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par https://www.americamagazine.org/faith/2021/07/27/mary-pop-icon-social-justice-culture-trend-241123
[size=37]La Vierge Marie revient comme une icône pour les stars de la pop et les guerriers de la justice sociale[/size]
(RNS) – Lil Nas X, Bad Bunny et Princess Nokia intègrent tous leur spiritualité dans leur musique, mais vous ne les considérerez probablement pas comme vierges. Ils contribuent néanmoins à répandre un engouement pour Marie, mère de Jésus, portant les manteaux éclaboussants de la créatrice Brenda Equihua fabriqués à partir de San Marcos : des couvertures trouvées dans de nombreuses maisons Latinx qui présentent généralement la Vierge de Guadalupe.
Pour Equihua, l'attrait de Mary est en partie sentimental. D'origine mexicaine-américaine, Equihua identifie la Vierge de Guadalupe avec la maison. Mais il y a quelque chose de plus profond que la simple nostalgie dans ses créations. "Porter Mary dans une pièce de mode est inattendu", a-t-elle expliqué. "Je pense que ce qui est cool, c'est de sortir quelque chose de son contexte."
Les personnalités religieuses sont souvent (bien que scandaleusement) appropriées en dehors des cadres sacrés, mais la décontextualisation de Mère Marie a été en hyperdrive ces derniers temps. Depuis longtemps un élément incontournable des médailles de dévotion portées par les catholiques, Marie est si centrale dans la spiritualité catholique que le pape François a dû plus tôt cette année démystifier l'idée que la mère de Jésus serait désignée « co-rédemptrice » : les t-shirts « Marie sauve » ne viennent pas la boutique de cadeaux de Saint-Pierre.
Mais si les catholiques se contentent de sa place de « mère, pas de déesse », comme l'a dit le pape, Marie est devenue une icône pour une jeune génération de toutes confessions et aucune foi qui a mis la justice sociale au centre de son action. l'espoir d'un monde meilleur.
Elle est traitée comme un phare féministe, sa ressemblance apparaissant aux côtés de celle de Frida Kahlo, Jeanne d'Arc et Ruth Bader Ginsburg. Mary donne du crédit aux pédales de guitare haut de gamme créées par des femmes fabricants de matériel et apparaît de plus en plus fréquemment sur Etsy. Son histoire est racontée dans l'art contemporain provocateur et les thèses d'érudits prometteurs.
Mais malgré toute sa tendance, ce qui fait de Mary une figure attrayante aujourd'hui, c'est ce qui l'a rendue populaire pendant 2 000 ans : malgré tous ses liens avec le pouvoir divin, elle a beaucoup en commun avec des gens qui sont souvent négligés.
Ben Wildflower est facteur de jour et artiste en dehors de ses heures de travail. En 2017, il a réalisé une gravure sur bois qui montrait Marie, le poing levé au-dessus de la tête, les pieds reposant sur un crâne et un serpent (le premier est un motif généralement associé à la disciple de Jésus Marie-Madeleine, tandis que le second est conforme aux représentations historiques de Marie, mère de Jésus, triomphant du péché originel). Dans un cercle autour de l'image de Wildflower se trouvent les mots « Remplissez les affamés. Abattez les puissants. Soulevez les humbles. Renvoyez les riches. Quand il l'a posté sur Instagram, il est devenu viral.
Certains critiques ont qualifié le message de la gravure sur bois de "non chrétien", protestant que "Dieu aime tout le monde". Le langage narquois, cependant, a été tiré directement du Magnificat, la version de l'écrivain évangélique Luke d'une chanson attribuée à Marie, qui, depuis les premiers temps chrétiens, était considérée comme si révolutionnaire que ses lectures publiques ont été interdites dans le passé.
Wildflower, l'enfant de missionnaires chrétiens évangéliques, fréquente maintenant une église anglicane, s'engage à vivre en solidarité avec les pauvres et a été décrit comme un "anarchiste chrétien". Il se trouve profondément attiré par la mère de Jésus et dit qu'il aime la vision de Marie sur les hiérarchies bouleversées.
