Bonjour,
c'est l'année de la Miséricorde alors voilà, je demande ce que le Seigneur attend de nous :
Demanderons-nous pardon et à qui en priorité (et si nous avons perdu contact ? ) ?
Pardonnerons-nous ?
Là j ai un souci. C'est de ne pas arriver pardonner à ceux (c'est surtout "celles") qui blessent en croyant "bien faire" et qui obéissent en cela à 'idéologie "psy". L'enfer est pavé de bonnes intentions .Internautes, thérapeutes, conseillères, "amies"...
Toujours des femmes. Au travail aussi, dans la vie quotidienne.
Le côté abstrait de ce corpus d'idées empêche une réelle approche de l'autre. Ces personnes "parlent psy" mais on ne les connait pas. Elle se rempardent derrière l'interprétation "psy" de leur vie qu'elles donnent en exemple. Intrusive, elles font des interprétaions sauvages avec les gens qui vont mal et vous psychologisent. Si vous manifestez gêne ou désaccord elles en rajoutent. C'est toujours votre faute, vous " interprétez mal leurs paroles", elles restent persuadées 'avoir raison, d'agir pour votre "bien". Et c'est encore votre faute si vous vous retrouvez entre leurs mains (j'allais écrire "leurs griffes")
Il n'y a pas respect du mystère de l'autre, de son "noyau".Pas plus qu'il n'y a mise en cause personnelle car c'est une idéologie qui est à l'oevre et qui donne cette impression de pouvoir, d'infaillibiité.
Je peux pardonner à des proches, un ex, mes parents....car je connais leurs blessures, leurs cheminement, leurs doutes.
A ces femmes "psy"je n'arrive pas à pardonner, ce sont presque des "robots"(Superrobot l'Infaillible").
Au lieu d'aider, elles m'humilient profondément.Elles excitent mon agressivté.
Quand elles y mêlent la foi je me dis "j'aime mieu être damnée".
J'ose pas parler de cela en confession.
Ca fait comme une souillure chronique dont je n'arrive pas à me laver.
c'est l'année de la Miséricorde alors voilà, je demande ce que le Seigneur attend de nous :
Demanderons-nous pardon et à qui en priorité (et si nous avons perdu contact ? ) ?
Pardonnerons-nous ?
Là j ai un souci. C'est de ne pas arriver pardonner à ceux (c'est surtout "celles") qui blessent en croyant "bien faire" et qui obéissent en cela à 'idéologie "psy". L'enfer est pavé de bonnes intentions .Internautes, thérapeutes, conseillères, "amies"...
Toujours des femmes. Au travail aussi, dans la vie quotidienne.
Le côté abstrait de ce corpus d'idées empêche une réelle approche de l'autre. Ces personnes "parlent psy" mais on ne les connait pas. Elle se rempardent derrière l'interprétation "psy" de leur vie qu'elles donnent en exemple. Intrusive, elles font des interprétaions sauvages avec les gens qui vont mal et vous psychologisent. Si vous manifestez gêne ou désaccord elles en rajoutent. C'est toujours votre faute, vous " interprétez mal leurs paroles", elles restent persuadées 'avoir raison, d'agir pour votre "bien". Et c'est encore votre faute si vous vous retrouvez entre leurs mains (j'allais écrire "leurs griffes")
Il n'y a pas respect du mystère de l'autre, de son "noyau".Pas plus qu'il n'y a mise en cause personnelle car c'est une idéologie qui est à l'oevre et qui donne cette impression de pouvoir, d'infaillibiité.
Je peux pardonner à des proches, un ex, mes parents....car je connais leurs blessures, leurs cheminement, leurs doutes.
A ces femmes "psy"je n'arrive pas à pardonner, ce sont presque des "robots"(Superrobot l'Infaillible").
Au lieu d'aider, elles m'humilient profondément.Elles excitent mon agressivté.
Quand elles y mêlent la foi je me dis "j'aime mieu être damnée".
J'ose pas parler de cela en confession.
Ca fait comme une souillure chronique dont je n'arrive pas à me laver.