Dévotion Confraternité Capharnaüm

Préambule qui sera supprimé pour laisser place qu'à l'ambassade de la Miséricorde Divine que se veut être cette mission spécifique.

Bonsoir à tous

Bon, je crois qu'aussi bien ma longue escapade ainsi que mon retour ici sur le forum ne sont le fruit du hasard. Tout est orchestré par la Divine Providence, le Vouloir de Dieu, qui nous laisse cependant notre entière liberté.

La priorité pour m'occuper de mes parents âgés sans véhicule en milieu rural, de mon petits fils de deux ans et demi au comportement explosif parce que tiraillé entre quatre familles depuis la séparation de ses parents, mes différents engagements et chapelets quotidiens que je ne veux jamais omettre par consécration ou promesses, tout cela venant s'ajouter à mon état physique mal en point,... tout ça, je l'ai perçu comme étant le désir de Dieu souhaitant que pour un temps, je laissa mon ordi de coté après l'avoir récupéré après sa remise en état, afin de m'attacher non plus à mes propres affections de coeur, dont ce forum a une réelle primauté, pour ne me laisser conduire uniquement vers ce quoi le Seigneur m'inspirait.

Et puis, des choses se sont améliorées depuis peu au niveau disponibilité. Notamment pour mes parents toujours dans leur maison et redevenus bien plus autonomes malgré leur 90 ans, mon remplacement fortuit au sein de l'équipe paroissiale, et ainsi, de l'espace pour du temps libre s'est libéré dans mon quotidien. 
C'est alors que j'ai appris le décès de Gilles, et perçu par lui que la Volonté de Dieu était que d'une part, je revienne ici auprès de vous en ressortant mon PC, mais aussi de transmettre sur "L'imitation de Jésus Christ" ce dans quoi Il m'a impliqué pour servir Son innovante œuvre de Miséricorde envers nos frères et sœurs en Purgatoire.

Je ne souhaite pas du tout me poser des questions sur des "pourquoi", des "comment faire" ni même garder au fond de moi des embarras ... qui ne feraient que de toujours retarder le moment de révéler, alors que le Seigneur m'inspire de le faire présentement.
Alors, je vais donc exposer au plus vite et sans détour ce de quoi il s'agit. Après seulement je rentrerai dans les détails.

Puissiez vous me laisser tout finir de dire avant d'entamer des commentaires, des questionnements, des discussions, ... ou alors sur un autre fil. Merci.

La suite très bientôt.

Que chacun se remémore ...

Capharnaüm ... ville tant aimée de Jésus. 
Que de foi elle est cité dans les évangiles. Il s'y est établi un long moment après être entré dans Sa trentième année, et avoir entrepris sitôt son baptême Son ministère de Rédempteur. 
Et Jésus y avait un logis. Était-ce la maison de Pierre et Porphyrée, ... une autre demeure, je ne sais pas. Toujours est-il qu'Il avait une petite maison à sa disposition dans Capharnaüm, ou Il enseignait les Révélations de l'Amour céleste tout en guérissant les malades, les blessés.

La Trinité en toute Sa puissance sur la terre, le Seigneur Jésus n'est plus un simple charpentier, mais le Messie annoncé, le Verbe Divin incarné ... l'heure de la Miséricorde à sonnée !

Petite maison de Capharnaüm, envahit par les foules, et dont le paralytique ne put y être introduit normalement, tant les gens amassés bloquaient tous passages ! 
Alors sa toiture fut percée et découverte par des disciples pour que cet invalide sur sa civière puisse y être descendu afin d'aller à Jésus pour espérer une guérison de Sa part.
Or, que se passe t-il ? 

→ C'est très explicite en Marc 2;5 : « Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : « Mon enfant, tes péchés sont pardonnés. »


Ce n'est donc pas tant la foi de la personne paralysée que celle des disciples qui fit que le Seigneur Lui obtint son entière purification. Et pour preuve de cela, il le guérit.