Les non-chrétiens, dit-il, s'intéressent souvent à son travail sur Marie comme un moyen de "rechercher le féminin divin" via une sorte de "spiritualité DIY". D'autres preuves de cette approche peuvent être trouvées sur des sites tels qu'Etsy, qui vend des cartes d'oracle et des autels de Mère Marie pour charger des cristaux "reiki-énergisés" qui présentent la ressemblance de Marie.
"Parfois, je me rends compte que j'ai un afflux d'abonnés sur Instagram et j'essaierai de comprendre ce qui s'est passé et ce sera comme un compte de sorcellerie et d'herbes", a ajouté Wildflower.
Mais pour Wildflower, Mary est un pont vers un christianisme loin de son éducation évangélique. "Pour beaucoup de gens qui ont été élevés dans la culture évangélique blanche, les représentants de Dieu tout au long de la plupart de nos vies n'ont pas été les meilleures personnes", a expliqué Wildflower, "mais les représentants de Mary étaient juste un peu absents. Il n'est donc pas difficile de s'identifier à elle comme à quelqu'un qui dit: "C'est notre travail d'amener Dieu dans le monde". Il y a quelque chose de relatable là-bas parce qu'il n'y a pas de bagages.
(Pour un indice sur le type de bagage qu'il essaie de laisser derrière lui, ne cherchez pas plus loin qu'une autre illustration de Wildflower qui représente Mary tirant des flammes de ses mains sur les drapeaux nazis et confédérés, entourée des mots «O Mary, conçue sans suprématie blanche, priez pour nous en essayant de démanteler cette merde. »)
L'auteure catholique et professeure à l'Université de Californie à Berkeley, Kaya Oakes, n'est pas surprise de la nouvelle attention portée à Mary, notant que son attrait a tendance à croître lorsque les temps sont durs. "Mary représente ce côté de Dieu qui nourrit et restera avec vous lorsque vous souffrez", a déclaré Oakes. "Nous sortons de cette phase vraiment traumatisante de l'histoire du monde avec la pandémie, et les gens ont besoin d'images de Dieu qui résonnent davantage avec ce côté compatissant, plutôt que critique, du divin."
Mary se présente traditionnellement chaque fois qu'elle est le plus nécessaire. Pendant des années, les apparitions de la Vierge de Guadalupe auraient distrait les gardes-frontières pour aider les immigrants bloqués à la frontière américaine à entrer dans le pays sans se faire remarquer. De même, la culture tend à placer Marie au centre du conflit. Après que Mike Brown a été abattu à Ferguson, Missouri, en 2014, " Our Lady of Ferguson " de Mark Doox l'a dépeinte comme une femme noire avec son ventre dans le réticule d'une arme à feu avec un enfant Christ au centre. « Mary Comforter of the Affliged » de Kehinde Wiley, l'une des images de vitraux de l'artiste, présente la Pietà comme un homme noir tenant un enfant mort. Au cours de la dernière année, l'icône de Kelly Latimore a commémoré George Floyd en représentant Mary tenant un Jésus brisé.
Amey Victoria Adkins-Jones, professeure adjointe au département de théologie du Boston College dont la bourse porte sur la mariologie, a déclaré que ces artistes s'inspirent d'une longue tradition de madones noires. Bien qu'Adkins-Jones ait été élevée dans un baptiste du Sud dans un contexte où Mary attirait peu d'attention, ses expériences avec la Vierge noire l'ont aidée à la convaincre que la mère de Jésus est une ressource sous-utilisée pour lutter contre les préoccupations des femmes noires dans la théologie chrétienne.
"Cette imagerie capture l'héritage de chagrin qui vient de l'injustice", a déclaré Adkins-Jones. "Peut-être que Marie est une figure prête à rappeler à la mémoire parce que Jésus est une personne qui meurt injustement aux mains de l'État. … Les questions de justice sont toujours en conversation avec les représentations artistiques.
Adkins-Jones voit également Marie inviter des questions théologiques sur le genre. En tant que jeune femme pauvre accouchant dans un pays occupé, la Mary historique a connu une sorte d'existence précaire qui ne peut être déconnectée de sa féminité, a déclaré Adkins-Jones. Regarder Marie invite à la fois à une nouvelle forme de curiosité intellectuelle et à une réflexion spirituelle sur le rôle des femmes dans le monde.
