bonjour,
j'ai longtemps hésité ...mais tant pis.
Voilà :
notre monde moderne favorise le pouvoir féminin ( attention, je ne souhaite pas ouvrir un débat style "pour ou contre le feminisme")
et donc il y a aussi une devalorisation de la virilité.
C'est visible dans l'éducation nationale, dans de nombreux foyer monoparentaux, dans le fait que les femmes avortent sans avoir besoin d'en parler même au père...
et l'individualisme qui va faire primer l'individu, sa réussite personnelle, sur le groupe ( familial notamment).
Philippe de Vulpillières a bien analysé dans "l"homme tue et la femme rend fou" que les deux sexes possèdent chacun une boussole ( morale pour l'homme, physique pour la femme) pacificatrice mais aussi une manière de nuire typique ( physique pour l'homme qui a la force, psychique pour la femme).
La dévalorisation actuelle de la virilité aboutit au triomphe des femmes dominantes, au caractère dominateur.
L'ensemble des autres femmes, la majorité silencieuse, fait ce qu'elle peut pour "suivre"...
Souvent superwomen, présentes sur tous les fronts, indépendantes financièrement, les meneuses font plein de projets et réussissent, elles n'hésitent pas non plus à faire les premiers pas en amour et à prendre le commandement dans le couple et la famille.
Avec pour prix à payer la mise de côté de la féminité classique : mépris pour les taches ménagères et la vie intérieure, pour l'intérieur, la pudeur, la discrétion, la retenue, peu d'altruisme, vouloir toujours être la vedette, etc...
En fait elles font de l'ombre aux autres et existent par l'image de réussite qu'elles projettent. Le mari est souvent un prince consort.Elles gèrent tout, jusqu'à son agenda à lui, parfois.
(Excusez-moi de citer à nouveau l'exemple de mes parents)
Pour des motifs personnels je ne suis pas comme cela ( je n'ai pas les "dons" qu'il faut).
J'ai aussi beaucoup de mal avec ce type de femme.
Plusieurs fois dans ma vie elles m'ont exclue, elles m'ont calomniée ou encore éloigné de moi un ou une ami(e) jusque là fidèle, subitement passé(e) sous son empire.
Elles ont marqué ma vie ( mère, collègues, fausses amies, mes filles...)et y ont fait bien des dégats avec leurs gros sabots.
Ces "lionnes" qui vont tout assumer, qui ont bon partout, se rendent-elles comptent qu'en brillant elles peuvent eclipser les autres, que leur supériorité ecrabouille les autres ?
Qu'en est-il de la charité envers ceux qui réussissent moins bien, qui ont des difficultés ?
J'ai beau me répéter un passage de St Luc ' "ce qui est prestigieux pour les hommes est abominable aux yeux de Dieu", cela me donne quand même certains jours un sentiment d'inutilité personnelle, d'échec et d'infériorité. D'autant plus que ces femmes qui ne doutent jamais d'elles-mêmes n'auront pas hésité à me dire que c'était" moi qui" ( m'imaginais cela, etc.)
Quel saint ( sainte) peut-on invoquer ?
Quelles prières ?
j'ai longtemps hésité ...mais tant pis.
Voilà :
notre monde moderne favorise le pouvoir féminin ( attention, je ne souhaite pas ouvrir un débat style "pour ou contre le feminisme")
et donc il y a aussi une devalorisation de la virilité.
C'est visible dans l'éducation nationale, dans de nombreux foyer monoparentaux, dans le fait que les femmes avortent sans avoir besoin d'en parler même au père...
et l'individualisme qui va faire primer l'individu, sa réussite personnelle, sur le groupe ( familial notamment).
Philippe de Vulpillières a bien analysé dans "l"homme tue et la femme rend fou" que les deux sexes possèdent chacun une boussole ( morale pour l'homme, physique pour la femme) pacificatrice mais aussi une manière de nuire typique ( physique pour l'homme qui a la force, psychique pour la femme).
La dévalorisation actuelle de la virilité aboutit au triomphe des femmes dominantes, au caractère dominateur.
L'ensemble des autres femmes, la majorité silencieuse, fait ce qu'elle peut pour "suivre"...
Souvent superwomen, présentes sur tous les fronts, indépendantes financièrement, les meneuses font plein de projets et réussissent, elles n'hésitent pas non plus à faire les premiers pas en amour et à prendre le commandement dans le couple et la famille.
Avec pour prix à payer la mise de côté de la féminité classique : mépris pour les taches ménagères et la vie intérieure, pour l'intérieur, la pudeur, la discrétion, la retenue, peu d'altruisme, vouloir toujours être la vedette, etc...
En fait elles font de l'ombre aux autres et existent par l'image de réussite qu'elles projettent. Le mari est souvent un prince consort.Elles gèrent tout, jusqu'à son agenda à lui, parfois.
(Excusez-moi de citer à nouveau l'exemple de mes parents)
Pour des motifs personnels je ne suis pas comme cela ( je n'ai pas les "dons" qu'il faut).
J'ai aussi beaucoup de mal avec ce type de femme.
Plusieurs fois dans ma vie elles m'ont exclue, elles m'ont calomniée ou encore éloigné de moi un ou une ami(e) jusque là fidèle, subitement passé(e) sous son empire.
Elles ont marqué ma vie ( mère, collègues, fausses amies, mes filles...)et y ont fait bien des dégats avec leurs gros sabots.
Ces "lionnes" qui vont tout assumer, qui ont bon partout, se rendent-elles comptent qu'en brillant elles peuvent eclipser les autres, que leur supériorité ecrabouille les autres ?
Qu'en est-il de la charité envers ceux qui réussissent moins bien, qui ont des difficultés ?
J'ai beau me répéter un passage de St Luc ' "ce qui est prestigieux pour les hommes est abominable aux yeux de Dieu", cela me donne quand même certains jours un sentiment d'inutilité personnelle, d'échec et d'infériorité. D'autant plus que ces femmes qui ne doutent jamais d'elles-mêmes n'auront pas hésité à me dire que c'était" moi qui" ( m'imaginais cela, etc.)
Quel saint ( sainte) peut-on invoquer ?
Quelles prières ?