Bonjour à tous,
Supposons que des personnes puissent détenir une part de vérité, que cette part de vérité soit diffusée par morcellement progressif sur les réseaux afin de ne pas brutaliser d'un coup les gens.
Je parle de brutalité car lorsque des événements nous arrivent brutalement, nous avons tendance à sur-réagir et à ne pas chercher à comprendre, mais instinctivement à nous protéger en répondant par un acte ou une pensée brutale.
Supposons qu'il ne soit pas nécessaire que ces personnes se dévoilent pour faire réagir les consciences.
Supposons alors que ces consciences prennent la mesure de cette part de vérité, et commencent à se questionner, se remettre en question plus fréquemment au lieu de suivre instinctivement ce qui se dit ou se fait d'habitude.
Supposons alors que cette attitude puisse être dommageable à la société dans son fonctionnement économique, politique, culturel etc...
Quelles seraient les mesures envisagées par les pouvoirs publics pour endiguer cette nouvelle attitude, afin de remettre en route le bon vieux système ?
La peur ? la propagande ? la désinformation ?
Supposons que nos questions nous amènent à penser qu'effectivement la royauté pourrait être envisageable.
Les personnes pourraient alors mettre dans la balance ce qui est bon et ce qui est mauvais. Rechercher des informations, se documenter sur ce qu'était la royauté auparavant etc.…
Supposons qu'une partie de ces personnes voient en cette royauté de l'ère moderne une probable issue à différents problèmes, telles la disparition de nos valeurs morales, de nos traditions, de nos coutumes, de nos modes de vies qui ont fait leurs preuves en leur temps et qui aujourd'hui nous sont enlevés, troqués pour des biens uniquement matériels, des sommes d'argent, une jouissance de la notoriété, d'un certain pouvoir.
Ces personnes auraient donc un choix à effectuer, entre perdre un peu de ce que nous avons en masse de nos jours ( ultra consommation, gâchis…. ) qui engendre des fractures multiples, causent des conflits incessants, et regagner un peu de vie commune et sereine pour le bien de tous.
Je pense que nous sommes quelque part dans ce texte. Chacun se cherche, essaie de visualiser la bonne route pour demain, sans pour autant en être certain.
Bien sûr, il subsiste les éternels réfractaires, ceux qui sont déjà dans le bon camps depuis le départ, d'une rive comme de l'autre.
Mais l'essentiel des peuples se situe au milieu, apeuré, bouleversé, désorienté entre le dernier smartphone à la mode (avec beaucoup de chance pour les pays qui sont en capacité de le fournir) et l'idée d'une autre "vie", différente de toutes ces avancées, qui ne sont pas inutiles si utilisées à bon escient, mais qui donnerait l'espoir, l'envie, le renouvellement des choses et la perpétuation de toutes ces valeurs qui ont fait que nous en sommes arrivés jusqu'ici malgré toutes ces brutalités.
Supposons alors que la demande d'une royauté soit soumise un jour, dans un ou plusieurs pays. Serait-ce un retour en arrière ? ou serait-ce un nouveau point de départ suite à une interruption temporaire de ce qui a fait que les nations soient ce qu'elles sont aujourd'hui ?
Supposons la deuxième hypothèse. Il interviendra donc des prétendants ? ou faudra t-il une demande des peuples ? Ce sera une autre bataille qui commencera pour appâter la foule du milieu, par ceux qui détenaient le pouvoir, de mettre alors des pions sur ce nouvel échiquier !
Comment différencier ce qui pourrait être bon de ce qui serait un leurre ?
Je crois qu'il est avant toute chose, bénéfique de chérir en soi l'idée d'un royaume, de le comprendre non pas à la façon barbare décrite trop souvent, mais plutôt comme un endroit où les peuples seront voués à vivre correctement, avec amour, justice et équité.
Si ce qui est annoncé ( je parle d'un retour probable d'un roi) se révèle véritable dans un jour à venir, il convient alors de le porter dans son cœur et d'en faire la demande auprès du Seigneur, intimement et personnellement, sans aucun retour. Je pense que ce serait un bien pour tous si tous ces récits de roi(s) bienveillant(s) s'avéraient confirmés.
Il ne faut pas s'attendre, je présume, à voir venir un type de ce système actuel, porter un projet politique de royauté en se servant dudit système.
Par contre, en discuter pour faire avancer le sujet est tout autre, afin de questionner, de donner un choix, de dire que rien n'est impossible, qu'un président de la république, si vielle soit elle de plus de 2 siècles, n'est pas une fatalité ! D'autant que tous ces systèmes vacillent.
Il n'est cependant pas recommandé de se hâter au risque de vouloir prendre une place qui n'est pas encore à l'heure du jour et qui, prématurément, pourrait ne plus se relever.
Le système vacille mais demeure encore debout. Les gens se questionnent cependant...
Vaut-il mieux "avoir" et supporter les effets secondaires d'une politique vieille de 2 siècles qui se dilapide à grande vitesse, ou vaut-il mieux "être" et vivre à notre façon moderne une royauté qui porta pendant plus de 15 siècles les générations de nos aïeux et qui œuvra avec une vision à long terme ?
L'idéal serait un équilibre entre ces deux auxiliaires !
Je suppose à cette heure, que mon charabia n'est que trop indigeste ! Il m'a servi cependant à écrire ce qui m'interpellait sur l'instant et à trouver un brin de sommeil
Bonne nuit.
Que le Seigneur vous protège.
