Bonjour à chacun/e
J'aimerai apporter ce jour, une précision d'une grande importance par rapport à l'évangile du jour.
Et cette précision, je ne l'invente pas, elle figure dans la correspondance qu'il y a entre l'évangile d'aujourd'hui de st Luc en (Lc 10, 13-16) ... par rapport à "L'Evangile tel qu'Il m'a été révélé" de Maria Valtorta, ou ce situe ce même contexte.
L'évangile de ce jour ce termine par ces phrases :
« Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ? Non, jusqu’au séjour des morts tu descendras !
Celui qui vous écoute m’écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m’a envoyé. »
Si j'ai différencié les deux phrases par deux couleurs différentes, c'est parce qu'entre les deux, ce doit de figurer justement la précision importante issue de la révélation que Jésus à donné à Maria Valtorta.
La voici donc ... elle se situe au tome 4 – 266.13 – 2ème année vie publique :
" Et toi, Capharnaüm, crois-tu que tu seras élevée jusqu’au Ciel uniquement pour m’avoir accordé l’hospitalité ? Tu descendras jusqu’en enfer ! Car si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, elle serait encore florissante, parce qu’elle aurait cru en moi et se serait convertie. On montrera donc plus de clémence pour Sodome au jour du jugement dernier – comme elle n’a pas connu le Sauveur et sa Parole, sa faute est moins grande – que pour toi qui as connu le Messie et entendu sa parole, mais ne t’es pas convertie.
Cependant, puisque Dieu est juste, il sera fait preuve d’une grande miséricorde pour les habitants de Capharnaüm, de Bethsaïde et de Chorazeïn qui ont cru et se sanctifient en obéissant à ma parole. Car il n’est pas juste que les justes soient mêlés à la ruine des pécheurs ..."
Il est probable que chacun ait fait par lui même cette déduction, mais je ressens qu'il soit important de dire haut et fort que Jésus à prononcé ces mots, afin de ne pas laisser le doute planer sur la primauté de la Divine Miséricorde devant la Justice, car trop de personnes reprochent à Dieu des situations qui ne sont pas de Son fait.
Fraternellement.
J'aimerai apporter ce jour, une précision d'une grande importance par rapport à l'évangile du jour.
Et cette précision, je ne l'invente pas, elle figure dans la correspondance qu'il y a entre l'évangile d'aujourd'hui de st Luc en (Lc 10, 13-16) ... par rapport à "L'Evangile tel qu'Il m'a été révélé" de Maria Valtorta, ou ce situe ce même contexte.
L'évangile de ce jour ce termine par ces phrases :
« Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ? Non, jusqu’au séjour des morts tu descendras !
Celui qui vous écoute m’écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m’a envoyé. »
Si j'ai différencié les deux phrases par deux couleurs différentes, c'est parce qu'entre les deux, ce doit de figurer justement la précision importante issue de la révélation que Jésus à donné à Maria Valtorta.
La voici donc ... elle se situe au tome 4 – 266.13 – 2ème année vie publique :
" Et toi, Capharnaüm, crois-tu que tu seras élevée jusqu’au Ciel uniquement pour m’avoir accordé l’hospitalité ? Tu descendras jusqu’en enfer ! Car si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, elle serait encore florissante, parce qu’elle aurait cru en moi et se serait convertie. On montrera donc plus de clémence pour Sodome au jour du jugement dernier – comme elle n’a pas connu le Sauveur et sa Parole, sa faute est moins grande – que pour toi qui as connu le Messie et entendu sa parole, mais ne t’es pas convertie.
Cependant, puisque Dieu est juste, il sera fait preuve d’une grande miséricorde pour les habitants de Capharnaüm, de Bethsaïde et de Chorazeïn qui ont cru et se sanctifient en obéissant à ma parole. Car il n’est pas juste que les justes soient mêlés à la ruine des pécheurs ..."
Il est probable que chacun ait fait par lui même cette déduction, mais je ressens qu'il soit important de dire haut et fort que Jésus à prononcé ces mots, afin de ne pas laisser le doute planer sur la primauté de la Divine Miséricorde devant la Justice, car trop de personnes reprochent à Dieu des situations qui ne sont pas de Son fait.
Fraternellement.