* A noter que ce verset 5 du deuxième chapitre de St Marc, est à mettre en parallèle avec pareillement le verset 5 du deuxième chapitre de St Jean, celui ou justement aux noces de Cana, Marie prononce « Tout ce qu’il vous dira, faites-le. » alors que Jésus venait de Lui dire que Son heure n'était pas venue ! 
(voir dans le fil "Avant propos ..." , le sujet de Notre Dame Devanciatrice de l'Heure prévue.)


Maintenant, les faits concrets pour aujourd'hui.

Pour condenser au maximum avant d'entrer plus en détail, Notre Seigneur m'a invité pour ce temps dans l'histoire de l'Eglise, à accepter de Lui être une nouvelle petite maison de Capharnaüm, tout disposé à laisser la toiture de mon âme se faire pareillement transpercer par le glaive de Marie à présent Triomphant, puis découvrir largement par les anges et les saints, afin que les âmes du Purgatoire puissent y être alors conduites et descendues à leur tour par leurs anges gardiens, jusque sur le Coeur de Jésus présent en mon sein par l'Esprit Saint depuis mon baptême et Sa présence eucharistique. Et ce, pour qu'Il puisse alors achever Lui même tout ce qu'il leur reste à accomplir de leur indispensable purification pour pouvoir rejoindre le Paradis, et les prendre dans Ses bras pour les conduire à la table des noces éternelles ou le vin de l'amour est intarissable. 

A suivre ...

Quand le Seigneur m'a proposé cet engagement à être pour Lui une nouvelle petite maison de Capharnaüm disposée à ce que la toiture de mon âme se laisse transpercer et largement découvrir, Il ne m'a rien demandé d'autre.
C'est à Lui, au Père et au Saint Esprit ainsi qu'à Notre Mère que la suite appartient pour accomplir cette œuvre d'Amour et de Miséricorde envers nos frères et sœurs défunts qui Lui ont dit oui, ne L'ont pas rejeté en franchissant le seuil de l'Eternité.


Moi, je Lui suis simplement que le premier instrument dont Il a voulu avoir besoin pour que cela s'accomplisse, et je n'ai pas à me poser des questions sur tout de sorte de pourquoi.


Par contre, Il m'a fait comprendre qu'il fallait m'obliger à n'être rien d'autre que ce que je fus et suis toujours présentement.
Si j'avais été une belle villa, alors le rester et ne pas en faire un château.
De la même manière, étant donné que je ne suis qu'une petite masure, à la ressemblance de celle qui servi de refuge à Marie et Joseph lors de Sa Nativité, la toiture sera bien plus simple et aisée à découvrir.
Certes, il me faut néanmoins l'entretenir, ... la balayer par le sacrement du pardon, la solidifier par la prière,  la parfumer par l'Eucharistie, ...etc, mais ne point chercher à l'agrandir, à la faire belle pour les yeux du monde.
Vu du Ciel, ce n'est pas les précieux matériaux ni les belles couleurs des façades qui attirent l'œil, ni non plus les magnifiques moulures au dessus des portes et fenêtres qui se voient, c'est seulement la toiture de mon âme se laissant découvrir, et c'est ce qui importe.

Pour vivre de cela au quotidien depuis maintenant sept ans, dès le levé, après les lectures du jour et les différents commentaires qui y sont associés, je m'offre pour cette nouvelle journée à Lui être Sa petite maison toute disposée à ce que ma toiture puisse se laisser percer, par une consécration improvisée qui peut varier suivant les jours,... rien de formel, comme peut l'être la prière à Notre Dame de Montligeon pour les défunts, que je prie pas forcément le matin.

Le chapelet de la Miséricorde m'est indispensable chaque jour.
Il peut rarement m'arriver de ne pas avoir le temps de prier le chapelet des Mystères du jour, mais jamais celui de la Miséricorde. 
D'autant que Dieu m'a mis au coeur de changer quelques mots pour la mission qu'Il m'a confié.
(Hâter la béatitude des âmes en Purgatoire). Cela pour n'être que leur porte-parole, leur simple ambassadeur auprès de Lui, en même temps que leur être le moyen d'aller à l'Oasis d'Amour.