Malgré tout l'intérêt apparemment renouvelé pour Mary, Adkins-Jones note qu'une partie n'est pas tant nouvelle qu'une tradition continue désormais aidée par des plateformes telles qu'Instagram qui permettent de nouvelles façons de "discuter visuellement".
Pourtant, selon Matthew Milliner, professeur agrégé d'histoire de l'art au Wheaton College, il y a une sorte de changement en cours. Lorsqu'il a commencé à donner des cours sur Mary à Wheaton peu de temps après son arrivée en 2011, Milliner a été surpris de voir un tel intérêt constant pour le cours de la part d'un corps étudiant en grande partie protestant.
"L'intérêt des protestants pour Mary augmente régulièrement", a-t-il déclaré. "Mais heureusement, cela a également augmenté dans les cercles catholiques." Il est facile d'oublier, a déclaré Milliner, qu'à la suite du Concile Vatican II, l'attention portée à Marie a considérablement diminué, même dans les cercles catholiques, un sujet exploré dans le livre de 2004 de Charlene Spretnak « Missing Mary ».
La culture pourrait bientôt quitter Marie, mais Milliner pense que les chrétiens devraient la garder proche, sans craindre que l'amour pour la mère de Dieu ne menace leur amour de Jésus.
"L'amour pour Marie est une conséquence naturelle de l'amour pour le Christ", a-t-il déclaré. "Ils ne sont pas en concurrence, pas plus que l'amour pour ma belle-famille n'est en concurrence avec l'amour pour ma femme", a-t-il déclaré. « Bref, rencontrez les parents !
Juste une petite remarque :
Depuis longtemps un élément incontournable des médailles de dévotion portées par les catholiques, Marie est si centrale dans la spiritualité catholique que le pape François a dû plus tôt cette année démystifier l'idée que la mère de Jésus serait désignée « co-rédemptrice » : les t-shirts « Marie sauve » ne viennent pas la boutique de cadeaux de Saint-Pierre.
Quoi ?
[size=37]La Vierge Marie revient comme une icône pour les stars de la pop et les guerriers de la justice sociale[/size]
(RNS) – Lil Nas X, Bad Bunny et Princess Nokia intègrent tous leur spiritualité dans leur musique, mais vous ne les considérerez probablement pas comme vierges. Ils contribuent néanmoins à répandre un engouement pour Marie, mère de Jésus, portant les manteaux éclaboussants de la créatrice Brenda Equihua fabriqués à partir de San Marcos : des couvertures trouvées dans de nombreuses maisons Latinx qui présentent généralement la Vierge de Guadalupe.
Pour Equihua, l'attrait de Mary est en partie sentimental. D'origine mexicaine-américaine, Equihua identifie la Vierge de Guadalupe avec la maison. Mais il y a quelque chose de plus profond que la simple nostalgie dans ses créations. "Porter Mary dans une pièce de mode est inattendu", a-t-elle expliqué. "Je pense que ce qui est cool, c'est de sortir quelque chose de son contexte."
Les personnalités religieuses sont souvent (bien que scandaleusement) appropriées en dehors des cadres sacrés, mais la décontextualisation de Mère Marie a été en hyperdrive ces derniers temps. Depuis longtemps un élément incontournable des médailles de dévotion portées par les catholiques, Marie est si centrale dans la spiritualité catholique que le pape François a dû plus tôt cette année démystifier l'idée que la mère de Jésus serait désignée « co-rédemptrice » : les t-shirts « Marie sauve » ne viennent pas la boutique de cadeaux de Saint-Pierre.
Mais si les catholiques se contentent de sa place de « mère, pas de déesse », comme l'a dit le pape, Marie est devenue une icône pour une jeune génération de toutes confessions et aucune foi qui a mis la justice sociale au centre de son action. l'espoir d'un monde meilleur.
