Témoignage de Jim Caviezel
Témoignage de Jim Caviezel
Nous sommes parvenus à la Pâques; la Pâques 2014. Chacun de nous, j'imagine, vit Pâques différemment chaque année. Cette année, ce qui me frappe dans le récit des apparitions du Ressuscité, c’est ceci : dès que Jésus se montre vivant à ses disciples, Il les envoie en mission : « Allez annoncer à mes frères, que je suis vivant ». La foi chrétienne est une question de témoignage. Nous croyons en Jésus parce que des gens qui l’ont vu ressuscité, ont témoigné de ce qu’ils ont vu et entendu. C’est sur le témoignage de ces gens que notre foi est basée. C’est grand n’est-ce pas la foi? La foi chrétienne est basée sur la parole des hommes. Dis comme cela, cela peut sembler une hérésie. On sait bien que le fondement de notre foi, c’est la Parole de Dieu. Mais cette parole de Dieu nous est venue par des hommes. Quelle confiance Dieu a en l’être humain pour lui confier une telle mission! Nous croyons que Dieu nous a parlé par des hommes. Cela est vrai pour l’Ancien Testament; cela est vrai pour le Nouveau Testament.
Et les gens croiront autour de nous et après nous, grâce au témoignage des chrétiens. Je sais bien que l’être humain ne peut pas donner la foi à qui que ce soit. Mais nous devons tous donner aux gens, le témoignage de notre foi. Très souvent, c’est ce témoignage qui mettra les gens sur le chemin de la foi en Jésus. En ce jour de Pâques 2014, demandons-nous quelle sorte de témoins nous sommes; quel sorte de témoignage nous donnons aux gens. Est-ce que ma vie témoigne de ma foi en Jésus ressuscité?
J’aimerais vous parler aujourd'hui, d’un témoin de notre temps: Jim Caviezel. Jim Caviezel est un acteur américain , qui joue présentement dans la télé-série intitulée : « Person of interest ». Mais Jim Caviezel est surtout connu pour avoir joué le rôle de Jésus, dans le film de Mel Gibson, intitulé : « The Passion of the Christ ». Voici son témoignage ( j’ai traduit une partie de la vidéo mise ci-dessous ) :
« Pendant quinze ans, Mel Gibson a senti dans son cœur que Dieu l’appelait à faire ce film. Et il savait ce qui arriverait s’il faisait ce film. Je lui ai dit : « Tu désires que je joue le rôle de Jésus ». Il m’a répondu que oui. Le lendemain, il téléphone chez moi pour me persuader de ne pas accepter le rôle. C’est comme cela que ça se passe: Vous prenez un engagement envers le Christ; vous Lui dites que vous allez faire ceci ou cela pour Lui, et soudain le diable entre en jeu et vous fait abandonner votre projet. Vous vous dites alors : « Je n’aurais pas dû avoir cette rencontre, je n’aurais pas dû faire ceci; j’ai fait toutes ces choses (sous-entendu : de mauvaises choses) et les gens vont découvrir quel genre de personne je suis; je ne peux pas faire ce film, je ne suis pas le bon gars, je ne devrais pas réaliser ce film. » Mel m’a téléphoné et m’a dit « Écoute, si tu fais ce film, il est possible que tu ne travailles plus jamais dans cette ville; et je ne veux pas être responsable de cela ». J’ai alors eu peur; j’ai réalisé toutes les belles choses que j’ai; j’ai réalisé que Dieu m’avait conduit dans ce travail, que mon talent venait de Dieu, et non pas des hommes. Je lui ai alors répondu : « Écoute Mel, nous avons tous à porter notre propre croix. Si tu ne prends pas ta croix et si tu ne la portes pas, tu vas être écrasé par son poids. » Mel est devenu silencieux au bout du fil et j’ai dit : « Oh my ! ». Il m’a dit : « Qu’est-ce qu’il y a »? » Je lui ai répondu : « Je viens de réaliser que mes initiales sont JC et que j’ai 33 ans. » Il m’a dit « Dieu, tu me fais paniquer »; et il a raccroché le téléphone (rires de l’interviewer, de la foule et de Jim).
