"Je vois d'innombrables ficelles,
Qui se tissent telles une toile d'araignée,
Pour que l'Armée du Ciel,
Daigne venir nous sauver.
Tromperies et machiavélismes sont de mises,
Pour précipiter l'événement attendu,
Et ainsi prendre tout ce qui n'est pas dû,
Au profit du monde de la marchandise.
Je sens l'ivresse et l'inquiétude,
Des peuples en quête d'une réponse,
Si demain sera plus juste ou plus rude,
Après avoir tiré ces coups de semonce.
Chaos et divisions au sein de Terre,
Pour ne plus croire à des chimères,
Qui pourraient troubler l'ordre établi,
Et faire renaître un paradis.
J'écoute en mon for intérieur,
Ce que me dicte mon cœur,
A toute vitesse il bourdonne,
En patientant que l'heure sonne.
La traitrise humaine pour l'accès à l'ultime,
Ne connais aucune limite à l'imagination,
Si bien qu'elle renonce aux choses intimes,
Pour ne laisser vivre que des rébellions.
J'entends alors le temps annoncer une pause,
Pour éveiller et prendre conscience,
Que le chemin emprunté si rose en apparence,
N'est peut être pas celui ou l'on ose.
L'accession aux charges les plus hautes,
Est un risque de sous-estimer l'égo,
Et d'offrir sur un plateau nombreux rivaux,
Qui s'efforceront alors de critiquer l'ôte.
Je goûte encore à cette paix universelle,
Pour laquelle l'utopie m'ensorcelle,
Et m'invite toujours à la méfiance,
Quand subsiste toujours autant d'errance.
L'humain n'est pas prêt encore à vivre,
Ce que son genre à son apogée doit être,
Observant toujours dans le paraître,
Sans jamais se nourrir d'être libre."
Qui se tissent telles une toile d'araignée,
Pour que l'Armée du Ciel,
Daigne venir nous sauver.
Tromperies et machiavélismes sont de mises,
Pour précipiter l'événement attendu,
Et ainsi prendre tout ce qui n'est pas dû,
Au profit du monde de la marchandise.
Je sens l'ivresse et l'inquiétude,
Des peuples en quête d'une réponse,
Si demain sera plus juste ou plus rude,
Après avoir tiré ces coups de semonce.
Chaos et divisions au sein de Terre,
Pour ne plus croire à des chimères,
Qui pourraient troubler l'ordre établi,
Et faire renaître un paradis.
J'écoute en mon for intérieur,
Ce que me dicte mon cœur,
A toute vitesse il bourdonne,
En patientant que l'heure sonne.
La traitrise humaine pour l'accès à l'ultime,
Ne connais aucune limite à l'imagination,
Si bien qu'elle renonce aux choses intimes,
Pour ne laisser vivre que des rébellions.
J'entends alors le temps annoncer une pause,
Pour éveiller et prendre conscience,
Que le chemin emprunté si rose en apparence,
N'est peut être pas celui ou l'on ose.
L'accession aux charges les plus hautes,
Est un risque de sous-estimer l'égo,
Et d'offrir sur un plateau nombreux rivaux,
Qui s'efforceront alors de critiquer l'ôte.
Je goûte encore à cette paix universelle,
Pour laquelle l'utopie m'ensorcelle,
Et m'invite toujours à la méfiance,
Quand subsiste toujours autant d'errance.
L'humain n'est pas prêt encore à vivre,
Ce que son genre à son apogée doit être,
Observant toujours dans le paraître,
Sans jamais se nourrir d'être libre."