Bonsoir,
Ce soir, j'ai une réflexion sur le renoncement en général.
Je vais essayer d'éclaircir mes idées du mieux que je le peux.
Tout d'abord, une définition Larousse de ce terme :
[*]"Action de renoncer à quelque chose, de cesser de rechercher ce à quoi on tenait, de s'en détacher : Renoncement aux honneurs.
[*]Action de se priver de toute satisfaction personnelle ou égoïste, de s'oublier soi-même : Mener une vie de renoncement."
Suivi d'un lien que je viens de trouver qui explique le renoncement de soi :
http://www.topchretien.com/topmessages/view/1954/le-renoncement-soi-nest-pas-laffaire-dun-seul-jour.html
Mon questionnement face à ce terme:
Suis-je en mesure de renoncer au nom de Dieu pour le Salut du monde ?
Comprenez par là que pour que la fraternité de l'Homme puisse être une conception effective sur cette Terre, suis-je capable de ne pas employer ce nom, et ce afin d'harmoniser un temps les peuples pour qu'ils puissent vivre correctement, sans idéaux fondamentaux, qui divisent au fil des siècles ?
Cela n'enlève pas mon amour pour Notre Seigneur, pour toute Son Œuvre, Sa Création.
Cela n'enlève pas mon amour pour tout.
Mais cela amène un certain reniement en quelque sorte pour le bien de tous, une harmonie.
Suis-je capable de m'effacer, d'effacer un temps mon Saint Nom encré en moi, pour que l'entraide et l'amour fleurissent dans chaque peuplades ici ?
Puisque tout est sujet à discorde, que nous ne pouvons trouver de solutions terrestres sans nous dépasser par nous-même, que par le nom de Dieu, alors Serait-il suffisamment indulgent pour laisser un temps de concorde où nous remettrions chaque chose à plat, et ce afin de donner à chacun ce qu'il est nécessaire pour vivre décemment ?
Serions-nous suffisamment apte à vouloir cela pour le bien de la continuité de la Vie ?
Serions-nous suffisamment intelligent et sages pour éviter toute querelle et partager avec justesse et amour les biens, les ressources, les terres ?
Serions-nous humbles en acceptant de n'avoir que ce qu'il nous est nécessaire pour vivre et en octroyant le temps restant à s'occuper de l'amélioration de notre futur pour le bien des suivants ?
Serait-ce charitable de voir les autres autrement que par la distinction du nom de Dieu ?
Utiliser le mot Amour comme moteur de nos actes. Tout en conservant en son for intérieur cet Amour divin qui ne serait pas nommé ?
Voilà ma question de ce soir.....Après hésitation, je la poste....Je vais y songer en me reposant encore.
Bonne nuit à vous.
Fraternellement.
Ce soir, j'ai une réflexion sur le renoncement en général.
Je vais essayer d'éclaircir mes idées du mieux que je le peux.
Tout d'abord, une définition Larousse de ce terme :
[*]"Action de renoncer à quelque chose, de cesser de rechercher ce à quoi on tenait, de s'en détacher : Renoncement aux honneurs.
[*]Action de se priver de toute satisfaction personnelle ou égoïste, de s'oublier soi-même : Mener une vie de renoncement."
Suivi d'un lien que je viens de trouver qui explique le renoncement de soi :
http://www.topchretien.com/topmessages/view/1954/le-renoncement-soi-nest-pas-laffaire-dun-seul-jour.html
Mon questionnement face à ce terme:
Suis-je en mesure de renoncer au nom de Dieu pour le Salut du monde ?
Comprenez par là que pour que la fraternité de l'Homme puisse être une conception effective sur cette Terre, suis-je capable de ne pas employer ce nom, et ce afin d'harmoniser un temps les peuples pour qu'ils puissent vivre correctement, sans idéaux fondamentaux, qui divisent au fil des siècles ?
Cela n'enlève pas mon amour pour Notre Seigneur, pour toute Son Œuvre, Sa Création.
Cela n'enlève pas mon amour pour tout.
Mais cela amène un certain reniement en quelque sorte pour le bien de tous, une harmonie.
Suis-je capable de m'effacer, d'effacer un temps mon Saint Nom encré en moi, pour que l'entraide et l'amour fleurissent dans chaque peuplades ici ?
Puisque tout est sujet à discorde, que nous ne pouvons trouver de solutions terrestres sans nous dépasser par nous-même, que par le nom de Dieu, alors Serait-il suffisamment indulgent pour laisser un temps de concorde où nous remettrions chaque chose à plat, et ce afin de donner à chacun ce qu'il est nécessaire pour vivre décemment ?
Serions-nous suffisamment apte à vouloir cela pour le bien de la continuité de la Vie ?
Serions-nous suffisamment intelligent et sages pour éviter toute querelle et partager avec justesse et amour les biens, les ressources, les terres ?
Serions-nous humbles en acceptant de n'avoir que ce qu'il nous est nécessaire pour vivre et en octroyant le temps restant à s'occuper de l'amélioration de notre futur pour le bien des suivants ?
Serait-ce charitable de voir les autres autrement que par la distinction du nom de Dieu ?
Utiliser le mot Amour comme moteur de nos actes. Tout en conservant en son for intérieur cet Amour divin qui ne serait pas nommé ?
Voilà ma question de ce soir.....Après hésitation, je la poste....Je vais y songer en me reposant encore.
Bonne nuit à vous.
Fraternellement.