J’ai lu le scénario et ce n’était que des passages de la Bible. Ce qui est étonnant, c’est que tout le monde veut la résurrection, mais personne veut la souffrance. Peut-on avoir la médaille d’or sans la souffrance? La personne qui se tient avec la médaille d’or à son cou, et qui voit le drapeau de son pays monter devant ses yeux, est-ce qu’elle se met à pleurer parce que Nike vient de lui téléphoner et de lui accorder un contrat de 30 millions de dollars, ou bien parce que cette personne se rappelle les sacrifices qu’elle a faits, les souffrances de sa famille et aussi tant de personnes qui ont beaucoup fait pour leur pays et d’autres qui ont donné leur vie pour Dieu en souffrant et en donnant leur sang; et vous entendez « The Star-Spangled Banner » (l’hymne national américain). De façon très semblable, je voulais que ce film manifeste la transcendance, le dépassement. Je m’étais dit que si je faisais ce film, je ne dépeindrais pas la passion de la médiocrité. Je ne voulais pas non plus dépeindre l’action de façon un peu païenne, en disant que Jésus n’a pas été livré par les siens, mais que ce sont les Romains qui sont les seuls responsables de sa mort. Si on regarde les choses en face, jour après jour, on voit bien que nous participons tous au fait de livrer Jésus, quand nous contribuons au péché; spécialement lorsque ce sont des chrétiens qui le trahissent. Mais Jésus continuellement nous dit de nous relever, d’essayer à nouveau, et de continuer la route.
Le film fut vraiment un enfantement dans la douleur. Dès le début du film, je me suis démis l’épaule. Et je me suis mis à penser : « Hé Dieu ! Voyons donc, on essaie de faire un film ici; je ne suis qu’un acteur (rires chez l’animateur et dans la foule) ». En pensant ainsi, on laisse le diable nous détruire. Et en même temps, nous recevions des appels téléphoniques en provenance de journaux importants, qui accusaient Mel Gibson d’être anti-sémite.
Durant le tournage, je devenais Jésus. Je ne voulais pas que les gens me voient moi, mais qu’ils voient Jésus. Et j’espérais que les gens qui iraient au cinéma puissent faire l’expérience de la façon dont Dieu les voit, et non pas de la façon dont ils se voient eux-mêmes. Car la façon dont Dieu nous voit, c’est cela que nous sommes vraiment.
Durant la flagellation, j’ai été accidentellement frappé; quand je portais la croix, mon épaule s’est disloquée. J’étais malade durant le tournage des scènes sur la croix. Je pèse normalement 210 livres. Durant le tournage, je pesais environ 168 livres, tellement j’étais malade. Je n’arrêtais pas de vomir. Mes deux poumons étaient remplis de fluide. J’ai fait une pneumonie. Après le tournage, la plupart des gens ne le savent pas car je n’en parle pas beaucoup, j’ai dû subir une opération au cœur. J’ai été frappé par la foudre lors de la dernière scène du tournage. Ce que je veux dire par là, c’est que si vous désirez être un chrétien, préparez-vous à cela.
Durant tout le film, je priais tout le temps, et je méditais tout le temps. Le jeûne était facile à cause du fait que j’étais malade. À la fin du film, quand j’étais sur la croix, mon corps était bleu. Ce n’était pas du maquillage; mon corps était effectivement bleu. Toujours sur la croix, mon épaule s’est complètement disloquée; je souffrais énormément et j’étais dans les vapes. Or quelque chose n’allait pas avec mon cœur. Quelqu’un a mis un stéthoscope sur mon cœur et à dit à Mel Gibson : « Il peut mourir. » Mel m’a dit : « Qu’est-ce que tu penses Jim? » Je lui ai répondu : « Je m’en vais. Cela, c’est une affaire entre Dieu et moi. » Car je ne me suis jamais senti assez bon (applaudissements dans la foule). À ce moment-là, j’étais prêt à retourner à la maison (la maison étant ici le ciel). Je disais à Dieu qu’il pouvait me prendre ici et maintenant. Mais j’étais certain que si je mourais en faisant ce film, plusieurs personnes seraient sauvées. »
À la seizième minute et cinquième seconde (16:05) de la vidéo mise ci-dessous, Caviezel raconte ceci:
