La mort du Noir américain Georges Floyd, en juin 2020 à Minneapolis, a été suivie de manifestations dans tous les pays d'Occident, ces derniers se voyant accuser de racisme systémique. Que penser de cela ?
L'arrestation de Floyd est survenue après qu'il ait utilisé un faux billet de banque pour acheter du tabac et alors qu'il était intoxiqué aux opioïdes. Elle était donc justifiée. Toutefois, une simple arrestation n'est pas censée provoquer la mort de la personne visée (on n'est plus au Moyen Âge quand un faux-monnayeur était bouilli dans l'huile), de sorte que le policier Chauvin a, à tout le moins, fait preuve d'incompétence en utilisant un technique d'immobilisation léthale. On a d'ailleurs rapporté qu'il avait fait l'objet, par le passé, de plusieurs plaintes pour usage excessif de la force. Les activistes et les médias ont immédiatement tranché qu'il s'agissait d'un meurtre motivé par le racisme, mais cela soulève une doute, compte tenu que parmi les trois autres policiers présents, il y avait un hispanique et un asiatique. Le caractère intentionnel de la mort de Floyd soulève lui aussi un doute : la vidéo de l'événement montre des policiers rendus nerveux par un attroupement hostile et cela pourrait les avoir conduits à manquer d'attention à la dégradation de l'état de Floyd.
Le déroulement de l'agitation aux États-Unis
La bavure policière de Minneapolis a été suivie de manifestations qui se sont poursuivies pendant plusieurs semaines dans plusieurs grandes villes américaines. Elles ont été facilitées par les mesures visant à contenir la COVID, qui en fait en sorte que plusieurs personnes oisives étaient disponibles pour manifester et contentes de s'affranchir des mesures de distanciation.
Le calme commençait à peine à revenir, après deux semaines d'agitation, que la crise fut relancée par un incident survenue à Atlanta, ou un autre Noir fut abattu alors qu'il résistait violemment à son arrestation pour ivresse au volant, et qu'il menaçait un policier avec l'arme qu'il lui avait arraché des mains.
On a prétendu que les manifestations avaient été tout à fait pacifiques, ce qui est faux. L'attitude des manifestants à l'égard des forces de l'ordre chargées de les encadrer a généralement été agressive, marquée par la violence verbale et le lancement de projectiles dangereux.
De plus, on retrouvait parmi eux de nombreux criminels et militants antifas, d'ou les saccages, du pillage, le tabassage d'opposants supposés et le meurtre de policiers ou de civils cherchant à empêcher le vandalisme. Dans les faits, on a pu observer une complicité entre les manifestants "pacifiques" et les auteurs se méfaits, les premiers servant aux seconds de bouclier contre la police. Cela s'inspire d'une vieille tactique syndicale qui consiste à placer, sur une ligne de piquetage, les vieilles dames inoffensives au premier rang pour protéger les fiers-à-bras massés derrière. Les médias ont tenté de mousser la thèse risible selon laquelle la violence aurait été le fait de groupes suprémacistes blancs.
On devrait plutôt se demander pourquoi ces groupes suprémaciste et la milice de droite dont les bien-pensants s'acharnent à déplorer la férocité, ne sont pas intervenus pour faire cesser les désordres.
Les médias ont également tenté de présenter les manifestations comme une réaction spontanée de la population tout entière se révoltant contre la brutalité policière et le racisme. C'est encore là une fabrication.
Les manifestants étaient constitués pour la plupart, en outre d'un certain nombre de petits criminels issus des gangs de rue, des activistes abonnés à toutes les manifestations de gauche et d'une certaine jeunesse désoeuvrée, noire et blanche, sous l'emprise de leurs idées délétères. Certes, cela fait beaucoup de monde, mais c'est loin de constituer la majorité des Américains. De plus, tout indique que le mouvement de contestation n'avait rien de spontané.
Pour tenir des manifestations de cette ampleur dans tout le pays, avec le matériel que cela requiert (les pancartes, mais aussi les chargement de pierres à utiliser comme projectiles), il faut une préparation de longue date et d'importants moyens financiers. La gauche américaine, qui avait tout essayé sans succès, pour se défaire du président Trump, a trouvé dans l'événement de Minneapolis une nouvelle occasion de faire avancer son agenda politique. L'extrême-gauche antifa, de son côté, s'est empressée d'exploiter l'occasion qu'elle attendait depuis longtemps de montrer sa force et d'intimider la population, en particulier la partie entretenant des sympathies pour les idées de droite ou populistes.
Ce noyautage du mouvement de protestation par l'extrême-gauche explique d'ailleurs pourquoi le propos est très vite passé de la brutalité policière (le cas Floyd) au thème du racisme systémique se prêtant mieux à une exploitation révolutionnaire.
Les représentants et les alliés du courant politiquement correct, soit les médias établis, les universitaires radicaux, les vedettes du show business, les multinationales et la haute finance mondiale se sont empressés de soutenir le mouvement de protestation par tous les moyens possibles : déclarations d'appui, aide financière massive, reportages tendancieux, menaces de représailles contre ceux qui exprimaient de l'opposition ou des réticences à l'égard des actions et des revendications des manifestants. Enfin, les politiciens de tendance gauchiste, comme les élus démocrates gouvernant plusieurs grandes villes ou États, se sont montrés complices des manifestants et ont refusé d'en contrôler les excès.
