La réponse, Jésus nous la donne à travers Ses révélations à Luisa Piccarreta :
Le livre du Ciel Tome 36, 30 juin 1938
« Ma petite fille de ma Volonté, les prodiges, les merveilles et les scènes enchanteresses que je déploie dans celle qui vit dans mon Vouloir sont multiples et si ravissantes qu’il n’a été donné à personne de les imiter. Tu dois savoir qu’il y a d’innombrables demeures dans le ciel. Mais les demeures préparées pour les âmes qui ont vécu dans mon Vouloir sur la terre seront les plus belles, et distinctes de toutes les autres. Elles posséderont des harmonies et des scènes divines ravissantes, des joies toujours nouvelles qui surgiront des profondeurs de ma Volonté dans laquelle j’ai vécu. Elles auront en leur pouvoir des joies et des bonheurs toujours nouveaux. Elles auront en leur pouvoir la capacité d’en former autant qu’elles voudront parce que mon Fiat a la vertu de toujours créer des joies nouvelles. Leurs demeures seront le nouvel enchantement de ce séjour céleste. Je veux te dire une autre surprise plus belle encore.
Au ciel, chaque bienheureux m’aura en lui-même comme son Créateur, son Roi, son Père, et son Glorificateur. Et chacun m’aura à l’extérieur de lui-même, près de lui, de sorte qu’il se sentira porté dans mes bras. Nous nous aimerons ensemble, nous serons heureux ensemble. Je ne serai pas un Dieu pour tous, mais un Dieu pour chacun. Chacun va m’avoir dédoublé à l’intérieur et à l’extérieur de lui-même. Je le posséderai à l’intérieur et à l’extérieur de moi, et tous me posséderont à l’intérieur et à l’extérieur d’eux-mêmes, comme si je n’étais que pour eux seuls. Il n’y aurait pas une plénitude de bonheur en ayant un Dieu pour tous ; certains seraient près de lui, d’autres plus éloignés, certains seraient à droite, d’autres à gauche. Par conséquent, certains profiteraient de mes caresses, d’autres non ; certains se sentiraient plus aimés et plus heureux à cause de ma présence auprès d’eux, et d’autres non. Mais chaque bienheureux m’ayant pour lui-même à l’intérieur et à l’extérieur de lui, nous ne nous perdrons jamais de vue, nous aimerons ensemble et non pas loin l’un de l’autre. Plus nous nous serons aimés sur la terre est plus nous nous serons connus, plus nous nous aimerons au ciel. De plus, ce que je donnerai à celle qui aura vécu dans mon Vouloir sur la terre sera si grand que tous les bienheureux en connaîtront un bonheur redoublé.
Le livre du Ciel Tome 36, 30 juin 1938
« Ma petite fille de ma Volonté, les prodiges, les merveilles et les scènes enchanteresses que je déploie dans celle qui vit dans mon Vouloir sont multiples et si ravissantes qu’il n’a été donné à personne de les imiter. Tu dois savoir qu’il y a d’innombrables demeures dans le ciel. Mais les demeures préparées pour les âmes qui ont vécu dans mon Vouloir sur la terre seront les plus belles, et distinctes de toutes les autres. Elles posséderont des harmonies et des scènes divines ravissantes, des joies toujours nouvelles qui surgiront des profondeurs de ma Volonté dans laquelle j’ai vécu. Elles auront en leur pouvoir des joies et des bonheurs toujours nouveaux. Elles auront en leur pouvoir la capacité d’en former autant qu’elles voudront parce que mon Fiat a la vertu de toujours créer des joies nouvelles. Leurs demeures seront le nouvel enchantement de ce séjour céleste. Je veux te dire une autre surprise plus belle encore.
Au ciel, chaque bienheureux m’aura en lui-même comme son Créateur, son Roi, son Père, et son Glorificateur. Et chacun m’aura à l’extérieur de lui-même, près de lui, de sorte qu’il se sentira porté dans mes bras. Nous nous aimerons ensemble, nous serons heureux ensemble. Je ne serai pas un Dieu pour tous, mais un Dieu pour chacun. Chacun va m’avoir dédoublé à l’intérieur et à l’extérieur de lui-même. Je le posséderai à l’intérieur et à l’extérieur de moi, et tous me posséderont à l’intérieur et à l’extérieur d’eux-mêmes, comme si je n’étais que pour eux seuls. Il n’y aurait pas une plénitude de bonheur en ayant un Dieu pour tous ; certains seraient près de lui, d’autres plus éloignés, certains seraient à droite, d’autres à gauche. Par conséquent, certains profiteraient de mes caresses, d’autres non ; certains se sentiraient plus aimés et plus heureux à cause de ma présence auprès d’eux, et d’autres non. Mais chaque bienheureux m’ayant pour lui-même à l’intérieur et à l’extérieur de lui, nous ne nous perdrons jamais de vue, nous aimerons ensemble et non pas loin l’un de l’autre. Plus nous nous serons aimés sur la terre est plus nous nous serons connus, plus nous nous aimerons au ciel. De plus, ce que je donnerai à celle qui aura vécu dans mon Vouloir sur la terre sera si grand que tous les bienheureux en connaîtront un bonheur redoublé.