Je dois ouvrir les églises samedi et dimanche.
Mais dimanche nous sommes quatre ou cinq à venir.
J'ai peur d'être contaminé même si je dois travailler.
Fraternellement
Forum d'échanges visant à approfondir la foi catholique, afin de toujours mieux connaître, aimer et servir Jésus-Christ
mariejesus a écrit:Bonjour,
Je dois ouvrir les églises samedi et dimanche. i
Mais dimanche nous sommes quatre ou cinq à venir.
J'ai peur d'être contaminé même si je dois travailler.
Fraternellement
Florence-Yvonne ou bien sur on n'est pas obliger de prier dans une église ! on peut le faire chez sois et autant de fois que l'on le désire .Avant la pandemie j'avais du mal a trouver une église ouverte( village de mon enfance ) le dimanche un prêtre pour 5 clochers donc la messe une fois tout les 15 jours ; ici ou j'habite c'est 1 fois par mois, donc il faut se rendre dans d'autres églises qui ne sont pas forcement à coté de chez soi . prier chez soi oui , mais il bon aussi de voir le prêtre dire la messe, et de se retrouver entre chretiens sinon on ressent tres vite l'isolement ..vivement la fin de la pandemie et que tout redevienne comme avant .florence_yvonne a écrit:Il n'est pas besoin d'être dans une église pour prier.
Darby Bible
Matthieu 6:
5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense.
6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.
7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés.…
florence_yvonne a écrit:La messe est diffusée avec un petit comité de prêtres sur France 2 le dimanche matin à 11 heures
Je l'ai par internet ! sinon sur la télé numérique je ne l'ai pasflorence_yvonne a écrit:Je n'ai pas la chaîne KTO
tu me fais rire ce matin. Moi aussi j'ai essayé d'emmener mes petits enfants ils n'étaient pas très coopératifs.florence_yvonne a écrit:Enfant, ma grand-mère m’emmenait à la messe, je ne pouvais pas donner mon avis, je trouvais ça long et puis se lever, s’asseoir et se lever, cela ne me plaisait pas du tout enfin, j'avais l'ostie qui se collait sur le voile de mon palais et j'avais du mal à le décrocher.
Ouais dans notre temps on avait pas le choix non plus.florence_yvonne a écrit:Moi, je n'avais vraiment pas les choix.
Carmilla a écrit:Une anecdote aussi un jour je suis à la pharmacie et une dame d'à peu près du même âge que moi me disait ha! moi je l'écoute à la télé pas besoin de se rendre à l'église l'hostie ce n'est que du pain et de l'eau.
J'ai été surprise moi aussi même dernièrement du comportement d'une bénévole envers son Curé. Et se qui m'agace c'est qu'on ne l'appelle plus M.l' Abbé ou Père on dit son prénom et c'est tout.Pilgrim a écrit:Bonjour,Carmilla a écrit:Une anecdote aussi un jour je suis à la pharmacie et une dame d'à peu près du même âge que moi me disait ha! moi je l'écoute à la télé pas besoin de se rendre à l'église l'hostie ce n'est que du pain et de l'eau.
Oui ... c'est bien le genre de chose que l'on peut entendre à l'occasion et provenant de personnes qui sont certaines d'être catholiques, que l'on pourrait croiser à l'église. On imagine les autres, le 95% de la masse qui n'a plus mis les pieds dans une église depuis cinquante ans ! Hors mariage et enterrement, je veux dire.
J'échangeais avec le nouveau vicaire de ma paroisse, il y a deux semaines. Il ne disait qu'il avait bien l'intention de reprendre en main la catéchèse faite aux enfants. Il s'était rendu compte que les bonnes dames, bénévoles indéracinables depuis des années et des années, racontaient n'importe quoi aux jeunes, des idées parfaitement contraires à la foi catholique. En particulier : ces très chères disaient aux enfants qu'il n'y avait aucune nécessité de venir à l'église. Un bon chrétien ne serait jamais obligé de venir à l'église, même pas le dimanche. Non, chez soi, ce serait pareil. Une hérésie naturellement.
Parce que nous avons des coreligionnaires qui ne savent même pas que Dieu est réellement présent dans un endroit très précis, le lieu consacré qui est l'église. Soixante ans d'assistance à la messe, et le bon ou la bonne paroissienne ne savent même pas ça. Le premier rudiment ... ignorance, oubli ... On dort. Zzzz ! Prière de ne pas réveiller.
J'en aurai profité pour glisser gentiment à mon vicaire, sans nommer de nom, cette fois ou c'est une autre bénévole qui faisait les préparations au baptême depuis des décades, qui m'aura confié à moi que l'enfer n'existait pas. "Pff ! des inventions ... Tout le monde va au paradis."
Quand j'aurai fait du bénévolat pour une autre paroisse, c'est la grande patronne responsable de l'encadrement des bénévoles qui me fait savoir un autre jour qu'elle ne croyait pas au sacrement de la réconciliation.
En été, je me trouvais à discuter avec elle dans l'église et les portes étaient ouvertes. Un passant en profite pour entrer et vient vers nous pour s'enquérir des horaires pour la confession. Après son départ, c'est là qu'elle laisse tomber à mon intention, faisant une moue dédaigneuse : "Ah ! Ça ... la confession avec le curé ... peut-être pour ceux qui croient encore à ça ..." Traduction : ce n'était pas pour elle parce qu'elle mais il n'y croyait pas. La responsable de l'équipe des bénévoles à l'église ... qui assiste pourtant à la messe fidèlement chaque dimanche. Elle ne se confesse jamais, jamais quand on dit jamais. Cela aussi, je le lui ai dit. Non pas pour diffamer, pas pour médire. Un simple constat. Partant de mon récit vrai, le curé ne peut pas savoir de qui il s'agit au juste.
Donc, vous ne me verrez pas surpris d'apprendre comment beaucoup vont trouver fantastiques les célébrations à la télé. Des messes virtuelles partout. On pourrait peut-être faire cela à l'année remarquez. Pour une foi virtuelle ...
Trop cool
Carmilla a écrit:C'est ce que fait la confession ça nous vivifie ce n'est pas seulement pour la Pâque ou Noël surtout pas.
Arf !Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !
Oui tout à fait la critique est facile.Pilgrim a écrit:Arf !Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !
Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?
Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant.
Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.
Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ...
Mais bon ...
Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage.
La critique est facile, l'art difficile ?
Pilgrim a écrit:Arf !Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !
Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?
Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant.
Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.
Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ...
Mais bon ...
Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage.
La critique est facile, l'art difficile ?
Pour le baptême d' un adulte oui on le prépare à recevoir ce sacrement.florence_yvonne a écrit:Pilgrim a écrit:Arf !Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !
Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?
Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant.
Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.
Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ...
Mais bon ...
Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage.
La critique est facile, l'art difficile ?
On ne prépare ne prépare pas les enfants au baptême, on les baptise et c'est tout.
On t'a oublié MarieJésusmariejesus a écrit:Ce qui me dérange c'est que le fidèle qui vient il fait mon travail