte toute distance : c’est puiser le bien à la source, c’est trouver dans le Dieu proche le courage d’approcher les autres. Adorer, c’est se taire devant le Verbe divin, pour apprendre à dire des paroles qui ne blessent pas, mais qui consolent.»


Se situer dans une dynamique d’amour, à la suite des Mages



«Adorer, c’est un geste d’amour qui change la vie, a expliqué François en détaillant toute la symbolique des offrandes des Mages déposées à Jésus. C’est faire comme les Mages : c’est apporter au Seigneur l’or, pour lui dire que rien n’est plus précieux que lui ; c’est lui offrir l’encens, pour lui dire que c’est seulement avec lui que notre vie s’élève vers le haut ; c’est lui présenter la myrrhe, avec laquelle on oignait les corps blessés et mutilés, pour promettre à Jésus de secourir notre prochain marginalisé et souffrant, parce que là il est présent.»


«De nombreux chrétiens qui prient ne savent pas adorer», a averti François. «Trouvons du temps pour l’adoration dans nos journées et créons des espaces pour l’adoration dans nos communautés. En adorant, nous aussi, nous découvrirons, comme les Mages, le sens de notre cheminement. Et, comme les Mages, nous expérimenterons “une très grande joie”», a conclu le Saint-Père.



https://www.vaticannews.va/fr/pape/news/2020-01/messe-epiphanie-2020-pape-francois-adoration.html
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M8735


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Message par M8735 Lun 6 Jan - 12:58

L'eucharistie : le feu de l'amour !

Messe de l’Épiphanie : le Pape François rappelle le sens de l’adoration 945f8010
Certains s’inquiètent de voir l’adoration eucharistique se répandre dans l’Église. Qu’on se rassure ! Jean-Paul II disait : « Il n’y a aucun risque d’exagération dans l’attention que l’on porte à ce mystère, car dans ce sacrement se résume tout le mystère de notre Salut. »

Dans cette perspective, l’adoration eucharistique est un signe prophétique pour les temps qui viennent : elle atteste du primat de Dieu et de la grâce ; elle est l’anti-idolâtrie par excellence !


L’eucharistie, c’est la façon avec laquelle Jésus a choisi de demeurer avec nous tous les jours jusqu’à la fin des temps. L’eucharistie, c’est donc Jésus en personne, le même qui est né de la Vierge Marie, le Crucifié et Ressuscité, assis à la droite du Père ! Si l’on croyait vraiment en cette présence réelle et corporelle de Jésus Emmanuel au Saint-Sacrement, il est évident que tout notre être serait aimanté vers Lui ! Et l’Église tout entière y viendrait avec la ferveur inouïe d’une Marie Madeleine ou d’un Bartimée !


Quelques mois après son élection, le pape François invitait toutes les paroisses et communautés religieuses à vivre une heure d’adoration eucharistique solennelle, planétaire et simultanée. C’était à l’occasion de la Fête-Dieu en 2013. François était lui-même devant Jésus Hostie exposé sur l’autel de la Confession de la basilique Saint-Pierre. Ce fut une grande prière universelle pour l’Église et pour le monde !

Le signe le plus lumineux de notre foi

Jean-Paul II, prophète, disait déjà en 1980 : « Tout est possible si une nouvelle ère eucharistique devient ce qui anime la vie de l’Église. Que l’amour et l’adoration de Jésus dans le Saint-Sacrement soient donc le signe le plus lumineux de notre foi ! »


Il rejoignait le désir de Paul VI : « Nous prions pour que, dans tous les secteurs de l’Église, il y ait une ère nouvelle de piété eucharistique qui fasse naître la confiance et l’amour fraternel et engendre la justice et la sainteté de la vie. » 


Jean-Paul II, pour sa part, appelait à un « véritable renouveau de la foi et de la dévotion à la Présence réelle du Christ dans l’eucharistie », fondement « d’une école eucharistique de la liberté... qui nous parle le langage de l’exigence et du don de soi ».


Sainte Teresa de Calcutta insistait : « Lorsque vous contemplez la Sainte Hostie, vous comprenez combien que Jésus vous aime en ce moment ! Voilà pourquoi vous devriez demander à votre prêtre d’instaurer l’adoration perpétuelle dans votre paroisse... Je supplie la Vierge Marie de toucher le cœur de tous les prêtres afin qu’ils instaurent l’adoration perpétuelle dans leurs paroisses et que cette dévotion se propage dans le monde entier ! »


 Et d’ajouter aussitôt : « L’heure sainte devant l’eucharistie doit nous conduire à l’heure sainte avec les pauvres. »



Saint Pierre-Julien Eymard désirait réveiller – grâce à l’eucharistie – « la France et l’Europe engourdies dans un sommeil d’indifférence ».


