Ce 09 février; fête de la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich
Jésus Lui même explique la véracité des écrits de Maria Valtorta comparativement aux faussetés de ceux d'Anne-Catherine Emmerich à son insu
Les Carnets, 28 janvier 1949
[Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), fêtée le 9 février, est une religieuse augustine et mystique allemande, auteur de “La douloureuse Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ” dans lequel elle raconte (elle était analphabète) à l'écrivain et poète Clemens M. Brentano ses visions concernant la passion de Jésus, soulignant les aspects les plus cruels].
[Maria Valtorta raconte : ] [...] Devant ma perplexité, Jésus répond ceci :
« Je n’ai jamais permis, jusqu’à ce jour, que tu connaisses des livres de révélations réelles, ou d’ouvrages qui relatent les visions de telle ou telle créature. Je l’ai permis maintenant. J’ai même inspiré d’autres personnes de te porter ces deux livres [“Un appel à l’amour”, écrits de sœur M. Josefa Menendez et “Les révélations d’Anne-Catherine Emmerich”], que tu n’aurais jamais connus sinon.
Et je te le dis désormais : si tu le souhaites, lis tranquillement tout ce qui parle de moi ; mais tu t’interdiras de toi-même cette lecture, car tout récit humain te semblera trop insignifiant, il te donnera la nausée, et tu repousseras le livre.
Il ne t’est plus donné d’éprouver du plaisir à lire des livres sur moi, des livres d’homme, “depuis que tu as vu la vérité vraie de ma vie et de ma mort. Toute parole d’écrivain non voyant te paraîtra vide, théâtrale, non sincère, maniérée, ennuyeuse”. Tu pourras encore me retrouver, moi le Jésus réel, Maître ou Martyr, dans les pages des rares âmes auxquelles je me suis moi-même révélé sous mon apparence de Maître et dans mon rôle de Martyr. Dans ces pages-là, tu me reconnaîtras encore. Tu m’as même déjà reconnu, sans te tromper, dans le livre de Josefa : je m’y trouve vraiment, tel que je suis dans les pages que tu as écrites en cinq années.
L’autre ouvrage t’a laissée dans l’incertitude, insatisfaite, et même troublée jusqu’à la nausée…
Tu as raison ! Tu ne m’as pas retrouvé, moi, le vrai Jésus, ni les événements de ma vie, pas plus que ma Mère, ses vrais sentiments, ou même le monde de ce temps-là. Les personnes nourries de la moelle vivante de la vérité, celles qui m’ont réellement vu, ne peuvent apprécier ce qui a été travaillé par les hommes. Or ces pages l’ont été grandement (les pages des révélations d’Anne-Catherine Emmerich).
Et tu t’es demandé : “Mais alors, cette femme, qui prétend tellement aimer Dieu, n’aurait-elle pas dit la vérité ?”
Je te réponds, avec charité mais aussi avec justice, en te conseillant de te remettre en mémoire les conditions qui sont, comme je te l’ai dit, indispensables pour qu’un instrument soit parfait : une humilité constante, une sincérité scrupuleuse, une obéissance totale. L’Allemande avait bien ces vertus. Je te réponds donc :
Par un ensemble de circonstances, ces pages “ne reflètent pas” la vérité de ce qu’elle a vu.
La poussière de l’humanité a corrompu la pureté de la vérité.
Les hommes ont voulu faire des ajouts à l’œuvre de Dieu, et l’ont défigurée, comme toujours. C’est ce qui serait arrivé aux visions que je t’ai données si toi, ou d’autres, aviez voulu y ajouter quoi que ce soit ou apporter des modifications. Toi dans l’idée d’enjoliver le récit, d’autres en pensant le perfectionner. Vous auriez tout gâché. Dieu seul est Vérité, Dieu seul est un parfait Auteur.
