Bonjour,
que penser de la dépression ?
Mon mari semble glisser vers la dépression. Il a changé de travail et n'est pas bien au nouveau poste. Avant il s'ennuyait, maintenant il y a trop de stress.
Il ne parle presque plus, se referme sur lui-même. Plus rien n'a d'intérêt pour lui. Il rentre, dine et s'endort.
Il se plaint de la tension au travail mais ne fait pas d'heures sup, la quantité de travail n'est donc pas si grande. Il boit en cachette pour se remonter le moral.
Je prie une dizaine par jour pour sa conversion.
J'ai l'impression qu'il y a un grand vide dans sa vie, j'ai du mal à imaginer ce que cela peut être.
Moi-même j'ai l'impression pour lui d'être transparente, périphérique : une infirmière.
Il n'a gout à rien. Tout glisse, rien ne l'intéresse, rien ne suscite d'enthousiasme ou de conviction.
A part ses rêves...il ne s'occupe pas tellement de ses filles et ne me touche plus depuis près de treize ans !
Que puis-je faire ?
En même temps je me sens coupable d'être bien avec la vie que j'ai, d'aimer ce que j'ai globalement : être au foyer, soigner ma maison, m'occuper de la famille, prier...
Si j'avais en plus un travail, cela multiplierai par deux mes journées et avec mes deux gamines difficiles, je ne tiendrais pas. J'ai l'impression que mon mari aurait voulu une personne qui garde son travail, assume "tout", amène plus de pouvoir d'achat dans le couple pour pouvoir se payer de beaux voyages...mais en même temps les voyages c'est aussi la fuite vers un lointain, hors de chez soi, moi, je suis sédentaires, j'aime être chez moi. J'aime pas beaucoup les rêves, je préfère la réalité, on n'a qu'elle.
J'ai un peu peur en raison de la dépression de ma belle-mère, elle était très dépressive et je crains que ce ne soit en partie héréditaire.
que penser de la dépression ?
Mon mari semble glisser vers la dépression. Il a changé de travail et n'est pas bien au nouveau poste. Avant il s'ennuyait, maintenant il y a trop de stress.
Il ne parle presque plus, se referme sur lui-même. Plus rien n'a d'intérêt pour lui. Il rentre, dine et s'endort.
Il se plaint de la tension au travail mais ne fait pas d'heures sup, la quantité de travail n'est donc pas si grande. Il boit en cachette pour se remonter le moral.
Je prie une dizaine par jour pour sa conversion.
J'ai l'impression qu'il y a un grand vide dans sa vie, j'ai du mal à imaginer ce que cela peut être.
Moi-même j'ai l'impression pour lui d'être transparente, périphérique : une infirmière.
Il n'a gout à rien. Tout glisse, rien ne l'intéresse, rien ne suscite d'enthousiasme ou de conviction.
A part ses rêves...il ne s'occupe pas tellement de ses filles et ne me touche plus depuis près de treize ans !
Que puis-je faire ?
En même temps je me sens coupable d'être bien avec la vie que j'ai, d'aimer ce que j'ai globalement : être au foyer, soigner ma maison, m'occuper de la famille, prier...
Si j'avais en plus un travail, cela multiplierai par deux mes journées et avec mes deux gamines difficiles, je ne tiendrais pas. J'ai l'impression que mon mari aurait voulu une personne qui garde son travail, assume "tout", amène plus de pouvoir d'achat dans le couple pour pouvoir se payer de beaux voyages...mais en même temps les voyages c'est aussi la fuite vers un lointain, hors de chez soi, moi, je suis sédentaires, j'aime être chez moi. J'aime pas beaucoup les rêves, je préfère la réalité, on n'a qu'elle.
J'ai un peu peur en raison de la dépression de ma belle-mère, elle était très dépressive et je crains que ce ne soit en partie héréditaire.