«L’euthanasie est un crime. Ne pouvoir guérir ne dispense pas de soigner»
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Doit-on faire des funérailles catholiques à celui ou à celle qui décède par l'euthanasie ?
Sous l'aile a écrit:L'Eglise ne peut pas refuser une messe pour un défunt quel qu'il soit [...]
Pilgrim a écrit:Sous l'aile a écrit:L'Eglise ne peut pas refuser une messe pour un défunt quel qu'il soit [...]
Qui a décidé cela ? depuis quand ? Il me semble pas qu'un musulman pourrait obtenir pour lui-même le droit d'obtenir des funérailles à l'église.
Qui es-tu camarade ?Thierry* a écrit:
Et sinon, ouiiiii Sous l'aile, continues de discuter ainsi avec lui, c'est ce que je souhaite vivement ! Car ça entretient les broutilles, les nuisances et empêche que pendant ce temps ton âme soit pleinement tournée vers Dieu seul !Mwahahahahaaaa, gnarc gnarc gnarc !
1684 Les funérailles chrétiennes sont une célébration liturgique de l’Eglise. Par celle-ci, le ministère de l’Église a en vue dans ce cas aussi bien d’exprimer la communion efficace avec le défunt que d’y faire participer la communauté rassemblée pour les obsèques et de lui annoncer la vie éternelle.
1685 Les différents rites des funérailles expriment le caractère Pascal de la mort chrétienne et répondent aux situations et aux traditions de chaque région, même en ce qui concerne la couleur liturgique (cf. SC 81).
1686 L’Ordo exsequiarum (OEx) de la liturgie romaine propose trois types de célébration des funérailles, correspondant aux trois lieux de son déroulement (la maison, l’église, le cimetière), et selon l’importance qu’y attachent la famille, les coutumes locales, la culture et la piété populaire. Ce déroulement est d’ailleurs commun à toutes les traditions liturgiques et il comprend quatre moments principaux :
1687 L’accueil de la communauté. Une salutation de foi ouvre la célébration. Les proches du défunt sont accueillis par une parole de " consolation " (au sens du Nouveau Testament : la force de l’Esprit Saint dans l’espérance ; cf. 1 Th 4, 18). La communauté priante qui se rassemble attend aussi " les paroles de la vie éternelle ". La mort d’un membre de la communauté (ou le jour anniversaire, le septième ou le trentième jour) est un événement qui doit faire dépasser les perspectives de " ce monde-ci " et attirer les fidèles dans les véritables perspectives de la foi au Christ ressuscité
[...]
Catéchisme de l'Église
Des troubles psychiques graves, l’angoisse ou la crainte grave de l’épreuve, de la souffrance ou de la torture peuvent diminuer la responsabilité du suicidaire.
2283 On ne doit pas désespérer du salut éternel des personnes qui se sont donné la mort. Dieu peut leur ménager par les voies que lui seul connaît, l’occasion d’une salutaire repentance. L’Église prie pour les personnes qui ont attenté à leur vie.