Elle est traitée comme un phare féministe, sa ressemblance apparaissant aux côtés de celle de Frida Kahlo, Jeanne d'Arc et Ruth Bader Ginsburg. Mary donne du crédit aux pédales de guitare haut de gamme créées par des femmes fabricants de matériel et apparaît de plus en plus fréquemment sur Etsy. Son histoire est racontée dans l'art contemporain provocateur et les thèses d'érudits prometteurs.
Mais malgré toute sa tendance, ce qui fait de Mary une figure attrayante aujourd'hui, c'est ce qui l'a rendue populaire pendant 2 000 ans : malgré tous ses liens avec le pouvoir divin, elle a beaucoup en commun avec des gens qui sont souvent négligés.
Ben Wildflower est facteur de jour et artiste en dehors de ses heures de travail. En 2017, il a réalisé une gravure sur bois qui montrait Marie, le poing levé au-dessus de la tête, les pieds reposant sur un crâne et un serpent (le premier est un motif généralement associé à la disciple de Jésus Marie-Madeleine, tandis que le second est conforme aux représentations historiques de Marie, mère de Jésus, triomphant du péché originel). Dans un cercle autour de l'image de Wildflower se trouvent les mots « Remplissez les affamés. Abattez les puissants. Soulevez les humbles. Renvoyez les riches. Quand il l'a posté sur Instagram, il est devenu viral.
Certains critiques ont qualifié le message de la gravure sur bois de "non chrétien", protestant que "Dieu aime tout le monde". Le langage narquois, cependant, a été tiré directement du Magnificat, la version de l'écrivain évangélique Luke d'une chanson attribuée à Marie, qui, depuis les premiers temps chrétiens, était considérée comme si révolutionnaire que ses lectures publiques ont été interdites dans le passé.
Wildflower, l'enfant de missionnaires chrétiens évangéliques, fréquente maintenant une église anglicane, s'engage à vivre en solidarité avec les pauvres et a été décrit comme un "anarchiste chrétien". Il se trouve profondément attiré par la mère de Jésus et dit qu'il aime la vision de Marie sur les hiérarchies bouleversées.
Les non-chrétiens, dit-il, s'intéressent souvent à son travail sur Marie comme un moyen de "rechercher le féminin divin" via une sorte de "spiritualité DIY". D'autres preuves de cette approche peuvent être trouvées sur des sites tels qu'Etsy, qui vend des cartes d'oracle et des autels de Mère Marie pour charger des cristaux "reiki-énergisés" qui présentent la ressemblance de Marie.
"Parfois, je me rends compte que j'ai un afflux d'abonnés sur Instagram et j'essaierai de comprendre ce qui s'est passé et ce sera comme un compte de sorcellerie et d'herbes", a ajouté Wildflower.
Mais pour Wildflower, Mary est un pont vers un christianisme loin de son éducation évangélique. "Pour beaucoup de gens qui ont été élevés dans la culture évangélique blanche, les représentants de Dieu tout au long de la plupart de nos vies n'ont pas été les meilleures personnes", a expliqué Wildflower, "mais les représentants de Mary étaient juste un peu absents. Il n'est donc pas difficile de s'identifier à elle comme à quelqu'un qui dit: "C'est notre travail d'amener Dieu dans le monde". Il y a quelque chose de relatable là-bas parce qu'il n'y a pas de bagages.
(Pour un indice sur le type de bagage qu'il essaie de laisser derrière lui, ne cherchez pas plus loin qu'une autre illustration de Wildflower qui représente Mary tirant des flammes de ses mains sur les drapeaux nazis et confédérés, entourée des mots «O Mary, conçue sans suprématie blanche, priez pour nous en essayant de démanteler cette merde. »)
L'auteure catholique et professeure à l'Université de Californie à Berkeley, Kaya Oakes, n'est pas surprise de la nouvelle attention portée à Mary, notant que son attrait a tendance à croître lorsque les temps sont durs. "Mary représente ce côté de Dieu qui nourrit et restera avec vous lorsque vous souffrez", a déclaré Oakes. "Nous sortons de cette phase vraiment traumatisante de l'histoire du monde avec la pandémie, et les gens ont besoin d'images de Dieu qui résonnent davantage avec ce côté compatissant, plutôt que critique, du divin."