“Dans ce cas précis”, l’Eglise enseignante a raison de se montrer perplexe et d’hésiter depuis tellement d’années à définir les révélations d’Anne-Catherine. “Dans ce cas précis”. Dans le tien, elle ne doit pas l’être : le simple sens commun et un bon discernement permettent, en comparant les pages de l’Allemande aux pages que tu as écrites à la suite de visions, de sentir la différence : dans tes pages, on me reconnaît, moi, on sent la vérité historique, pure, de ton récit. »
Jésus Lui même explique la véracité des écrits de Maria Valtorta comparativement aux faussetés de ceux d'Anne-Catherine Emmerich à son insu
Les Carnets, 28 janvier 1949
[Anne-Catherine Emmerich (1774-1824), fêtée le 9 février, est une religieuse augustine et mystique allemande, auteur de “La douloureuse Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ” dans lequel elle raconte (elle était analphabète) à l'écrivain et poète Clemens M. Brentano ses visions concernant la passion de Jésus, soulignant les aspects les plus cruels].
[Maria Valtorta raconte : ] [...] Devant ma perplexité, Jésus répond ceci :
« Je n’ai jamais permis, jusqu’à ce jour, que tu connaisses des livres de révélations réelles, ou d’ouvrages qui relatent les visions de telle ou telle créature. Je l’ai permis maintenant. J’ai même inspiré d’autres personnes de te porter ces deux livres [“Un appel à l’amour”, écrits de sœur M. Josefa Menendez et “Les révélations d’Anne-Catherine Emmerich”], que tu n’aurais jamais connus sinon.
Et je te le dis désormais : si tu le souhaites, lis tranquillement tout ce qui parle de moi ; mais tu t’interdiras de toi-même cette lecture, car tout récit humain te semblera trop insignifiant, il te donnera la nausée, et tu repousseras le livre.
Il ne t’est plus donné d’éprouver du plaisir à lire des livres sur moi, des livres d’homme, “depuis que tu as vu la vérité vraie de ma vie et de ma mort. Toute parole d’écrivain non voyant te paraîtra vide, théâtrale, non sincère, maniérée, ennuyeuse”. Tu pourras encore me retrouver, moi le Jésus réel, Maître ou Martyr, dans les pages des rares âmes auxquelles je me suis moi-même révélé sous mon apparence de Maître et dans mon rôle de Martyr. Dans ces pages-là, tu me reconnaîtras encore. Tu m’as même déjà reconnu, sans te tromper, dans le livre de Josefa : je m’y trouve vraiment, tel que je suis dans les pages que tu as écrites en cinq années.
L’autre ouvrage t’a laissée dans l’incertitude, insatisfaite, et même troublée jusqu’à la nausée…
Tu as raison ! Tu ne m’as pas retrouvé, moi, le vrai Jésus, ni les événements de ma vie, pas plus que ma Mère, ses vrais sentiments, ou même le monde de ce temps-là. Les personnes nourries de la moelle vivante de la vérité, celles qui m’ont réellement vu, ne peuvent apprécier ce qui a été travaillé par les hommes. Or ces pages l’ont été grandement (les pages des révélations d’Anne-Catherine Emmerich).
Et tu t’es demandé : “Mais alors, cette femme, qui prétend tellement aimer Dieu, n’aurait-elle pas dit la vérité ?”
Je te réponds, avec charité mais aussi avec justice, en te conseillant de te remettre en mémoire les conditions qui sont, comme je te l’ai dit, indispensables pour qu’un instrument soit parfait : une humilité constante, une sincérité scrupuleuse, une obéissance totale. L’Allemande avait bien ces vertus. Je te réponds donc :
Par un ensemble de circonstances, ces pages “ne reflètent pas” la vérité de ce qu’elle a vu.
La poussière de l’humanité a corrompu la pureté de la vérité.
Les hommes ont voulu faire des ajouts à l’œuvre de Dieu, et l’ont défigurée, comme toujours. C’est ce qui serait arrivé aux visions que je t’ai données si toi, ou d’autres, aviez voulu y ajouter quoi que ce soit ou apporter des modifications. Toi dans l’idée d’enjoliver le récit, d’autres en pensant le perfectionner. Vous auriez tout gâché. Dieu seul est Vérité, Dieu seul est un parfait Auteur.
“Dans ce cas précis”, l’Eglise enseignante a raison de se montrer perplexe et d’hésiter depuis tellement d’années à définir les révélations d’Anne-Catherine. “Dans ce cas précis”. Dans le tien, elle ne doit pas l’être : le simple sens commun et un bon discernement permettent, en comparant les pages de l’Allemande aux pages que tu as écrites à la suite de visions, de sentir la différence : dans tes pages, on me reconnaît, moi, on sent la vérité historique, pure, de ton récit. »