Bonsoir
La « grande promesse » des neuf premiers vendredis du moisLa pratique de la dévotion des neuf premiers vendredis du mois tient son origine de la « grande promesse » de Jésus à
sainte Marguerite Marie Alacoque :
« Je te promets dans l’excessive miséricorde de mon Coeur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis du mois, neuf mois consécutifs, la grâce de la pénitence finale, ne mourant point dans ma disgrâce, ni sans recevoir les sacrements, mon divin Coeur se rendant leur asile assuré à ce dernier moment. »À une époque où la communion sacramentelle des fidèles était très rare, la pratique des neuf premiers vendredis du mois contribua d’une manière significative à la reprise de la pratique plus fréquente des sacrements de la Pénitence et de l’Eucharistie. Aujourd’hui, la dévotion des premiers vendredis du mois, si elle est pratiquée de la bonne façon, peut porter d’innombrables fruits spirituels.
Par l'insertion intégrale de cette promesse dans la Bulle de canonisation de Sainte Marguerite-Marie (
Acta Apostolicæ Sedis 1920, p. 503), en date du 13 mai 1920, le
Pape Benoît XV a encouragé la pratique des communions réparatrices des neuf premiers vendredis du mois, en l'honneur du Sacré-Cœur.
http://laportelatine.org/prieres/1ervendredis_du_mois/vendredi.phpLa communion réparatrice des premiers samedis du moisC’est au cours de l’apparition du 13 juillet 1917 que Notre-Dame parla pour la première fois des premiers samedis du mois en révélant aux petits voyants :
«
Je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. »
Notons que la Sainte Vierge parle des premiers samedis du mois de façon générale, sans en préciser le nombre.
Ce n’est que le 10 décembre 1925 à Pontevedra qu’elle le fera. Voici les paroles de Notre-Dame que sœur Lucie entendit ce jour-là (tirées d’une lettre à son confesseur, le père Aparicio) :
Vois, ma fille, mon Cœur entouré des épines que les hommes m’enfoncent à chaque instant, par leurs blasphèmes et leurs ingratitudes. Toi, du moins, tâche de me consoler et dis que tous ceux qui,
- pendant cinq mois, le premier samedi,
- se confesseront,
- recevront la sainte Communion,
- réciteront un chapelet
- et me tiendront compagnie pendant quinze minutes, en méditant sur les quinze mystères du Rosaire
- en esprit de réparation,
je promets de les assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme.
http://www.fatima100.fr/les-premiers-samedis-du-mois/18-la-communion-reparatrice-des-premiers-samedis-du-mois