par Jean Mer 12 Déc - 10:33
Je ne sais quoi te dire par rapport à cela Marie-Jésus.
Sauf de cesser de considérer la mort comme une maladie anormale.
La mort est un pocessus naturel auquel personne n'échappe : la vie tue plus ou moins lentement.
Tous y sont passé et tous y passeront, les paniqués comme les résignés et les confiants.
Si tu te calmes avec cela, si en ta qualité de chrétienne, tu acceptes dans la confiance et la prière, tu devrais te positionner plus sereinement face à cet événement plus ou moins lointain auquel personne n'échappe.
Sereinement, lorsque tout a été fait pour le bien de chacun, ... sinon on traîne des regrets.
Donc faire le bien qu'on peut encore faire tant que la vie nous rassemble.
Nous portons tous ce genre de fardeau, tu n'es pas seule, surtout ne penses pas être seule désemparée face à cela.
J'ai dû subir cela moi aussi mais sans y être préparé car beaucoup, beaucoup trop tôt et fulgurant.
Dégâts collatéraux énormes pour notre famille, sa veuve, son gosse de 3 ans !
Ca commence à aller après des années, mais ça m'a détruit, laminé, broyé, je suis toujours en reconstruction (c'est d'ailleurs pour cela qu'on ne me voit pas sur certains sujets ... trop impliqué encore).
Et depuis j'ai encore dû en gérer 5 dont un encore bien trop tôt (pas encore pensionné) mais plus prévisible, donc pas cette onde de choc destructrice comme celle d'une bombe.
UDP
Dernière édition par Jean le Mer 12 Déc - 10:49, édité 1 fois