 Il écrivait : « Qu’on le sache bien, une civilisation grandit ou décroît en fonction de son culte pour la divine eucharistie. C’est là la vie et la mesure de sa foi, de sa charité et de sa vertu. »


Père Nicolas Buttet. 


https://www.famillechretienne.fr/foi-chretienne/vivre-en-chretien/l-eucharistie-le-feu-de-l-amour-!-265058
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M8735


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Message par M8735 Mar 7 Jan - 6:44

[ltr]Que dit l’Épiphanie sur Jésus?[/ltr]



Messe de l’Épiphanie : le Pape François rappelle le sens de l’adoration 25ad3710


«Épiphanie » signifie manifestation du Divin


Cette fête nous révèle d’abord le visage de Dieu. Un visage déconcertant, stupéfiant. Dans la tradition juive on n’osait pas prononcer le Nom de Dieu (Yavhé), si ce n’est le Grand Prêtre, une fois l’an, dans le temple de Jérusalem à l’occasion de la fête du Yom Kippour (le Grand Pardon). 


Voilà maintenant qu’il nous est donné de voir le visage de Dieu dans cet enfant de la crèche ; on peut même le toucher, le porter dans ses bras ! En Lui, Dieu a manifesté sa bonté et son amour pour les hommes : Il nous a sauvés (cf. Tite 3, 4).


C’est devant cet Enfant-Dieu que se prosternent les Mages. Désormais, l’adoration de l’homme a trouvé son « lieu » : la personne de Jésus Christ. L’Épiphanie est l’anti-idolâtrie par excellence : nous savons dorénavant devant qui nous agenouiller.


 James Irwin, le huitième homme à avoir marché sur la Lune lors de la mission d’Apollo 15 en 1971, déclara à son retour sur la Terre : « Le plus important, ce n’est pas que l’homme ait marché sur la Lune, mais que Dieu ait marché sur la terre en la personne de Jésus Christ ».


À travers leurs présents, les Mages font une profession de foi. 


Par l’offrande de l’or, ils reconnaissent la royauté du Christ. 


Par l’encens, ils confessent Jésus comme prêtre de l’Alliance nouvelle. 


En offrant la myrrhe, c’est le prophète qu’ils célèbrent, celui qui donnera sa vie et versera son sang pour réconcilier l’humanité avec le Père.


Le deuxième aspect de cette fête de l’Épiphanie, c’est la « manifestation » du Christ à tous les peuples, par la présence de ces hommes venus de l’étranger.
 C’est pourquoi l’Épiphanie met en relief l’ouverture universelle du salut apporté par Jésus.


Nous savons dorénavant devant qui nous agenouiller : la personne de Jésus Christ.


Enfin, à l’Épiphanie, Jésus apparaît telle « la lumière véritable qui éclaire tout homme » (Jn 1, 9). 


L’astre qui guide les Mages n’obéit plus aux lois de l’univers mais au pouvoir et à la présence d’un enfant reposant sur la paille. 


C’est ainsi qu’est inaugurée une nouvelle ère : celle de la grâce. 


Dans la Légende Dorée, Jacques de Voragine explique qu’il y eut cinq étoiles en ce temps béni de la venue du Sauveur : 
une étoile matérielle, que les Mages virent en Orient ; une étoile spirituelle, la foi qu’ils virent dans leur cœur et qui les poussa à vouloir « adorer » le Roi des juifs ;
 une étoile intellectuelle, l’ange qui les avertit de ne pas revenir chez Hérode ; une étoile raisonnable, la Sainte Vierge qu’ils virent dans l’étable ; enfin, l’étoile supersubstantielle, Jésus qu’ils virent dans la crèche.


 En voyant la première et la deuxième, ils se sont réjouis ; en voyant la troisième, ils se sont réjouis de joie ; en voyant la quatrième, ils se sont ré-jouis d’une grande joie ; en voyant la cinquième, ils se sont réjouis d’une très grande joie !


« La grande étoile, la véritable Supernova qui nous guide, c’est le Christ Lui-même. Il est, pour ainsi dire, l’explosion de l’amour de Dieu, qui fait resplendir sur le monde le grand éclat de son cœur » (Benoît XVI). 


Autour de cette étoile gravite une nouvelle constellation : celle des saints qui rayonnent la lumière du Christ et irradient le monde de sa joie et de sa paix.  


Père Nicolas Buttet 


https://www.famillechretienne.fr/foi-chretienne/ecriture-sainte/que-dit-l-epiphanie-sur-jesus-156595


Dernière édition par Marylin le Mar 7 Jan - 6:57, édité 1 fois
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M8735


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Message par M8735 Mar 7 Jan - 6:56

Épiphanie – À notre tour, poussés par la foi, suivons les mages !


Messe de l’Épiphanie : le Pape François rappelle le sens de l’adoration 72619810



L’Épiphanie, comme toutes les fêtes liturgiques, n’est pas la simple commémoration d’un événement passé : c’est vraiment une bonne nouvelle pour les hommes d’aujourd’hui, pour chacun d’entre nous. 


