"Il y a tellement de belles choses en ce monde,
Tant d'espèces, de faune et de flore,
Un ciel ouvert à tout esprit qui vagabonde,
Un feu d'amour qui nous dévore,
Des inventions sans cesse pour notre confort,
Et des endroits délaissés, immondes.
Où se trouve Justice pour tous ces torts,
Et Loyauté pour redresser cette honte ?
Alors que je voyageais par delà les monts,
Je me surpris à trouver un silence d'or,
Qui rayonnait sur toute ma vision,
Et qui m'apporta confiance et compréhension,
Sur la vie de chacun, le plus grand des trésors.
Malédiction surgit de nulle part,
Et détourna abruptement mon regard,
Vers ce qui est tentation et traquenard,
A tel point que mon esprit se perd et s'égard.
Vint ensuite amour pour consoler ce désespoir,
Et me remettre sur un chemin avec moins de brouillard.
Naïveté de l'enfance est perdue,
Et l'affront d'être homme qui se mue,
En moi me perturbe et me lance vers l'inconnue.
C'est alors comme si j'étais déchu,
Que je traverse toutes ces rues,
Et que j'avance de plus en plus nu, avec toute ma vertu.
De certains j'entendrai le cri de la folie,
Qui me sert de guide pour cet écrit,
Mais dont le temps ne m'en fait plus soucis,
Car c'est avec elle que j'ai grandi
Pour peut être sentir auprès de lui,
Cette chaleur qui nous réunie.
A toi qui traverse un désert,
Et qui espère l'oasis sans mirage,
Tu auras toujours un visage,
Pour t'aider à passer sur l'autre rivage
Dès lors que tu laisse ta rage
Pour l'amour de tes frères." MSt
Tant d'espèces, de faune et de flore,
Un ciel ouvert à tout esprit qui vagabonde,
Un feu d'amour qui nous dévore,
Des inventions sans cesse pour notre confort,
Et des endroits délaissés, immondes.
Où se trouve Justice pour tous ces torts,
Et Loyauté pour redresser cette honte ?
Alors que je voyageais par delà les monts,
Je me surpris à trouver un silence d'or,
Qui rayonnait sur toute ma vision,
Et qui m'apporta confiance et compréhension,
Sur la vie de chacun, le plus grand des trésors.
Malédiction surgit de nulle part,
Et détourna abruptement mon regard,
Vers ce qui est tentation et traquenard,
A tel point que mon esprit se perd et s'égard.
Vint ensuite amour pour consoler ce désespoir,
Et me remettre sur un chemin avec moins de brouillard.
Naïveté de l'enfance est perdue,
Et l'affront d'être homme qui se mue,
En moi me perturbe et me lance vers l'inconnue.
C'est alors comme si j'étais déchu,
Que je traverse toutes ces rues,
Et que j'avance de plus en plus nu, avec toute ma vertu.
De certains j'entendrai le cri de la folie,
Qui me sert de guide pour cet écrit,
Mais dont le temps ne m'en fait plus soucis,
Car c'est avec elle que j'ai grandi
Pour peut être sentir auprès de lui,
Cette chaleur qui nous réunie.
A toi qui traverse un désert,
Et qui espère l'oasis sans mirage,
Tu auras toujours un visage,
Pour t'aider à passer sur l'autre rivage
Dès lors que tu laisse ta rage
Pour l'amour de tes frères." MSt