Le vendredi est une journée où nous sommes invités à penser aux souffrances physiques et morales qu’a endurées Jésus pour nous durant sa Passion. Je désire vous partager aujourd’hui une découverte que je n’ai faite que récemment concernant la Passion de notre divin Maître.
Lors du Carême de cette année, un de mes amis paroissiens s’est procuré une reproduction grandeur nature du Linceul de Turin sur toile de lin. Cette reproduction, que l’on peut faire venir des États-Unis, est très impressionnante (1). Mon ami, dont le prénom est Mathieu, m’a prêté la reproduction du Linceul de Turin pour que je l’expose dans une de nos églises durant les semaines précédant le Triduum Pascal.
J’ai alors fait des recherches sur le Saint Suaire. Les images que nous contemplons le plus souvent du Saint Suaire, nous présentent Jésus couché sur le dos. On peut ainsi voir son visage tuméfié mais rempli de douceur et de majesté. Mais lors du dernier Carême, j’ai fait une découverte qui m’a beaucoup impressionné en contemplant le corps de Jésus vu de dos. Car le Saint Suaire nous permet aussi de voir Jésus de dos (du moins, je crois personnellement qu’il s’agit bel et bien du corps de Jésus). J’ai été étonné de voir la large plaie que Jésus a sur l’épaule droite, plaie causée par la poutre transversale de la croix que Jésus a dû porter lui-même jusqu’au Calvaire. Cette plaie est un signe supplémentaire du fait que le linceul de Turin est vraiment le linge sacré qui a enveloppé le corps inanimé de notre Sauveur. Les marques de la flagellation sont visibles sous cette plaie, ce qui confirme que la plaie a été produite après la flagellation; ce qui est conforme aux données relatées par les évangiles.
Suite de ce magnifique texte en entier : Dieu ma joie
Père Guy Simard - Oblat de la Vierge Marie
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