Alors au lieu de "Par Sa douloureuse Passion, Soit Miséricordieux pour nous et le monde entier", cela devient " Par Ta douloureuse Passion, Merci ô mon Jésus d'être si Miséricordieux pour nous et pour le monde entier ". 


A suivre

Si le désir de Dieu est que d'autres personnes prennent maintenant elles aussi cette invitation à servir son grandiose projet d'Amour envers les âmes qui n'ont pas encore revêtues le bel habit blanc de la pureté, c'est qu'en plus de la suprême béatitude qu'Il souhaite pour elles, Il veut également nous combler dès ici bas en donnant un sens miséricordieux à la souffrance pour nous même. Et qui n'a jamais eu à souffrir ?

Car l'aveuglement sur les véritables raisons d'être de nos souffrances est une torture plus grande encore que les douleurs, qu'elles soient physique, de cœur, sentimentales, mentales, ... ou toutes autres.

Mais lorsque l'on a les lueurs célestes qui nous enseignent ce qu'elles sont véritablement pour Dieu quand on les Lui offre, elles deviennent bien plus supportables, les sentiments de révoltes face à elles se changent en offrandes à Sa sainte Volonté. Et leur offrande pour que Dieu puisse alors les utiliser comme moyen de réparation nous procure réellement une joie à l'âme.

Alors pour cette dévotion à la confraternité Capharnaüm que le Seigneur aspire à ce que d'autres âmes veuillent s'y engager également, il faut saisir que les souffrances de Ses hôtes, ... en plus de servir à la conversion de beaucoup, de moyens de réparations pour tous les péchés qui se commettent, d'adoucissements à Sa divine douleur du constat que tant d'âmes se perdent actuellement, enchainées comme elles sont par satan qui les fait repousser par leur libre arbitre infesté par le venin infernal ceux qui leur apporteraient les clés pour s'en débarrasser ..., toutes souffrances, toutes peines, toutes diverses croix que l'on peut porter sont alors les effets douloureux, mais profondément consentis, de l'ouverture de la toiture de l'âme du logeur du Christ.

(Et personnellement je puis vous assurer que lorsque une souffrance devient à la limite du supportable, le fait de se réabandonner à cette mission confiée, et de prier en les Lui offrant, la douleur s'apaise véritablement et devient supportable, ... alors la fusion en prière et en communion avec Dieu devient bien plus aisée, et notre pensée ne se concentre plus sur nos maux uniquement.)

J'ai "tenu" deux années avec cette foi plus ou moins profonde en cette collaboration que le Seigneur me réclamait.
Mais en 2019, la flamme de cette confiance s'est peu à peu rapetissée, jusqu'à devenir celle d'un briquet qui n'a presque plus de gaz.
Je me persuadais de tout venait de mon imaginaire, que ce n'était pas de Dieu, malgré les circonstances incroyables ou j'ai reçu cette mission. (J'y reviendrai).

Alors dans le doute le plus total, j'ai osé demander le vendredi d'avant les Rameaux, devant les statues du Sacré Coeur et de la Sainte Vierge dans mon église locale, un signe véritable à Jésus et à notre Mère du Ciel, qui m'éclairerait sur la véracité ou pas, de l'intervention divine dans ce ressentit profond au plus profond de mon coeur depuis ces deux années.

Et le signe, je l'ai obtenu. 
Le lundi saint 2019. Malgré que le monde chrétien ait versé des larmes douloureuses de tristesse, ... personnellement, mes larmes à moi furent celle d'un bonheur inouï ! 
Ce signe, ce fut l'incendie de la toiture de Notre Dame de Paris ! Incendie qui laissa apparaitre depuis le ciel l'autel (Jésus !) sans plus aucune toiture au dessus, à part celle du feu (Esprit Saint ?)


