Le lundi de la 7e semaine de Pâques
Livre des Actes des Apôtres 19,1-8.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 16,29-33.
L'évangélisation se poursuit, dans ce qui semble être un grand désordre, mais c'est un désordre qui a sa propre logique. S'il n'en était pas ainsi, c'est à une logique de conquête, avec usage de la force, qui nous serait décrite. Depuis le commencement du monde, les hommes se rassemblent en nations, selon leurs langages propres et cherchent à s'étendre en colonisant d'autres nations, le plus souvent par usage de la force.
De nos jours encore, nous savons bien qu'il en est ainsi. "C'est sur la mémoire de multiples guerres que l’union Européenne s'appuie pour nous convaincre que nous avons tous la même identité...", a dit notre prêtre en haussant légèrement les épaules. Il n'en va pas de même dans l’Église naissante et aujourd'hui encore, on vient à la foi non par une culture commune, mais par le désir de salut, c'est-à-dire au travers d'une mutation profonde, de tout l'être, que l'on nomme: conversion.
Paul n'a rien d'un grand chef politique et les autres disciples non plus. Mais tous, apôtres, disciples, "craignants-Dieu", baptisés d'origine et de langue différentes, ont reconnu et saisi le besoin impérieux de se convertir. ls se sont convertis et ils vivent en quête du salut définitif.
Aujourd'hui, c'est nous. Semblables à ces hommes qui sont venus trouver Paul pour parfaire leur baptême, nous nous sentons attirés par une connaissance de plus en plus profonde de notre foi. N'est-ce pas le chemin qui conduit à la vérité, et de la vérité à la vie éternelle ? Que les événements du monde ne nous troublent donc pas. Car ce que dit Jésus dans l’Évangile s'adresse directement à nous aussi :
"Dans le monde, vous avez à souffrir, mais courage ! Moi, je suis vainqueur du monde."
Alléluia !
Livre des Actes des Apôtres 19,1-8.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 16,29-33.
L'évangélisation se poursuit, dans ce qui semble être un grand désordre, mais c'est un désordre qui a sa propre logique. S'il n'en était pas ainsi, c'est à une logique de conquête, avec usage de la force, qui nous serait décrite. Depuis le commencement du monde, les hommes se rassemblent en nations, selon leurs langages propres et cherchent à s'étendre en colonisant d'autres nations, le plus souvent par usage de la force.
De nos jours encore, nous savons bien qu'il en est ainsi. "C'est sur la mémoire de multiples guerres que l’union Européenne s'appuie pour nous convaincre que nous avons tous la même identité...", a dit notre prêtre en haussant légèrement les épaules. Il n'en va pas de même dans l’Église naissante et aujourd'hui encore, on vient à la foi non par une culture commune, mais par le désir de salut, c'est-à-dire au travers d'une mutation profonde, de tout l'être, que l'on nomme: conversion.
Paul n'a rien d'un grand chef politique et les autres disciples non plus. Mais tous, apôtres, disciples, "craignants-Dieu", baptisés d'origine et de langue différentes, ont reconnu et saisi le besoin impérieux de se convertir. ls se sont convertis et ils vivent en quête du salut définitif.
Aujourd'hui, c'est nous. Semblables à ces hommes qui sont venus trouver Paul pour parfaire leur baptême, nous nous sentons attirés par une connaissance de plus en plus profonde de notre foi. N'est-ce pas le chemin qui conduit à la vérité, et de la vérité à la vie éternelle ? Que les événements du monde ne nous troublent donc pas. Car ce que dit Jésus dans l’Évangile s'adresse directement à nous aussi :
"Dans le monde, vous avez à souffrir, mais courage ! Moi, je suis vainqueur du monde."
Alléluia !