Les LGBT démasqués

Vu récemment ...

https://www.youtube.com/watch?v=79FRb4jwRlI

Un site catholique de langue anglaise.

 Le présentateur décortique pour notre bénéfice un extrait d'une vieille émission des années 1960. Aux États-Unis, à l'époque, un évêque catholique du nom de Fulton-Sheen disposait d'une heure chaque semaine, une heure juste pour lui et pour instruire le peuple au sujet d'une foule de thèmes touchant la société et les individus. Le tout dans une optique chrétienne bien sûr.  

Ici l'intérêt est que Mgr Sheen posait le problème sur ses vraies bases comprenez-vous et puis concernant la fameuse révolution sexuelle déjà en développement. En fait, il expliquait que cette révolution sociale n'était pas tant une révolution sexuelle autant qu'une révolution culturelle d'abord ! 

Les déviances sexuelles admises ou encouragées ou comportements aberrants normalisés n'étant plus que symptômes essentiellement d'un abandon de la culture préalable au profit d'une nouvelle. Il permet de voir, par la même occasion, que la culture d'un pays est étroitement liée normalement au culte religieux qui y est pratiqué. La culture est dérivée du culte. Donc, abandonnant le christianisme ... rompant les liens avec Dieu ... toutes les folies même "contre-natures" deviennent possibles. Et voilà Madame pourquoi votre fille est muette ! Les LGBT, vous êtes démasqués.

Bonjour,
Je le dénonce régulièrement dans certaines de mes réactions.
Ceux qui ont pris les leviers du pouvoir et qui se sont installés aux commandes depuis deux à trois générations veulent construire une société sans Dieu et même contre le christianisme (catholique).
Certains comportements sociétaux induits sont les symptômes de cette évolution, de cette nouvelle configuration, du "reset" qui est encore en cours.

Amicalement

Jean

Transcription partant de la 3e minute ...

Mgr Fulton-Sheen :

«...we've been incline to label it sex revolution. Is it really that at all ? I doubt it very much. There is always been revolution if this kind in history but I think instead of it being a sex revolution it's the culture revolution that we have. Sex is merely the manifestation of a crisis that we have in our culture. 

Commentaire :

« ... he says there that the nature of what is behind the sexual revolution is actually a cultural revolution. This is really important. [...] 

We need to understand what means that word culture. The word culture actually comes from a word cultis. This is where we get the word cult. I know we don't want to say we"re in a cult but historically this word cult means a religious group. So when we talk about something or a place having a culture what it really means is what is the religious foundation of that place.» 


Traduction :

 «... nous avons été enclins à l'appeler la révolution sexuelle. Est-ce vraiment le cas ? J'en doute fort. Il y a toujours eu des révolutions de ce genre dans l'histoire, mais je pense qu'au lieu d'être une révolution sexuelle, c'est la révolution culturelle que nous avons. Le sexe est simplement la manifestation d'une crise que nous avons dans notre culture.» (Mgr Fulton-Sheen)


 Il dit que la nature de ce qui se cache derrière la révolution sexuelle est en fait une révolution culturelle. La remarque est vraiment importante. [...]

Nous devons comprendre ce que signifie le mot culture. Le mot culture vient en fait d'un mot cultis. C'est là que nous obtenons le mot culte. Je sais que nous ne voulons pas dire que nous sommes dans une secte, mais historiquement, ce mot signifie un groupe religieux. Donc, quand nous parlons d'une chose ou d'un endroit ayant une culture, cela signifie vraiment quel est le fondement religieux de cet endroit.»

Jean a écrit:Ceux qui ont pris les leviers du pouvoir et qui se sont installés aux commandes depuis deux à trois générations veulent construire une société sans Dieu et même contre le christianisme (catholique)

Sûr !

Auto-régression du genre humain, acceptée avec grande complaisance par celui ci, et fomenté au plus haut point par Satan et ses démons. 
Voilà plutôt les termes que j'emploierai au lieu de "révolution sexuelle" ou "révolution culturelle".

