Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui portez tant de blessures.
Au fond du cœur et dans vos corps.
Vous que le passé défigure.
Et qu’on accable de remords.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui n’avez plus de courage.
À force d’être confrontés.
Aux combats de vos esclavages.
Et aux frontières du péché.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui tombez de lassitude.
À bout de souffle avant le soir.
Vous que l’on tient en servitude.
Afin d’en tirer son pouvoir.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Trouvez repos dans ma Parole.
En ne le cherchant plus ailleurs.
Et mettez-vous à mon école.
Je suis doux et humble de cœur.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui portez tant de blessures.
Au fond du cœur et dans vos corps.
Vous que le passé défigure.
Et qu’on accable de remords.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui n’avez plus de courage.
À force d’être confrontés.
Aux combats de vos esclavages.
Et aux frontières du péché.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Vous qui tombez de lassitude.
À bout de souffle avant le soir.
Vous que l’on tient en servitude.
Afin d’en tirer son pouvoir.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.
Trouvez repos dans ma Parole.
En ne le cherchant plus ailleurs.
Et mettez-vous à mon école.
Je suis doux et humble de cœur.
Venez à moi, Vous qui peinez.
Vous qui ployez sous le fardeau.
Et moi, je vous soulagerai.