(à suivre)
L'arrestation de Floyd est survenue après qu'il ait utilisé un faux billet de banque pour acheter du tabac et alors qu'il était intoxiqué aux opioïdes. Elle était donc justifiée. Toutefois, une simple arrestation n'est pas censée provoquer la mort de la personne visée (on n'est plus au Moyen Âge quand un faux-monnayeur était bouilli dans l'huile), de sorte que le policier Chauvin a, à tout le moins, fait preuve d'incompétence en utilisant un technique d'immobilisation léthale. On a d'ailleurs rapporté qu'il avait fait l'objet, par le passé, de plusieurs plaintes pour usage excessif de la force. Les activistes et les médias ont immédiatement tranché qu'il s'agissait d'un meurtre motivé par le racisme, mais cela soulève une doute, compte tenu que parmi les trois autres policiers présents, il y avait un hispanique et un asiatique. Le caractère intentionnel de la mort de Floyd soulève lui aussi un doute : la vidéo de l'événement montre des policiers rendus nerveux par un attroupement hostile et cela pourrait les avoir conduits à manquer d'attention à la dégradation de l'état de Floyd.
Le déroulement de l'agitation aux États-Unis
La bavure policière de Minneapolis a été suivie de manifestations qui se sont poursuivies pendant plusieurs semaines dans plusieurs grandes villes américaines. Elles ont été facilitées par les mesures visant à contenir la COVID, qui en fait en sorte que plusieurs personnes oisives étaient disponibles pour manifester et contentes de s'affranchir des mesures de distanciation.
Le calme commençait à peine à revenir, après deux semaines d'agitation, que la crise fut relancée par un incident survenue à Atlanta, ou un autre Noir fut abattu alors qu'il résistait violemment à son arrestation pour ivresse au volant, et qu'il menaçait un policier avec l'arme qu'il lui avait arraché des mains.
On a prétendu que les manifestations avaient été tout à fait pacifiques, ce qui est faux. L'attitude des manifestants à l'égard des forces de l'ordre chargées de les encadrer a généralement été agressive, marquée par la violence verbale et le lancement de projectiles dangereux.
De plus, on retrouvait parmi eux de nombreux criminels et militants antifas, d'ou les saccages, du pillage, le tabassage d'opposants supposés et le meurtre de policiers ou de civils cherchant à empêcher le vandalisme. Dans les faits, on a pu observer une complicité entre les manifestants "pacifiques" et les auteurs se méfaits, les premiers servant aux seconds de bouclier contre la police. Cela s'inspire d'une vieille tactique syndicale qui consiste à placer, sur une ligne de piquetage, les vieilles dames inoffensives au premier rang pour protéger les fiers-à-bras massés derrière. Les médias ont tenté de mousser la thèse risible selon laquelle la violence aurait été le fait de groupes suprémacistes blancs.
On devrait plutôt se demander pourquoi ces groupes suprémaciste et la milice de droite dont les bien-pensants s'acharnent à déplorer la férocité, ne sont pas intervenus pour faire cesser les désordres.
Les médias ont également tenté de présenter les manifestations comme une réaction spontanée de la population tout entière se révoltant contre la brutalité policière et le racisme. C'est encore là une fabrication.
Les manifestants étaient constitués pour la plupart, en outre d'un certain nombre de petits criminels issus des gangs de rue, des activistes abonnés à toutes les manifestations de gauche et d'une certaine jeunesse désoeuvrée, noire et blanche, sous l'emprise de leurs idées délétères. Certes, cela fait beaucoup de monde, mais c'est loin de constituer la majorité des Américains. De plus, tout indique que le mouvement de contestation n'avait rien de spontané.
Pour tenir des manifestations de cette ampleur dans tout le pays, avec le matériel que cela requiert (les pancartes, mais aussi les chargement de pierres à utiliser comme projectiles), il faut une préparation de longue date et d'importants moyens financiers. La gauche américaine, qui avait tout essayé sans succès, pour se défaire du président Trump, a trouvé dans l'événement de Minneapolis une nouvelle occasion de faire avancer son agenda politique. L'extrême-gauche antifa, de son côté, s'est empressée d'exploiter l'occasion qu'elle attendait depuis longtemps de montrer sa force et d'intimider la population, en particulier la partie entretenant des sympathies pour les idées de droite ou populistes.
Ce noyautage du mouvement de protestation par l'extrême-gauche explique d'ailleurs pourquoi le propos est très vite passé de la brutalité policière (le cas Floyd) au thème du racisme systémique se prêtant mieux à une exploitation révolutionnaire.
Les représentants et les alliés du courant politiquement correct, soit les médias établis, les universitaires radicaux, les vedettes du show business, les multinationales et la haute finance mondiale se sont empressés de soutenir le mouvement de protestation par tous les moyens possibles : déclarations d'appui, aide financière massive, reportages tendancieux, menaces de représailles contre ceux qui exprimaient de l'opposition ou des réticences à l'égard des actions et des revendications des manifestants. Enfin, les politiciens de tendance gauchiste, comme les élus démocrates gouvernant plusieurs grandes villes ou États, se sont montrés complices des manifestants et ont refusé d'en contrôler les excès.
(à suivre)