par Stéphane Lun 12 Juin - 22:20
Bonsoir
@Françoise,
Il est triste de voir ses proches sombrer volontairement ou involontairement dans certaines maladies.
Nous profitons de la vie, avec parfois des extrêmes, qui par la suite nous gangrène le corps.
Où est le juste milieu ?
Certains ne fumeront pas, ne toucheront pas à l'alcool etc...et pourtant seront malades.
Que dire....???
A ce niveau, je crois que c'est le hasard en quelque sorte. Certains abuseront est s'en sortiront et d'autres non, tout comme certains feront attention et n'auront rien et vice-versa.....
Nous faisons des choix de vie par rapport à ce que nous ressentons et parfois il est difficile de revenir en arrière, ou du moins de stopper... Et il est difficile de s'avouer tout comme d'avouer à ses proches ses erreurs.
Mais il est possible intérieurement je pense de se repentir et d'avoir un cas de conscience qui fait que l'on s'examine, et que probablement nous nous rapprochons de Dieu, si l'on accepte bien sûr les critiques que l'on se fait, ses erreurs mais aussi ses atouts.
Personne ne peut vraiment comprendre l'autre si la communication n'est pas profonde. Alors seule la personne est en mesure de s'ouvrir et de comprendre ce qu'il se passe en elle si elle accepte de voir.
Je crois que par delà le matérialisme des choses, il y a l'acceptation de nombreux phénomènes de notre vie qui nous échappent et il y a notre moi intérieur qui s'accroche, cette force invisible qui fait que nous nous attachons à autre chose que tout cela, malgré les aléas de la vie.
Soit nous restons fataliste et succombons à la déchéance, sans combattre, soit nous acceptons le tout mais nous restons intérieurement fort quoiqu'il arrive parce que nous sommes motivés par cet amour d'un Dieu.