Ou quand la fiction est rattrapée par la réalité !
A la manière ou des esprits imaginatifs ont fait fortunes avec la saga des ''Jurassic Park et world", en exposant la possible prouesse que l'évolution de la génétique de nos jours a pu faire en sorte qu'à partir d'un ADN reconstitué à partir d'un microgramme de sang retrouvé dans un moustique fossilisé et emprisonné depuis des millions d'années dans un morceau d'ambre, ait pu reconstituer et donner vie à des créatures disparues depuis belles lurettes et incompatibles à vivre aux cotés de l'être humain, ... la soi-disante évolution de la science des valeurs morales et de la seule liberté humaine, a fait que réellement et non de manière fictive, l'homme de ces temps ci a désenfoui et reconstitué le génome du vice, de l'immoralité et du rejet de Dieu qui se trouvait enseveli dans les profondeurs des ruines cachées de Sodome et Gomorrhe, que Satan à pu retrouver et lui proposer, telle une magnifique pomme. 
Quel effroi de savoir que l'humanité s'est détournée des avertissements qui furent donnés pour savoir ne pas y succomber avant que cela n'advienne, tel la révélation de la Divine Volonté qui fut donné à Luisa Piccarreta par exemple, ou encore l'œuvre de la divine sagesse, et dont ce message qu'Emmanuel vient de poster qui résume beaucoup de chose à lui tout seul.

Vers la 9e minute, le présentateur commente :

 «... pensez à l'époque dont Mgr Fulton-Sheen parle ici. Il parle des XVe et XVIe siècle et il y avait une décadence morale qui a donc conduit à une révolution religieuse. Il parle de la révolution protestante, mais il met en lumière cette différence essentielle : oui, les mœurs des gens ont évolué dans un sens et dans l'autre, mais la perception de ce qui est moral et de ce qui ne l'est pas n'a pas connu le même type de changement qu'au cours des 50 ou 60 dernières années dans notre société. Si nous pensons à la période de la révolution protestante, nous penserons à Luther par exemple. Ce dernier admettait lui-même l'existence du péché, mais il croyait que nous étions sauvés en dernier ressort par notre seule foi. Ainsi, le péché, même s'il n'est pas beau à voir, ne serait pas quelque chose de grave qui condamne l'âme pour l'éternité, tant que la foi est suffisante. Et cela a conduit à l'idée ou est précurseur de l'idée, disons, d'une humaine dépravation totale, qui est très répandue chez les calvinistes, c'est-à-dire l'idée que nous serions complètement irrécupérables si ce n'est que par le sacrifice du Christ. Il y a évidemment une part de vérité là-dedans, mais nous croyons avec l'Église et via les sacrements que la grâce peut parfaire la nature et c'est pourquoi nous avons nos saints.

Donc si vous suivez cette idée d'une totale dépravation de l'humanité jusqu'au bout, vous arrivez à cette idée que, vous savez,  nous ne pourrions vraiment rien faire à part croire et qu'en fin de compte, tant que l'on a la foi nous agirons comme si nous avions la foi et que le Christ nous sauvera à la fin.

Mais, même avec ces fausses croyances religieuses, les protestants ne niaient pas l'existence du péché. Ils l'ont juste excusé. Vous voyez la différence ? Ce n'était pas comme Luther disant que l'église catholique avait tort à propos du péché parce qu'il n'y a pas de péché. L'argument était plutôt que l'Eglise catholique avait tort sur ce qu'on peut faire contre le péché. Il y a toujours du péché, et Luther a même pu dire de «pécher avec audace», dans le contexte, je le comprends. Mais à l'époque, on n'aurait pas penser que le péché n'existait pas. Il était justifié différemment tout en continuant à l'appeler péché. C'est une distinction très importante. 

À cette époque, on ne disait pas non plus que l'on pouvait changer son identité, que l'on pouvait changer sa biologie et que l'on pouvait transformer le jour en nuit, car on croyait encore à la loi naturelle.»

Bonjour

Tu est homosexuel, transgenre, tu veut te rapprocher de Dieu en Jésus dans l'Église ?

ALORS LA COMMUNION DE BÉTHANIE EST POUR TOI !

Une communion de personnes de tous horizons se rendant attentives, par la prière
d’abord, puis l’accueil et la réflexion, { toute personne traversée par des lignes de
fractures*, qu’elles soient affectives, spirituelles ou sexuelles, particulièrement les
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