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par Le mur de briques
Fin 2018 ou début 2019
Surtout, remarquez la date du songe, car depuis...
Ce songe m’a beaucoup interpelé, quand le peu de fois ou j’en ai parlé autour de moi, une vielle voisine, un contact internet, bref peu, je suis comme je l’ai déjà évoqué dans une totale et insupportable solitude.
A chaque fois j’ai insisté sur le fait que quelque chose se préparait et que ce n’était pas bon pour nous.
Voici.
Je vois un mur de briques, ce mur semble haut, car je ne distingue pas sa hauteur. Je ne prétends pas que de ce fait il est extraordinairement haut, non, ma vision est impérativement horizontale, je vois une partie de sa longueur, juste assez pour voir la scène dont je veux vous parler.
Je vois un groupe de quatre personnes qui se déplacent, l’une d’entre elles précède les trois autres et d’évidence c’est notre Seigneur Jésus. Je l’ai su dès que je L’ai vu, sans la moindre hésitation, et à l’analyse du songe j’en ai également l’immédiate et identique certitude, moi qui aie l’habitude de réfléchir au moindre élément afin de soumettre le songe à la plus terrible des critiques, la plus impartiale, la mienne !
Le Seigneur avance d’une allure déterminée. Il est sérieux, son visage montre les traits d’un homme convaincu, qui se dirige vers un lieu, un endroit où Il va agir. Il se déplace sans la moindre hésitation, le regard posé devant Lui, sans que quoi que ce soit puisse distraire sa décision.
Il est suivi à quelques mètres, assez proche quand même, je dirais entre deux et trois mètres, par trois personnages, des hommes, en groupe, en pleine discussion, et c’est très animé. Peut-être trois apôtres. Ce serait logique mais à ce propos je ne peux rien affirmer.
Le Seigneur Jésus marche quelques mètres et là je vois un autre mur, parallèle au premier mur mais celui-ci n’est pas très haut. Il s’élève jusqu’à hauteur d’épaule d’homme. Puisqu’il est parallèle il forme donc avec l’autre une sorte de couloir. Le Seigneur avançant de quelques pas passe donc entre les deux murs et de ce fait je ne vois plus que Sa tête qui avance, puis subitement et d’un coup Sa tête descend et disparaît. Elle ne descend pas à la verticale mais avec une légère oblique. Oui c’est surprenant, et surtout qu’en penser ? Les trois autres personnages qui Le suivent font exactement le même parcours.
Et donc j’imagine qu’entre ses deux murs se trouve un escalier, descendant, et ça… ce n’est pas banal, c’est même très inquiétant.
Car si notre Seigneur avance d’un pas décidé et de suite descend un escalier je ne peux qu’imaginer qu’Il vient vers nous. Et en ces circonstances, s’apercevoir que notre Dieu descend, donc vient vers nous, vers notre monde, ce n’est pas bon pour nous, mais alors là… pas bon du tout !
On l’Imagine toujours en haut et là Il descend… Je vous laisse en déduire les conclusions...
Les événements actuels, en 2020 et 2021 semblent à ce point de vue me donner hélas raison.
Et j’imagine que c’est loin d’être fini, même si au moment où j’écris ces lignes, les courbes de contamination commencent à descendre et qu’un peu partout en Europe et en Amérique on organise le déconfinement.
Crise grave, ce virus est terrible, mais d’autres choses nous attendent, car notre Seigneur n’est pas venu que pour cela. Cette crise est grave mais bien moins grave que la peste, le choléra ou la grippe espagnol.
Si cet épisode semble se terminer, ce qui n’est pas certain, c’est juste un espoir que nous avons tous, un autre épisode va probablement prendre le relais très bientôt. Dans quel domaine, la santé encore ? Aucun indice ne me donne la moindre idée en ce domaine.
Le songe s’arrête là. Depuis ce songe il y a eu beaucoup de catastrophes, incendies, inondations, tremblement de terre, tempêtes. Diverses révoltes, Algérie, Iran, Amérique du Sud, et pour l’instant le virus est toujours maître du monde.
Quant aux changements radicaux imposés par la maçonnerie, nous pensons tous être à l’extrême des possibilités et pourtant régulièrement ils imposent encore et toujours la liberté d’exercer légalement des horreurs qu’aucun être humain normal n’envisagerait sans ce type de manipulations.
Voilà ce songe terrible s’arrête là, au moment de la descente.
