09 mai 2018
À Sainte-Marthe, le pape François a lancé une nouvelle mise en garde contre les "coups de queue" du démon qui se sait condamné mais persiste à séduire.
Le chrétien ne peut rien attendre du démon, de ce tentateur, de ce « chien enchainé, plein de rage, qui mord », de ce menteur, a réaffirmé avec vigueur le pape François lors de son homélie à la Maison Sainte-Marthe, le 8 mai dernier. « Nous ne devons pas l’approcher, ni parler avec lui », a prévenu le Pape. C’est un « perdant », mais « il reste dangereux » et son « coup de queue » peut être effroyable, a-t-il mis en garde pour décrire la dangerosité des moyens utilisés par Satan pour porter les hommes au péché.
« Et nous, idiots, nous le croyons »
Si le diable est capable de « massacres », il est néanmoins un « moribond », conformément à ce qu’enseigne l’Église avec la résurrection du Christ, vainqueur de la mort, explique le Pape dans son homélie. Satan se sait « condamné » et c’est pourquoi il est encore plus dangereux. Condamné, il continue de séduire ? Oui, « difficile à comprendre », reconnaît le Pape, mais il a cette capacité. Il sait qu’il a perdu mais agit en vainqueur. « Le diable promet beaucoup de choses, présente des cadeaux emballés dans du beau papier mais nous ignorons ce qu’il y a à l’intérieur ».
Suite du texte : Attention au diable, ce « chien enragé qui mord » - Aleteia
par Isabelle Cousturié
À Sainte-Marthe, le pape François a lancé une nouvelle mise en garde contre les "coups de queue" du démon qui se sait condamné mais persiste à séduire.
Le chrétien ne peut rien attendre du démon, de ce tentateur, de ce « chien enchainé, plein de rage, qui mord », de ce menteur, a réaffirmé avec vigueur le pape François lors de son homélie à la Maison Sainte-Marthe, le 8 mai dernier. « Nous ne devons pas l’approcher, ni parler avec lui », a prévenu le Pape. C’est un « perdant », mais « il reste dangereux » et son « coup de queue » peut être effroyable, a-t-il mis en garde pour décrire la dangerosité des moyens utilisés par Satan pour porter les hommes au péché.
« Et nous, idiots, nous le croyons »
Si le diable est capable de « massacres », il est néanmoins un « moribond », conformément à ce qu’enseigne l’Église avec la résurrection du Christ, vainqueur de la mort, explique le Pape dans son homélie. Satan se sait « condamné » et c’est pourquoi il est encore plus dangereux. Condamné, il continue de séduire ? Oui, « difficile à comprendre », reconnaît le Pape, mais il a cette capacité. Il sait qu’il a perdu mais agit en vainqueur. « Le diable promet beaucoup de choses, présente des cadeaux emballés dans du beau papier mais nous ignorons ce qu’il y a à l’intérieur ».
Suite du texte : Attention au diable, ce « chien enragé qui mord » - Aleteia
par Isabelle Cousturié