Bonjour à vous toutes et tous, frères et sœurs en Christ.
Je crée ce nouveau fil afin de ne pas encombrer celui de la présentation d'Etienne, par un nouveau post sur la guérison du tabagisme.
Et je vous avoue que ça me trotte dans la tête depuis déjà quelques jours de le faire, mais j'ai néanmoins voulu être sûr avant de le faire. Eh oui, par manque de foi réelle certainement !
Donc, le Seigneur m'a guéri du tabac la semaine dernière, le mardi de Pâques au matin, précisément, pendant l'Adoration après la messe.
Cela faisait trente deux ans que je fumais, sans jamais avoir pu discontinuer ne serait ce qu'une seule petite journée.
J'ai essayé mainte et mainte fois pourtant.
J'ai même été guéri de ça, il y a une quinzaine d'années, lors d'une veillée de prière de guérison à une des communautés des Béatitudes. Je n'y venais pas pour prier pour moi, mais quand j'ai ouïe la parole de connaissance annonçant qu'un homme était en train de se voir être guéri du tabac, j'ai su que c'était moi. Mais j'ai refusé, et aussitôt sorti de la chapelle, je me suis empressé d'allumer une cigarette exprès !
Mais au début du carême de cette année, j'ai fais la promesse à Jésus d’arrêter de fumer progressivement de jour en jour, pour arriver à ne plus fumer du tout lors de la semaine sainte. Mais j'ai échoué ! le nombre de cigarillos que j'avais réussi à me priver durant les deux premières du carême, je l'avais doubler en les fumant réellement quand arriva la fête des Rameaux. J'ai voulu me reprendre, et promis à notre Seigneur de réellement me forcer à stopper pour la semaine sainte.
Quand arriva le soir du vendredi Saint, j'étais en larme, seul au pied de Sa Croix, une fois que tout le monde était reparti de l’église. Je n'avais pas réussi, je n'avais pas tenu ma promesse, alors que Lui à tellement désiré souffrir ce qu'Il a souffert pour moi !
Je vous passe les fêtes de la Résurrection pour arriver au matin du mardi de l'octave de Pâques.
Comme tous les mardi, laudes à 8h45, messe à 9h00 suivit de l'Adoration jusqu'à 10h00.
Déjà, quand j'ai été lire la lecture et le psaume, j'ai été envahit d'une grande bouffée de chaleur et d'une immense paix au fond de moi.
Puis avant même de recevoir la sainte hostie, au moment de l'élévation et de l'ultime béatitude "Heureux les invités ..." je fus submergé par un sentiment immense, au point que des larmes me coulaient. C'était quelque chose d'inexprimable, une sensation de bonheur inouï, je dirai exactement comme tout le contraire d'une angoisse profonde.
Puis je communia au Corps et au Sang, il y eu la bénédiction finale, le Salve Regina, puis ce fut l'Adoration.
Et pendant ce temps d'Adoration, il s’instaura comme un dialogue intérieur entre Jésus et moi. Pas de paroles, c'était plutôt du coeur à coeur et instantané. Je savais tout de suite ce qu'Il me disait, et de même pour mes réponses. Car oui, c'était bien des réponses que je devais apporter.
Pour résumer avec des mots, je pourrai un peu le traduire comme ça, en passant sur les "je t'aime" des deux cotés, pour en arriver à ceci :
- Penses tu que je puisse te guérir du tabac ?
- Oui Seigneur !
- Le souhaites tu ?
- Oui Seigneur !
- Et bien voilà, je t'ai guéri définitivement. Le Crois tu ?
- Oui Seigneur !
- De toi même, tu ne peux rien. Ton intention de me l'offrir pour ce temps de carême était bonne, mais impossible à réaliser. Même si tu avais été dans un grand niveau de sainteté, tu ne l'aurais pas pu. Les forces infernales ont une puissance si insoupçonnée sur n'importe quel enfant du genre humain ! même si saint soit il. Moi seul puis tout ! Mais sur toi mon enfant, même si je puis tout, il me faut ton adhésion totale.
- Ô merci Seigneur ! Oui, je me donne tout à Toi !
Une autre chose également, c'est que le Seigneur m'a fait comprendre qu'Il aurait pu me faire avoir ce dialogue intérieur avec mon âme, lors de la veillée du samedi saint, ou le dimanche de Pâques, ainsi que le lundi saint. Mais Il avait attendu que ces trois jours si saints pour l'Eglise soient passés volontairement. Il a attendu que l'on soit mardi, ou tout le monde à repris le travail et que pour la grande majorité, les fêtes de la Résurrection soit passée.
Et c'est justement ce jour là que le Seigneur m'a guéri pour me signifier qu'Il est Vivant, bien existant dans nos vies, et capables de tout ... si l'on veut l’accueillir !
Voilà ainsi donc aujourd'hui huit jours qu'Il m'a guéri du tabac. Et c'est définitif, je le sais !
Et je n'ai pas besoin d'aucune compensation, à par celle de me répéter "Oui Seigneur je Te veux !"
Voilà, j'ai voulu apporter ce témoignage, car je pense qu'il est important. J'ai attendu un peu trop longtemps pour l'apporter, à mon avis. C'est que je voulais être certain que je ne re-fumerai pas ! lol
PS: pour info, je serai absent à partir de ce soir de bonne heure jusqu'à samedi. Avec mon épouse, nous allons demain à Lisieux, puis de là, vendredi, au sanctuaire international pour les âmes du Purgatoire, la basilique de Montligeon. (2 portes saintes ! )
En Union de Prière avec vous tous et tous vos défunts.