À la fin du film, je montais sur le flanc de la montagne. Quand je suis arrivé au milieu de la montagne, toutes les personnes étaient placées là où elles devaient être; environ 250 personnes. J’ai senti une présence m’envahir, une présence diabolique. Cette présence diabolique me disait: « Tu es un homme mort ». Et je me suis mis à penser: ceci est la meilleure nouvelle que j’aie jamais reçue; parce que je savais que si je mourais, j’allais au ciel. J’arrive au sommet de la montagne. Vers la cinquième prise (de cinéma), les nuages étaient tellement bas. Le tonnerre et les éclairs avaient le son d’un Howitzer (un canon utilisé dans les guerres); ils étaient si puissants qu’on pouvait sentir la terre trembler. Il y avait deux personnes devant moi, à environ trente pieds de moi. Leurs yeux regardaient en haut et étaient mouillés, sur le point de pleurer. Je ne pouvais plus sentir mes cheveux et j’ai entendu un grand sursaut dans la foule car ils ont vu quelque chose. Moi, je n’entendais absolument rien, un peu comme si j’étais dans l’œil d’un cyclone. Quand vous êtes dans l’œil d’un cyclone, les vents peuvent être violents, mais vous n’entendez rien. Cinq secondes plus tard, un éclair descendait du ciel et me frappait. Les témoins de la scène ont vu une illumination autour de mon corps avec un feu à droite et à gauche de ma tête. Et pour un instant, je me suis vu en dehors de mon corps.
Le Pasteur Miles m’a demandé hier si c’était vrai que beaucoup de figurants du film étaient indifférents à la religion. Je lui ai répondu que oui. Il y avait trois groupes de personnes sur la scène du tournage. Il y avait les croyants, les non-croyants et les indécis (les « fence riders »: les gens qui sont à cheval sur une clôture et ne savent de quel côté pencher). Deux de ces groupes font de mauvaises décisions. Ce qui est surprenant, c’est que les indécis (les « fence riders ») croient qu’ils ne choisissent pas. Mais ils choisissent; c’est un choix qu'ils font. C'est une décision qu'ils prennent de chevaucher la clôture sans se décider. Mais quand j’ai été frappé par l’éclair, toutes ces personnes sont tombées face contre terre. La terre a tremblé. Ce fut la dernière prise cinématographique du film.
Sur la croix, je ne pouvais pas respirer très bien. Quand vous êtes suspendus à une croix, vous mourez pas asphyxie, par suffocation. Physiquement, je combattais. Mais Notre Seigneur me faisait ressentir un peu de ce qu’Il a souffert. Il me soutenait, mais en me demandant : « Jusqu’où es-tu prêt à aller dans cette souffrance? » Et je lui ai répondu: « Jusqu’à la dernière goutte ». « Ok alors, on y va ». C’est un peu la question que Jésus a demandé à Jacques et Jean: « Pouvez-vous boire à la coupe que je vais boire? ». « Oui, nous pouvons ». Quand j’avais 18 ans, j’ai voulu entrer dans les Marines, sachant qu’on peut y laisser sa vie. Il n’y a rien de mieux pour moi que de donner ma vie pour Jésus Christ.
À partir de ce moment-ci de l’interview, Caviezel ne regarde plus l’animateur, mais se tourne vers les centaines d’étudiants qui sont devant lui dans la salle, et leur adresse ces paroles:
Aujourd’hui, j’entends des gens dire: oui, Jésus s’est sacrifié pour moi. Lui l'a fait; moi, je n’ai pas à faire cela. Il l’a fait pour moi. Ok. Mais pourquoi Pierre a-t-il dû le faire? Pourquoi Jacques a-t-il dû le faire. Pourquoi tous les apôtres ont-ils dû donner leur vie en sacrifice? Qu’en est-il de tous les martyrs du XXème siècle? Qu’en est-il de tous les chrétiens aujourd’hui qui sont exécutés aux pieds de Musulmans? Ce sont nos frères et sœurs. Où est le Seigneur pour eux? Est-ce que le Seigneur les déteste? On ne peut pas continuer à s’asseoir ici et dire: « Je vais être chrétien seulement s’il est question de prospérité et s'il est question de vivre dans l’abondance. » Je veux que vous reteniez ceci: quand Jésus est allé rencontrer Hérode, Il ne l’a pas regardé. C’est l’Écriture qui le dit. Vous n’avez pas à chanter et à danser pour les gens du siècle (pour la société secularisée) afin qu’ils croient. Ils ne croiront pas plus. Vous pouvez prier pour eux. C’est comme cela que les choses vont se passer: les gens vont continuer à choisir le mal; mais vous, vous n'avez pas à faire cela. Et le démon va vous analyser. Il va rechercher votre faiblesse. Il se dira: « Je peux donner à cette personne un million de dollars et elle va succomber; 10 millions pour cet autre personne; 50 millions pour telle autre personne et elle va succomber ».