Mary se présente traditionnellement chaque fois qu'elle est le plus nécessaire. Pendant des années, les apparitions de la Vierge de Guadalupe auraient distrait les gardes-frontières pour aider les immigrants bloqués à la frontière américaine à entrer dans le pays sans se faire remarquer. De même, la culture tend à placer Marie au centre du conflit. Après que Mike Brown a été abattu à Ferguson, Missouri, en 2014, " Our Lady of Ferguson " de Mark Doox l'a dépeinte comme une femme noire avec son ventre dans le réticule d'une arme à feu avec un enfant Christ au centre. « Mary Comforter of the Affliged » de Kehinde Wiley, l'une des images de vitraux de l'artiste, présente la Pietà comme un homme noir tenant un enfant mort. Au cours de la dernière année, l'icône de Kelly Latimore a commémoré George Floyd en représentant Mary tenant un Jésus brisé.
Amey Victoria Adkins-Jones, professeure adjointe au département de théologie du Boston College dont la bourse porte sur la mariologie, a déclaré que ces artistes s'inspirent d'une longue tradition de madones noires. Bien qu'Adkins-Jones ait été élevée dans un baptiste du Sud dans un contexte où Mary attirait peu d'attention, ses expériences avec la Vierge noire l'ont aidée à la convaincre que la mère de Jésus est une ressource sous-utilisée pour lutter contre les préoccupations des femmes noires dans la théologie chrétienne.
"Cette imagerie capture l'héritage de chagrin qui vient de l'injustice", a déclaré Adkins-Jones. "Peut-être que Marie est une figure prête à rappeler à la mémoire parce que Jésus est une personne qui meurt injustement aux mains de l'État. … Les questions de justice sont toujours en conversation avec les représentations artistiques.
Adkins-Jones voit également Marie inviter des questions théologiques sur le genre. En tant que jeune femme pauvre accouchant dans un pays occupé, la Mary historique a connu une sorte d'existence précaire qui ne peut être déconnectée de sa féminité, a déclaré Adkins-Jones. Regarder Marie invite à la fois à une nouvelle forme de curiosité intellectuelle et à une réflexion spirituelle sur le rôle des femmes dans le monde.
Malgré tout l'intérêt apparemment renouvelé pour Mary, Adkins-Jones note qu'une partie n'est pas tant nouvelle qu'une tradition continue désormais aidée par des plateformes telles qu'Instagram qui permettent de nouvelles façons de "discuter visuellement".
Pourtant, selon Matthew Milliner, professeur agrégé d'histoire de l'art au Wheaton College, il y a une sorte de changement en cours. Lorsqu'il a commencé à donner des cours sur Mary à Wheaton peu de temps après son arrivée en 2011, Milliner a été surpris de voir un tel intérêt constant pour le cours de la part d'un corps étudiant en grande partie protestant.
"L'intérêt des protestants pour Mary augmente régulièrement", a-t-il déclaré. "Mais heureusement, cela a également augmenté dans les cercles catholiques." Il est facile d'oublier, a déclaré Milliner, qu'à la suite du Concile Vatican II, l'attention portée à Marie a considérablement diminué, même dans les cercles catholiques, un sujet exploré dans le livre de 2004 de Charlene Spretnak « Missing Mary ».
La culture pourrait bientôt quitter Marie, mais Milliner pense que les chrétiens devraient la garder proche, sans craindre que l'amour pour la mère de Dieu ne menace leur amour de Jésus.
"L'amour pour Marie est une conséquence naturelle de l'amour pour le Christ", a-t-il déclaré. "Ils ne sont pas en concurrence, pas plus que l'amour pour ma belle-famille n'est en concurrence avec l'amour pour ma femme", a-t-il déclaré. « Bref, rencontrez les parents !
Juste une petite remarque :
Depuis longtemps un élément incontournable des médailles de dévotion portées par les catholiques, Marie est si centrale dans la spiritualité catholique que le pape François a dû plus tôt cette année démystifier l'idée que la mère de Jésus serait désignée « co-rédemptrice » : les t-shirts « Marie sauve » ne viennent pas la boutique de cadeaux de Saint-Pierre.
Quoi ?