Que l'on ne se méprenne pas ! Ce n'est pas parce que j'ai demandé un signe concret que Notre Dame à brulée !
Non la grâce qu'il m'a été faite, fut de demander ce signe précisément trois jours avant que cela ne se produise. Le Seigneur savait qu'il me fallait ce signe pour ne plus jamais douter.
Ma confiance, ma foi en cette œuvre de Miséricorde insoupçonnable du Seigneur devint alors à jamais totale en voyant ce trou béant dans la toiture, juste au dessus du chœur de la cathédrale. Marie m'a fait réellement voir qu'Elle même ouvrait Sa toiture pour cette œuvre d'Amour insoupçonnable. Et de quelle manière !

@Thierry en parlant de souffrance (si je peux me permettre) hier je me rendais à pied au cimetière ou mon mari dest enterré. (deux heures de marche en tout) J'avais mal au mollet alors j'ai dit au Seigneur je t'offre ses soufffrances pour les âmes du purgatoire. à la fn de ma marche je ne ressentais plus qu'un peu de durcissement à mon mollet mais sans douleur.

Carmila a écrit:en parlant de souffrance (si je peux me permettre) hier je me rendais à pied au cimetière ou mon mari est enterré. (deux heures de marche en tout) J'avais mal au mollet alors j'ai dit au Seigneur je t'offre ses souffrances pour les âmes du purgatoire. à la fin de ma marche je ne ressentais plus qu'un peu de durcissement à mon mollet mais sans douleur.

    

Quelques autres points supplémentaires quant à ce qui est dit ci dessus.


Le premier point:
Marie est la Maman du Verbe de Dieu fait homme, Jésus.
Marie n'est pas divine, mais humaine, certes immaculée conception par grâce de Dieu, mais n'empêche que dans sa nature toute entière, rien n'est de l'ordre du divin mais reste toute créée et humaine uniquement.


Deuxième point;
Dans « L'Evangile tel qu'il m'a été révélé » de Maria Valtorta, il est clairement dit quelque chose qu'il nous est évident de comprendre après coup, bien que rien de tel ne soit spécifié dans les synoptiques ni dans celui de St Jean. C'est que Jésus à les traits de Sa Mère, au masculin.
Au point que si on Le rasait et qu'on Lui mettait un voile sur la tête, on n'aurait bien du mal à savoir qui est qui si on les positionnait cote à cote. 




Ceci pour mettre en évidence l'hérédité. Si Jésus n'avais pas été Dieu, Il aurait reçu d'Elle non seulement un patrimoine physique mais aussi tout un héritage de sa spiritualité profonde ainsi que de ses titres de gloire.


Alors troisième point:
Marie nous a été donné pour Maman à nous aussi, par Jésus du haut de Sa Croix Salutaire et rénovatrice pour chacun de nous qui acceptons de mettre notre foi en Lui... mais pas que.
Nous avons donc également des éléments héréditaires de grâces spirituelles d'Elle en nous. 
  
Et parmi ceux ci, il y a aussi cette possibilité pour nous d'être, certes à un moindre et tout autre niveau, des devanciateurs de l'Heure prévue.
Non pas comme Elle seule peut l'être dans cette mission de Miséricorde qu'il m'a été gracieusement proposée pour qu'elle puisse se concrétiser, mais dans un autre objectif, en nous unifiant le plus possible dans la prière avec d'autres frères et sœurs en sachant cela. 


Et cet autre objectif, il est celui de hâter l'Heure prévue du triomphe de Son Coeur immaculé, uni à celui du Sacré Coeur de Jésus. 


