Sournois que tu es,
Je t'ai démasqué à la nuit des temps.
Malgré ta patience aigüe et affinée,
Que tu améliores sans cesse,
Tu ne tromperas pas ceux que tu souhaites.
Arrives aussi lentement que tu le veux,
Brandis ta victoire et les liesses en multitudes.
Il ne suffit que d'un seul enfant pour que tu sois déchu.
Travailles encore ton œuvre mortifère en profondeur,
Tout comme tu le fais à chaque fois,
Et use de tous les subterfuges pour troubler l'ordre établi.
Cependant, un seul cœur perdu et tu ne réussiras pas.
Convoite, attise, brise, tente, fais tout ce qui est dit,
Pour que ton masque tombe en partie,
Et même lorsque tu seras à la vue de tous,
Ceux-là même endormis et sans réactions,
Ne chercheront plus rien d'autre que l'oubli.
Mais un cœur endurcit aura raison de ta quête.
Sournois que tu es, tu sens la bataille à la tête,
Et tu vois cette quête à ta portée.
Prends garde encore une fois, nul n'est roi !
Je t'ai démasqué à la nuit des temps.
Malgré ta patience aigüe et affinée,
Que tu améliores sans cesse,
Tu ne tromperas pas ceux que tu souhaites.
Arrives aussi lentement que tu le veux,
Brandis ta victoire et les liesses en multitudes.
Il ne suffit que d'un seul enfant pour que tu sois déchu.
Travailles encore ton œuvre mortifère en profondeur,
Tout comme tu le fais à chaque fois,
Et use de tous les subterfuges pour troubler l'ordre établi.
Cependant, un seul cœur perdu et tu ne réussiras pas.
Convoite, attise, brise, tente, fais tout ce qui est dit,
Pour que ton masque tombe en partie,
Et même lorsque tu seras à la vue de tous,
Ceux-là même endormis et sans réactions,
Ne chercheront plus rien d'autre que l'oubli.
Mais un cœur endurcit aura raison de ta quête.
Sournois que tu es, tu sens la bataille à la tête,
Et tu vois cette quête à ta portée.
Prends garde encore une fois, nul n'est roi !