Supposons que des personnes puissent détenir une part de vérité, que cette part de vérité soit diffusée par morcellement progressif sur les réseaux afin de ne pas brutaliser d'un coup les gens.
Je parle de brutalité car lorsque des événements nous arrivent brutalement, nous avons tendance à sur-réagir et à ne pas chercher à comprendre, mais instinctivement à nous protéger en répondant par un acte ou une pensée brutale.
Supposons qu'il ne soit pas nécessaire que ces personnes se dévoilent pour faire réagir les consciences.
Supposons alors que ces consciences prennent la mesure de cette part de vérité, et commencent à se questionner, se remettre en question plus fréquemment au lieu de suivre instinctivement ce qui se dit ou se fait d'habitude.
Supposons alors que cette attitude puisse être dommageable à la société dans son fonctionnement économique, politique, culturel etc...
Quelles seraient les mesures envisagées par les pouvoirs publics pour endiguer cette nouvelle attitude, afin de remettre en route le bon vieux système ?
La peur ? la propagande ? la désinformation ?
Supposons que nos questions nous amènent à penser qu'effectivement la royauté pourrait être envisageable.
Les personnes pourraient alors mettre dans la balance ce qui est bon et ce qui est mauvais. Rechercher des informations, se documenter sur ce qu'était la royauté auparavant etc.…
Supposons qu'une partie de ces personnes voient en cette royauté de l'ère moderne une probable issue à différents problèmes, telles la disparition de nos valeurs morales, de nos traditions, de nos coutumes, de nos modes de vies qui ont fait leurs preuves en leur temps et qui aujourd'hui nous sont enlevés, troqués pour des biens uniquement matériels, des sommes d'argent, une jouissance de la notoriété, d'un certain pouvoir.
Ces personnes auraient donc un choix à effectuer, entre perdre un peu de ce que nous avons en masse de nos jours ( ultra consommation, gâchis…. ) qui engendre des fractures multiples, causent des conflits incessants, et regagner un peu de vie commune et sereine pour le bien de tous.
Je pense que nous sommes quelque part dans ce texte. Chacun se cherche, essaie de visualiser la bonne route pour demain, sans pour autant en être certain.
Bien sûr, il subsiste les éternels réfractaires, ceux qui sont déjà dans le bon camps depuis le départ, d'une rive comme de l'autre.
Mais l'essentiel des peuples se situe au milieu, apeuré, bouleversé, désorienté entre le dernier smartphone à la mode (avec beaucoup de chance pour les pays qui sont en capacité de le fournir) et l'idée d'une autre "vie", différente de toutes ces avancées, qui ne sont pas inutiles si utilisées à bon escient, mais qui donnerait l'espoir, l'envie, le renouvellement des choses et la perpétuation de toutes ces valeurs qui ont fait que nous en sommes arrivés jusqu'ici malgré toutes ces brutalités.
Supposons alors que la demande d'une royauté soit soumise un jour, dans un ou plusieurs pays. Serait-ce un retour en arrière ? ou serait-ce un nouveau point de départ suite à une interruption temporaire de ce qui a fait que les nations soient ce qu'elles sont aujourd'hui ?
Supposons la deuxième hypothèse. Il interviendra donc des prétendants ? ou faudra t-il une demande des peuples ? Ce sera une autre bataille qui commencera pour appâter la foule du milieu, par ceux qui détenaient le pouvoir, de mettre alors des pions sur ce nouvel échiquier !
Comment différencier ce qui pourrait être bon de ce qui serait un leurre ?
Je crois qu'il est avant toute chose, bénéfique de chérir en soi l'idée d'un royaume, de le comprendre non pas à la façon barbare décrite trop souvent, mais plutôt comme un endroit où les peuples seront voués à vivre correctement, avec amour, justice et équité.
Si ce qui est annoncé ( je parle d'un retour probable d'un roi) se révèle véritable dans un jour à venir, il convient alors de le porter dans son cœur et d'en faire la demande auprès du Seigneur, intimement et personnellement, sans aucun retour. Je pense que ce serait un bien pour tous si tous ces récits de roi(s) bienveillant(s) s'avéraient confirmés.
Il ne faut pas s'attendre, je présume, à voir venir un type de ce système actuel, porter un projet politique de royauté en se servant dudit système.
Par contre, en discuter pour faire avancer le sujet est tout autre, afin de questionner, de donner un choix, de dire que rien n'est impossible, qu'un président de la république, si vielle soit elle de plus de 2 siècles, n'est pas une fatalité ! D'autant que tous ces systèmes vacillent.
Il n'est cependant pas recommandé de se hâter au risque de vouloir prendre une place qui n'est pas encore à l'heure du jour et qui, prématurément, pourrait ne plus se relever.
Le système vacille mais demeure encore debout. Les gens se questionnent cependant...
Vaut-il mieux "avoir" et supporter les effets secondaires d'une politique vieille de 2 siècles qui se dilapide à grande vitesse, ou vaut-il mieux "être" et vivre à notre façon moderne une royauté qui porta pendant plus de 15 siècles les générations de nos aïeux et qui œuvra avec une vision à long terme ?
L'idéal serait un équilibre entre ces deux auxiliaires !
Je suppose à cette heure, que mon charabia n'est que trop indigeste ! Il m'a servi cependant à écrire ce qui m'interpellait sur l'instant et à trouver un brin de sommeil
Bonne nuit.
Que le Seigneur vous protège.