Cette capacité héréditaire de hâter l'heure prévue n'est possible pour nous qu'en nous unifiant librement les uns aux autres dans la prière.
Une abeille solitaire ne peut interagir sur rien, si ce n'est que sur son tout petit environnement personnel, mais un essaim de plusieurs centaines, voir milliers, lui à le "pouvoir" d'agir sur bien des choses.
Et quand alors il y en a plusieurs, (essaim angélique, essaim de bienheureux, dont celui venant s'y ajouter que furent les âmes passées au travers de nos toitures et à présent totalement purifier par Jésus Lui même, essaim de priants d'ici bas), cela devient comme union d'essaims, et donc : communion des saints !

"Communion des saints", c'était ainsi que ce terminait le post précédent.
Et donc si cette œuvre de devancement de la Félicité éternelle envers les âme du Purgatoire est appelée à rester après ma mort, son appellation qui m'a été inspirée pour la désigner n'est pas anodine.

► Confraternité Capharnaüm.
Le sens de fraternité s'entend essentiellement pour des ordres religieux, ou de tout ce qui peut s'appliquer à la vie terrestre. Mais le fait d'y rajouter le préfixe "con" qui se traduit par "avec", insinue que cette dévotion ne regarde pas que ce monde d'ici bas uniquement.

Elle s'incruste dans la Communion des saints. 
Une étroite union de prière entre tous encorde toutes les créatures de la Trinité. 
Les déjà saints et les bienheureux, nous même qui allons un jour franchir la porte de l'Eternité, les âmes en Purgatoire, mais également les chœurs angéliques. Et c'est ensemble, dans le Coeur de Dieu, que les réjouissances et les bienfaits se tissent et se multiplient.
L'achèvement de leur peines purificatrices pour les uns, et la conversion profonde à la Vérité avant la mort du corps pour les autres.
Ainsi donc, la désignation de Confraternité est prépondérante au simple mot fraternité.

Pour ce qui est de celui de Capharnaüm, c'est évidemment la ville ou Jésus s'est complu a y avoir un pied à terre. Celle ou Il a appelé Ses premiers apôtres, ou Il a révélé les Vérités de l'Amour et de la Miséricorde, parlé en parabole, ou Il à guéri, ...etc. C'est celle ou dans la demeure dans lequel Il révélait le Coeur du Père, la toiture y fut découverte pour que le paralytique puisse néanmoins y être descendu malgré son incapacité à pouvoir y entrer, et qu'alors il soit entièrement purifié alors que son espérance et celle de ceux qui l'ont descendu était tout autre.

Capharnaüm, c'est donc la ville de Jésus quant Il rentra à trente ans, dans le ministère de Salut pour lequel Il s'est incarné. → "Il quitta Nazareth et vint habiter à Capharnaüm" Matthieu 4, 13

Il y a fait le chef-lieu de Son ministère public en Galilée. Elle a donc un grand prix pour Son Coeur.
Mais contrairement à tout ce qui affecte grandement Notre Seigneur, et qui reste inébranlable, la ville de Capharnaüm à disparue de la surface de la terre depuis le VIII ième siècle. 

Et pour cause ! Jésus l'avais Lui même prophétisé. “Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu’au ciel ? Non, tu descendras jusqu’au séjour des morts !" (Mt 11, 23)


Ce n'est pas parce qu'elle n'a plus eue de prix à Ses yeux, non, c'est pour un tache bien plus grande encore, celle d'accueillir les âmes du Purgatoire pour cette heure qui est la notre aujourd'hui, celle ou comme Il l'a fait pour le paralytique, Il désire à présent achever Lui même leur entière purification pour augmenter considérablement l'armée de la Sainte Vierge, au travers de Ses nouvelles petites maisons qu'Il espère avoir dans cette nouvelle Capharnaüm céleste, faite de celles et ceux qui accepteront, parce que l'horloge des temps ne va bientôt plus être.

...

« Le règne de Dieu est au milieu de vous » → Extrait de l'évangile de ce jour.(Luc 17,20-25)

    "C'est par-dessus tout l'Évangile qui m'entretient pendant mes oraisons, en lui je trouve tout ce qui est nécessaire à ma pauvre petite âme. J'y découvre toujours de nouvelles lumières, des sens cachés et mystérieux... 