Tout le monde parle de liberté de choix. Tous les Américains devraient savoir que la liberté n’existe pas pour faire ce que vous voulez, mais pour avoir le droit de faire ce que vous devez faire. Le problème que je vois maintenant, c’est que plusieurs chrétiens se sont immergés dans le paganisme. Ils veulent être « cool » envers leurs frères païens. Ils pensent qu’ils peuvent être un peu païens, pour être « cool ». Mais il n’y a rien de cool dans cela. Ce qui manque ici, c’est qu'on ne veut pas être saint. Eh bien voici ce qui va arriver: nous allons tous être testés un jour, et vous aurez le choix de donner votre vie pour le Christ ou le renier. Et cela va se passer durant notre génération. Il y beaucoup de choses qui se pointent à l’horizon en ce moment. Et vous aurez à faire un choix. Vous devrez faire un choix.
L’éternité nous attend. Nous allons tous mourir de la première mort. Espérons ne pas mourir de la seconde mort. Dieu n’envoie personne en enfer. Les gens choisissent d’y aller. Une société est faite pour vivre selon des valeurs morales. Fuyez cette génération corrompue, mes frères et sœurs. Vous n’êtes pas faits pour vous fondre dans la masse, mais pour relever la masse. Autre traduction possible de la phrase ci-dessous: « Vous n’êtes pas faits pour vous adapter, mais pour vous démarquer. »
« You weren’t meant to fit in; you were born to stand out ».
À la seizième minute et cinquième seconde (16:05) de la vidéo mise ci-dessous, Caviezel raconte ceci:
À la fin du film, je montais sur le flanc de la montagne. Quand je suis arrivé au milieu de la montagne, toutes les personnes étaient placées là où elles devaient être; environ 250 personnes. J’ai senti une présence m’envahir, une présence diabolique. Cette présence diabolique me disait: « Tu es un homme mort ». Et je me suis mis à penser: ceci est la meilleure nouvelle que j’aie jamais reçue; parce que je savais que si je mourais, j’allais au ciel. J’arrive au sommet de la montagne. Vers la cinquième prise (de cinéma), les nuages étaient tellement bas. Le tonnerre et les éclairs avaient le son d’un Howitzer (un canon utilisé dans les guerres); ils étaient si puissants qu’on pouvait sentir la terre trembler. Il y avait deux personnes devant moi, à environ trente pieds de moi. Leurs yeux regardaient en haut et étaient mouillés, sur le point de pleurer. Je ne pouvais plus sentir mes cheveux et j’ai entendu un grand sursaut dans la foule car ils ont vu quelque chose. Moi, je n’entendais absolument rien, un peu comme si j’étais dans l’œil d’un cyclone. Quand vous êtes dans l’œil d’un cyclone, les vents peuvent être violents, mais vous n’entendez rien. Cinq secondes plus tard, un éclair descendait du ciel et me frappait. Les témoins de la scène ont vu une illumination autour de mon corps avec un feu à droite et à gauche de ma tête. Et pour un instant, je me suis vu en dehors de mon corps.
Le Pasteur Miles m’a demandé hier si c’était vrai que beaucoup de figurants du film étaient indifférents à la religion. Je lui ai répondu que oui. Il y avait trois groupes de personnes sur la scène du tournage. Il y avait les croyants, les non-croyants et les indécis (les « fence riders »: les gens qui sont à cheval sur une clôture et ne savent de quel côté pencher). Deux de ces groupes font de mauvaises décisions. Ce qui est surprenant, c’est que les indécis (les « fence riders ») croient qu’ils ne choisissent pas. Mais ils choisissent; c’est un choix qu'ils font. C'est une décision qu'ils prennent de chevaucher la clôture sans se décider. Mais quand j’ai été frappé par l’éclair, toutes ces personnes sont tombées face contre terre. La terre a tremblé. Ce fut la dernière prise cinématographique du film.