Alors, au-delà des galettes, couronnes et santons, décryptons la portée de ce long voyage d’hommes venus d’ailleurs et à qui, peut-être, nous pouvons ressembler. 


- Mais d’abord, qui étaient les mages ? 


L’évangéliste ne nous dit pas grand-chose à leur sujet. À vrai dire, on en ignore le nombre et l’origine exacte. 


Le nombre de trois mages vient des trois cadeaux évoqués par saint Matthieu : l’or, l’encens et la myrrhe. 
Mais ce n’est que vers le VIe siècle qu’apparaissent Gaspard, roi d’Arabie, Melchior, roi de Perse et Balthazar, roi des Indes : souverains de légende, sans doute, mais qui disent bien l’essentiel.


 À savoir que les mages n’étaient pas des Juifs : ils représentent tous les « Gentils », les non-Juifs, tous les peuples de la terre pour qui Jésus est né. La nouvelle Alliance –€“ Nouveau Testament –€“ est scellée non plus seulement avec le peuple juif mais avec toutes les nations et toutes les races de la terre. 
Alors, gardons ces trois rois venus d’Orient, mais invitons les enfants à en découvrir le sens.


- Les mages, qui étaient probablement des astronomes astrologues, ont remarqué une étoile inhabituelle. 


Ils comprennent que cette étoile va les mener « au roi des Juifs qui vient de naître » (Matthieu 2, 2) Et sans hésiter, ils se mettent en route. 


Mais arrivés à Jérusalem, ne sachant plus où aller, ils sont guidés par les explications des « princes des prêtres et aux scribes » qui se réfèrent à la prophétie de Michée.


 C’est cela, la foi : se mettre en route, poussé par l’Esprit Saint (qui d’autre que l’Esprit Saint, en effet, aurait pu faire comprendre aux mages que l’étoile allait les conduire au Roi des Juifs ?) et guidé par l’Église qui explique pour nous l’Écriture. 


Le voyage des Mages n’a certainement pas été facile et il fallait qu’ils soient habités d’une rare confiance pour partir ainsi, quasiment à l’aveuglette, parcourant des centaines et des centaines de kilomètres dans le seul but de se prosterner devant un roi dont, finalement, ils ne savaient pas grand-chose.


 Bien sûr, quand nous lisons leur histoire après coup, cela paraît relativement simple : ils sont venus voir Jésus, lui apporter des présents et l’adorer. 


Mais pour eux, les choses n’étaient pas si claires : ils se sont mis en route avant de comprendre vraiment, avant d’avoir une vision claire de la réalité ; comme tous les croyants –€“ comme Abraham, par exemple – ils ont d’abord obéi et n’ont compris qu’après. 


Ainsi sommes-nous appelés à nous mettre en route : à tâtons parfois, dans la confiance toujours, sans autre assurance que la parole de Dieu qui ne peut « ni se tromper ni nous tromper ». 


Croire, c’est avant tout avoir confiance. Répondre à l’appel de Dieu nous conduit tôt ou tard à sauter dans l’inconnu. 


Notre étoile à nous, c’est le Christ, « lumière au milieu des ténèbres », « étoile en marche, issue de Jacob » (Livre des Nombres 24, 17). 


Mais le Christ nous demande aussi d’être des étoiles les uns pour les autres : 
« Quiconque, dans l’Église, vit pieux et chaste, goûte les choses d’en haut et non celles de la terre, est comme un astre du ciel. […] Il montre à beaucoup d’autres la voie vers le Seigneur, comme fit l’étoile. […] Vous devez vous être utiles les uns aux autres, afin de resplendir comme des fils de lumière. » (1) 


Invitons les enfants à trouver des exemples concrets pour dire quand et comment nous pouvons être des « étoiles ».


- L’or, l’encens et la myrrhe ne sont pas des cadeaux choisis au hasard 


: l’or est le présent que l’on donne à un roi : les mages reconnaissent en Jésus le roi de l’univers ;


 l’encens est symbole de l’adoration qui monte vers Dieu : les mages se prosternent devant l’Enfant de la crèche parce que l’Esprit Saint leur donne de croire que ce petit bébé est vraiment Dieu ; 


la myrrhe est un baume utilisé pour ensevelir les morts : elle annonce le tombeau du Vendredi saint et atteste que Jésus « a pris notre condition d’homme en toutes choses, excepté le péché ». 


Et ce sont ces mêmes trésors que nous sommes invités à offrir en adorant Jésus, vrai Dieu et vrai homme : l’or, l’encens et la myrrhe importent peu en eux-mêmes.


 Ce qui compte, c’est ce qu’ils représentent de foi, d’adoration et d’amour.


https://www.famillechretienne.fr/foi-chretienne/vivre-en-chretien/epiphanie-a-notre-tour-pousses-par-la-foi-suivons-les-mages-!-39540
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