Je crée ce nouveau fil afin de ne pas encombrer celui de la présentation d'Etienne, par un nouveau post sur la guérison du tabagisme.
Et je vous avoue que ça me trotte dans la tête depuis déjà quelques jours de le faire, mais j'ai néanmoins voulu être sûr avant de le faire. Eh oui, par manque de foi réelle certainement !
Donc, le Seigneur m'a guéri du tabac la semaine dernière, le mardi de Pâques au matin, précisément, pendant l'Adoration après la messe.
Cela faisait trente deux ans que je fumais, sans jamais avoir pu discontinuer ne serait ce qu'une seule petite journée.
J'ai essayé mainte et mainte fois pourtant.
J'ai même été guéri de ça, il y a une quinzaine d'années, lors d'une veillée de prière de guérison à une des communautés des Béatitudes. Je n'y venais pas pour prier pour moi, mais quand j'ai ouïe la parole de connaissance annonçant qu'un homme était en train de se voir être guéri du tabac, j'ai su que c'était moi. Mais j'ai refusé, et aussitôt sorti de la chapelle, je me suis empressé d'allumer une cigarette exprès !
Mais au début du carême de cette année, j'ai fais la promesse à Jésus d’arrêter de fumer progressivement de jour en jour, pour arriver à ne plus fumer du tout lors de la semaine sainte. Mais j'ai échoué ! le nombre de cigarillos que j'avais réussi à me priver durant les deux premières du carême, je l'avais doubler en les fumant réellement quand arriva la fête des Rameaux. J'ai voulu me reprendre, et promis à notre Seigneur de réellement me forcer à stopper pour la semaine sainte.
Quand arriva le soir du vendredi Saint, j'étais en larme, seul au pied de Sa Croix, une fois que tout le monde était reparti de l’église. Je n'avais pas réussi, je n'avais pas tenu ma promesse, alors que Lui à tellement désiré souffrir ce qu'Il a souffert pour moi !
Je vous passe les fêtes de la Résurrection pour arriver au matin du mardi de l'octave de Pâques.
Comme tous les mardi, laudes à 8h45, messe à 9h00 suivit de l'Adoration jusqu'à 10h00.
Déjà, quand j'ai été lire la lecture et le psaume, j'ai été envahit d'une grande bouffée de chaleur et d'une immense paix au fond de moi.
Puis avant même de recevoir la sainte hostie, au moment de l'élévation et de l'ultime béatitude "Heureux les invités ..." je fus submergé par un sentiment immense, au point que des larmes me coulaient. C'était quelque chose d'inexprimable, une sensation de bonheur inouï, je dirai exactement comme tout le contraire d'une angoisse profonde.
Puis je communia au Corps et au Sang, il y eu la bénédiction finale, le Salve Regina, puis ce fut l'Adoration.
Et pendant ce temps d'Adoration, il s’instaura comme un dialogue intérieur entre Jésus et moi. Pas de paroles, c'était plutôt du coeur à coeur et instantané. Je savais tout de suite ce qu'Il me disait, et de même pour mes réponses. Car oui, c'était bien des réponses que je devais apporter.
Pour résumer avec des mots, je pourrai un peu le traduire comme ça, en passant sur les "je t'aime" des deux cotés, pour en arriver à ceci :
- Penses tu que je puisse te guérir du tabac ?
- Oui Seigneur !
- Le souhaites tu ?
- Oui Seigneur !
- Et bien voilà, je t'ai guéri définitivement. Le Crois tu ?
- Oui Seigneur !
- De toi même, tu ne peux rien. Ton intention de me l'offrir pour ce temps de carême était bonne, mais impossible à réaliser. Même si tu avais été dans un grand niveau de sainteté, tu ne l'aurais pas pu. Les forces infernales ont une puissance si insoupçonnée sur n'importe quel enfant du genre humain ! même si saint soit il. Moi seul puis tout ! Mais sur toi mon enfant, même si je puis tout, il me faut ton adhésion totale.
- Ô merci Seigneur ! Oui, je me donne tout à Toi !
Une autre chose également, c'est que le Seigneur m'a fait comprendre qu'Il aurait pu me faire avoir ce dialogue intérieur avec mon âme, lors de la veillée du samedi saint, ou le dimanche de Pâques, ainsi que le lundi saint. Mais Il avait attendu que ces trois jours si saints pour l'Eglise soient passés volontairement. Il a attendu que l'on soit mardi, ou tout le monde à repris le travail et que pour la grande majorité, les fêtes de la Résurrection soit passée.
Et c'est justement ce jour là que le Seigneur m'a guéri pour me signifier qu'Il est Vivant, bien existant dans nos vies, et capables de tout ... si l'on veut l’accueillir !
Voilà ainsi donc aujourd'hui huit jours qu'Il m'a guéri du tabac. Et c'est définitif, je le sais !
Et je n'ai pas besoin d'aucune compensation, à par celle de me répéter "Oui Seigneur je Te veux !"
Voilà, j'ai voulu apporter ce témoignage, car je pense qu'il est important. J'ai attendu un peu trop longtemps pour l'apporter, à mon avis. C'est que je voulais être certain que je ne re-fumerai pas ! lol
PS: pour info, je serai absent à partir de ce soir de bonne heure jusqu'à samedi. Avec mon épouse, nous allons demain à Lisieux, puis de là, vendredi, au sanctuaire international pour les âmes du Purgatoire, la basilique de Montligeon. (2 portes saintes ! )
En Union de Prière avec vous tous et tous vos défunts.