    Je comprends et je sais par expérience que « le Royaume de Dieu est au-dedans de nous ». Jésus n'a point besoin de livres ni de docteurs pour instruire les âmes, lui le Docteur des docteurs, il enseigne sans bruit de paroles. Jamais je ne l'ai entendu parler, mais je sens qu'il est en moi ; à chaque instant, il me guide, m'inspire ce que je dois dire ou faire. Je découvre juste au moment où j'en ai besoin des lumières que je n'avais pas encore vues ; ce n'est pas le plus souvent pendant mes oraisons qu'elles sont le plus abondantes, c'est plutôt au milieu des occupations de ma journée."



Aaah, Thérèse ! Tu fus pour moi, pour cette mission, celle par qui tout à commencé. 
Tu m'as invité à percevoir que pareillement que Marcel Van, que je te suis pleinement ton petit frère de coeur, et m'as fait profondément éprouver les mêmes ressentis d'âme que les tiens. 
Ce commentaire de toi à propos du Règne de Dieu, m'a interloqué, car j'ai eu au coeur ce même état d'âme bien avant que je ne te lise.

Du coup, puisque tu fus pour la confraternité Capharnaüm et de ce que Jésus à voulu me confier, semblable à la mission de St Jean Baptiste qui introduisit l'Heure de la Rédemption en désignant le Christ Jésus au monde, je me suis remémoré tout depuis le début. 
J'aurai alors après, aimer à passer toute cette journée dans la louange et l'action de grâce, ...mais un besoin alors plus fort m'a saisi, comme une nécessité à devoir accomplir, bien que j'aurai préféré l'éviter.

Et cela est de relater la genèse de tout ce qui a fait que les bases soient à présent posées de cette Œuvre d'Amour qu'est la Confraternité Capharnaüm. De revenir sur les principaux moments qui ont construit petit à petit l'œuvre finale.
Je ne sais quelles raisons m'y incitent véritablement, et ne désire les rechercher

J'avais pour perspective initiale en ouvrant ce topic ici, de ne pas le faire, d'aller droit au but et sans revenir sur les faits, puisque j'avais commencé par là dans mes divers courriers aux prêtres et à mon archevêque, ainsi qu'au sanctuaire de Montligeon. 
(... et je crois bien ici même il y a quelques années de cela ...)

Et si les lettres et les mails sont restés sans réponse aucune, je crois bien volontiers que c'est parce qu'il m'aurait fallu ne pas le faire, et commencer tout de suite par l'essentiel de ce qu'est la mission en elle-même. 
Quand le début d'un film traine énormément en longueur sur des faits de mise en place avant l'essentiel, on zappe ! Je pense qu'il en a été de même auparavant pour cette révélation spécifique.

Du coup, que le forum "L'imitation de Jésus Christ" puisse être un doux réceptacle pour cette œuvre de Miséricorde voulue par le Seigneur, et que les autorités de l'Eglise puissent y être dirigées pour pouvoir enfin la prendre au sérieux. Enfin, ça c'est mon souhait, mais tout en ignorant les plans de Dieu pour la suite, je reste confiant, et je m'applique à juste la déposer, point.


Ainsi, l'essentiel de ce que j'avais à poster sur elle me paraissait avoir été fait, et depuis la semaine dernière,  j'avais laissé passer un petit moment, comme un vague ressenti d'un hypothétique autre apport à y ajouter, avant d'y mettre en point final au plus tôt. 

Et bien cet apport nouveau, c'est celui que Thérèse m'inspire à présent de déposer et c'est le commencement de tout.
Le sentiment intérieur que je ressens est loin de me ravir. Je désire préserver en moi l'humilité et ne pas donner l'impression que je sois quelqu'un d'autre qu'une toute petite partie du Corps du Christ, qui n'a nulle besoin qu'on s'en occupe pour elle même. 

