Bonjour,
j'ai été absente pendant longtemps car je n'ai plus eu de temps pour rien... je suis épuisée.
Mes filles de 15 ans sont définitivement rayées de l'école où elles allaient et ont été reçues à l'internat catho pour la rentrée de septembre, elles nous l'ont fait "payer" mais maintenant elles sont en camp scout.
Je me demande quelle prière faire car je sens ma foi faiblir ( mes forces physiques aussi).
Je repense à plein de choses dites par ma mère le 30 avril dernier, au téléphone, des phrases empoisonnées toujours actives qui montrent comme elle me hait. C'est complètement malsain mais tout en me méprisant et en salissant ma réputation aux yeux de toute la famille ( la belle-famille inclue), elle me court après et elle met en marche ses "alliés" ( style des tantes ou marraine qui m'appellent parce qu'elle le leur demande ( "mais surtout tu dis pas que cela vient de moi") et qui veulent me parler pour me faire des remontrances et me demander de la voir, qui vont en suite lui donner des infos sur moi et mon état d'esprit, etc...sans savoir pourquoi je me tiens à distance, car elles n'ont que sa version à elle.
Et cela ne les concerne pas, c'est un conflit entre mes parents et moi.
J'ai l'impression d'avoir tout raté : mauvaise mère( faute de repères éducatifs et moraux) , épouse pas aimée( immature, laide, de mauvais critères de choix), trompée, parcours professionnel raté ( précarité et sales boulots pendant 10 ans, puis mère à la maison... pas brillant comme dit ma mère), et que c'est ma faute ( "elle avait tout pour être heureuse et réussir") puisque je viens d'une famille aisée et cultivée, il n'y a pas d'excuses.
Evidemment ma mère n'a pas manqué de faire l'éloge d'une cousine qui elle a tout réussi "et qui est si modeste" ( sous entendu "pas comme toi") qui va régulièrement en vacances chez elle et lui montre ses chers enfants ( ce que ma mère souhaite que je fasse mais pas folle la guêpe, je sais ce qu'elle et mon père font, j'ai le devoir de protéger mes filles)
Pour ma mère je prie pour elle 10 Ave par jour ( pas de bon coeur, certes...) mais concrètement la distance reste encore la seule solution viable.
Mais cela signifie que toute la parentèle bretonne, manipulée et désinformée par ma mère, me tourne le dos c'est ainsi depuis 15 ans, ou encore adhère au son de cloche de ma mère qui dit qu'il n'y a pas eu de pédophilie ( faux : ma fratrie et moi on a subi dans l'enfance et l'adolescence des choses banalisées par le discours de mes parents mais dont j'ai su bien plus tard que c'était dans le code pénal, article 227_25) et que je suis une malade mentale qu'il ne faut pas croire.
Avec tous ces ragots maternels la parentèle m'a ainsi exclue ( surtout les femmes, car mes trois cousins, eux, ont continué de m'envoyer des nouvelles , des faire-part de naissance, et de m'écrire et n'ont jamais cherché à me manipuler. Dieu soit loué pour mes cousins ! Petite parenthèse, je n'arrive toujours pas à m'expliquer cette sorte de bienveillance masculine et l'animosité des femmes de ma parentèle ou du moins leur parti pris en faveur de ma mère, les cousins, eux, restant "imperméables" aux ragots. Surtout mon cousin ainé qui est trisomique, gentil comme tout et qui prie pour tout le monde !).
Que faire comme prière ?
Je ne sais plus ce que c'est l'amour, maintenant je désespère et je me dis que cela n'existe pas. Je n'arrive plus à "voir" Dieu à travers toutes ces larmes.
Sans mes racines c'est tellement dut et je me sens tellement seule, surtout au moment des vacances.
j'ai été absente pendant longtemps car je n'ai plus eu de temps pour rien... je suis épuisée.
Mes filles de 15 ans sont définitivement rayées de l'école où elles allaient et ont été reçues à l'internat catho pour la rentrée de septembre, elles nous l'ont fait "payer" mais maintenant elles sont en camp scout.
Je me demande quelle prière faire car je sens ma foi faiblir ( mes forces physiques aussi).
Je repense à plein de choses dites par ma mère le 30 avril dernier, au téléphone, des phrases empoisonnées toujours actives qui montrent comme elle me hait. C'est complètement malsain mais tout en me méprisant et en salissant ma réputation aux yeux de toute la famille ( la belle-famille inclue), elle me court après et elle met en marche ses "alliés" ( style des tantes ou marraine qui m'appellent parce qu'elle le leur demande ( "mais surtout tu dis pas que cela vient de moi") et qui veulent me parler pour me faire des remontrances et me demander de la voir, qui vont en suite lui donner des infos sur moi et mon état d'esprit, etc...sans savoir pourquoi je me tiens à distance, car elles n'ont que sa version à elle.
Et cela ne les concerne pas, c'est un conflit entre mes parents et moi.
J'ai l'impression d'avoir tout raté : mauvaise mère( faute de repères éducatifs et moraux) , épouse pas aimée( immature, laide, de mauvais critères de choix), trompée, parcours professionnel raté ( précarité et sales boulots pendant 10 ans, puis mère à la maison... pas brillant comme dit ma mère), et que c'est ma faute ( "elle avait tout pour être heureuse et réussir") puisque je viens d'une famille aisée et cultivée, il n'y a pas d'excuses.
Evidemment ma mère n'a pas manqué de faire l'éloge d'une cousine qui elle a tout réussi "et qui est si modeste" ( sous entendu "pas comme toi") qui va régulièrement en vacances chez elle et lui montre ses chers enfants ( ce que ma mère souhaite que je fasse mais pas folle la guêpe, je sais ce qu'elle et mon père font, j'ai le devoir de protéger mes filles)
Pour ma mère je prie pour elle 10 Ave par jour ( pas de bon coeur, certes...) mais concrètement la distance reste encore la seule solution viable.
Mais cela signifie que toute la parentèle bretonne, manipulée et désinformée par ma mère, me tourne le dos c'est ainsi depuis 15 ans, ou encore adhère au son de cloche de ma mère qui dit qu'il n'y a pas eu de pédophilie ( faux : ma fratrie et moi on a subi dans l'enfance et l'adolescence des choses banalisées par le discours de mes parents mais dont j'ai su bien plus tard que c'était dans le code pénal, article 227_25) et que je suis une malade mentale qu'il ne faut pas croire.
Avec tous ces ragots maternels la parentèle m'a ainsi exclue ( surtout les femmes, car mes trois cousins, eux, ont continué de m'envoyer des nouvelles , des faire-part de naissance, et de m'écrire et n'ont jamais cherché à me manipuler. Dieu soit loué pour mes cousins ! Petite parenthèse, je n'arrive toujours pas à m'expliquer cette sorte de bienveillance masculine et l'animosité des femmes de ma parentèle ou du moins leur parti pris en faveur de ma mère, les cousins, eux, restant "imperméables" aux ragots. Surtout mon cousin ainé qui est trisomique, gentil comme tout et qui prie pour tout le monde !).
Que faire comme prière ?
Je ne sais plus ce que c'est l'amour, maintenant je désespère et je me dis que cela n'existe pas. Je n'arrive plus à "voir" Dieu à travers toutes ces larmes.
Sans mes racines c'est tellement dut et je me sens tellement seule, surtout au moment des vacances.