Sur la croix, je ne pouvais pas respirer très bien. Quand vous êtes suspendus à une croix, vous mourez pas asphyxie, par suffocation. Physiquement, je combattais. Mais Notre Seigneur me faisait ressentir un peu de ce qu’Il a souffert. Il me soutenait, mais en me demandant : « Jusqu’où es-tu prêt à aller dans cette souffrance? » Et je lui ai répondu: « Jusqu’à la dernière goutte ». « Ok alors, on y va ». C’est un peu la question que Jésus a demandé à Jacques et Jean: « Pouvez-vous boire à la coupe que je vais boire? ». « Oui, nous pouvons ». Quand j’avais 18 ans, j’ai voulu entrer dans les Marines, sachant qu’on peut y laisser sa vie. Il n’y a rien de mieux pour moi que de donner ma vie pour Jésus Christ.
À partir de ce moment-ci de l’interview, Caviezel ne regarde plus l’animateur, mais se tourne vers les centaines d’étudiants qui sont devant lui dans la salle, et leur adresse ces paroles:
Aujourd’hui, j’entends des gens dire: oui, Jésus s’est sacrifié pour moi. Lui l'a fait; moi, je n’ai pas à faire cela. Il l’a fait pour moi. Ok. Mais pourquoi Pierre a-t-il dû le faire? Pourquoi Jacques a-t-il dû le faire. Pourquoi tous les apôtres ont-ils dû donner leur vie en sacrifice? Qu’en est-il de tous les martyrs du XXème siècle? Qu’en est-il de tous les chrétiens aujourd’hui qui sont exécutés aux pieds de Musulmans? Ce sont nos frères et sœurs. Où est le Seigneur pour eux? Est-ce que le Seigneur les déteste? On ne peut pas continuer à s’asseoir ici et dire: « Je vais être chrétien seulement s’il est question de prospérité et s'il est question de vivre dans l’abondance. » Je veux que vous reteniez ceci: quand Jésus est allé rencontrer Hérode, Il ne l’a pas regardé. C’est l’Écriture qui le dit. Vous n’avez pas à chanter et à danser pour les gens du siècle (pour la société secularisée) afin qu’ils croient. Ils ne croiront pas plus. Vous pouvez prier pour eux. C’est comme cela que les choses vont se passer: les gens vont continuer à choisir le mal; mais vous, vous n'avez pas à faire cela. Et le démon va vous analyser. Il va rechercher votre faiblesse. Il se dira: « Je peux donner à cette personne un million de dollars et elle va succomber; 10 millions pour cet autre personne; 50 millions pour telle autre personne et elle va succomber ».
Tout le monde parle de liberté de choix. Tous les Américains devraient savoir que la liberté n’existe pas pour faire ce que vous voulez, mais pour avoir le droit de faire ce que vous devez faire. Le problème que je vois maintenant, c’est que plusieurs chrétiens se sont immergés dans le paganisme. Ils veulent être « cool » envers leurs frères païens. Ils pensent qu’ils peuvent être un peu païens, pour être « cool ». Mais il n’y a rien de cool dans cela. Ce qui manque ici, c’est qu'on ne veut pas être saint. Eh bien voici ce qui va arriver: nous allons tous être testés un jour, et vous aurez le choix de donner votre vie pour le Christ ou le renier. Et cela va se passer durant notre génération. Il y beaucoup de choses qui se pointent à l’horizon en ce moment. Et vous aurez à faire un choix. Vous devrez faire un choix.
L’éternité nous attend. Nous allons tous mourir de la première mort. Espérons ne pas mourir de la seconde mort. Dieu n’envoie personne en enfer. Les gens choisissent d’y aller. Une société est faite pour vivre selon des valeurs morales. Fuyez cette génération corrompue, mes frères et sœurs. Vous n’êtes pas faits pour vous fondre dans la masse, mais pour relever la masse. Autre traduction possible de la phrase ci-dessous: « Vous n’êtes pas faits pour vous adapter, mais pour vous démarquer. »
« You weren’t meant to fit in; you were born to stand out ».