Mais un ressenti très fort me fait comprendre que les liens, les grâces, que le Seigneur instaure dans Ses enfants depuis l'enfance pour faire qu'un jour ils Lui seront des instruments nécessaires pour la réalisation de Ses projets d'Amour, se doivent d'être compris de tous et qu'ils reviennent dans leur mémoire. 
Qu'alors, quand le moment sera venu, ils leur donnent à leur tour leur "oui". 
Et cela se prépare d'avance sans même que nous nous en rendions compte. Cela est valable pour tout.

Pour ce qui me concerne, si cela n'avait été, jamais je n'aurais pu devenir un complément à Thérèse dont l'épitaphe gravé sur l'un de ses reliquaire est ;
« Je veux passer mon Ciel à faire du bien sur la terre jusqu’à la fin du monde » !

Ainsi, mon "Oui" fut celui de prendre celle qui la complète pour nous ici bas ; 
"Je veux passer le restant de ma vie sur terre à faire du bien au Ciel."

... quand je parlai de la communion des saints !

Donc, je post ceci pour l'heure, et je vais donc enchainer ensuite par les faits qui ont conduit à ce que le Seigneur à voulu que je Lui sois. Ensuite seulement il y aura un point final à ce topic.

Si des personnes souhaitent ensuite en discuter, ce serait préférable je pense que ce soit sur un autre...

Bonjour/bonsoir à chacun/e

Comme annoncé précédemment, je viens donc déposé à présent l'historique des faits qui ont aboutis à cette connaissance nouvelle du Vouloir de Dieu, afin que Sa Miséricorde toujours plus débordante puisse achevée la nécessaire purification de nos frères et sœurs en Purgatoire. Et ce, non seulement pour leur bonheur, pour Son bonheur à Lui, mais aussi pour accroitre l'armée de Marie de nouvelles légions de saints afin de vaincre définitivement l'Empire démoniaque.

Le premier signe qui me fut donné, ce fut lorsque j'avais 9 ans. Il s'est passé quelque chose qui à l'époque m'avait laissé juste une incompréhension totale du fait en question. 
Puis, avec le temps, je l'avais complètement oublié. 
La lumière sur ce phénomène m'est revenu 44 ans plus tard, en 2018, année ou la pleine compréhension de cette vision de l'époque me fut donnée par la demande que Dieu me fit et qui a abouti à la Confraternité Capharnaüm. 
Je pense que je l'aurai néanmoins peut être oublié de nouveau, par le fait de mon AVC en 2020, mais par notre visite, mon épouse et moi, au sanctuaire de Pontmain, et la surtout la croix rouge sur la robe bleue nuit de Marie, cela a été gravé à jamais en moi. Voici pourquoi :

C'était un après midi pendant l'été. Le ciel était légèrement couvert, et je jouais avec mon frère devant la maison parentale qui était au fond d'une impasse, parallèle à la grande route nationale qui traversait notre village.
Mon regard fut attiré par quelque chose situé dans une portion de ciel, comprise entre les deux hautes maisons à trois étages à une vingtaine de mètres, de chaque coté de l'impasse. Mais j'avais beau montré cela à mon frère, il ne voyait rien.
C'était une croix toute rouge, à peine lumineuse, qui venant de derrière la maison de droite, se déplaçait lentement pour disparaitre au bout de deux minutes environ, derrière la toiture de la maison de gauche.
 Seulement, cette croix n'était pas en position verticale comme à l'accoutumée, mais horizontale, inclinée à 90 degrés vers la gauche. 
Autre particularité, le bras gauche de la croix n'était pas entier, il n'en avait qu'une toute petite partie. C'était comme si le déséquilibre causé par la mauvaise répartition des poids l'avait fait ainsi s'incliner.
Pourquoi ? Ca, je le comprendrai que des décennies plus tard.

Voici un croquis de cette vision :



Voilà, c'est tout pour le moment à propos de cette vision que j'avais été le seul à voir quand j'étais enfant. Mais elle à son importance, et j'y reviendrai.

A suivre ...