Bonjour,
sur ce fil je voudrais évoquer la mentalité divorceuse qui imprègne notre société et qui empoisonne même les milieux chrétiens.
Le divorce et la séparation sont des décisions graves, qui offensent Dieu et qui ne devraient être décidés qu'en situation extrêmes pour le cas où la vie est menacée, où il y a des enfants à protéger de pédophilie, etc.
L'homme ne doit pas desunir ce que Dieu a uni.
Or j'observe dans les milieux cathos "jeunes" ( style charismatique) du copié collé de la mentalité divorceuse qui fait tant de ravages dans notre société et une épidémie de demandes d'"annulations" des mariages adressées à Rome. En gros, un problème, plus ou moins grave, "doit" se solver par une séparation, un divorce, et une "annulation".
Dans ce cas, on est TOUS un jour ou l'autre tentés de le faire.
Pire que d'y être incités par la banalisation des ruptures ( pourtant très couteuses psychiquement, humainement, économiquement, médicalement parlant)
ON Y EST OBLIGES PAR LA NOUVELLE MORALE, celle qui inverse les valeurs et place les droits de l'individu avant ceux de Dieu.
Cette nouvelle morale ne considère plus comme un péché de forniquer ou d'avoir des relations préconjugales ou d'avorter...mais ce qu'elle considère comme un péché grave est d'avoir un autre Dieu que son MOi. Dans cette nouvelle morale la personne qui reste "malgré les ennuis et les problèmes n'est plus une personne obéissant à Dieu ( fidèle à sa parole), c'est une pauvre chose qui ,n'a pas le droit de se plaindre car elle devient (selon le modernisme) "responsable" de ce qu'on lui fait. Si elle a le droit de divorcer et qu'elle ne le fait pas, c'est "sa faute" si elle souffre dans un mauvais mariage. Ces mentalités sont omniprésentes chez les psys et leurs lecteurs ( qui sont surtout des lectrices). Donc aussi dans l'Education nationale.
Ce qui est surprenant est leur foisonnement dans les milieux catholiques. Il n'y a pas de logique chez une personne qui est pieuse, fervente, qui conseille de donner priorité à Dieu...et qui vous conseillera de vous séparer d'un conjoint infidèle parce que "bon, cela déplait peut-être à Dieu mais parfois c'est nécéssaire"".....
DE QUELLE NECESSITE PARLE-T-ON ici ?
A quoi à qui s'agit-il d'obéir ?
Ce type de catholique me semble au contraire propre à faire FUIR. Je n'aurais pas confiance en une Eglise qui tiendrai un discours aligné sur les tendances modernes et pour causes : elles sont anti catholiques dans leur origine et leur objectif ( voir à ce sujet les livres de l'historien Alain Pascal) même si elles sont majoritaires aujourd'hui. Je trouve l'église conciliaire de plus en plus contradictoire.
La même personne qui vous dira
sur ce fil je voudrais évoquer la mentalité divorceuse qui imprègne notre société et qui empoisonne même les milieux chrétiens.
Le divorce et la séparation sont des décisions graves, qui offensent Dieu et qui ne devraient être décidés qu'en situation extrêmes pour le cas où la vie est menacée, où il y a des enfants à protéger de pédophilie, etc.
L'homme ne doit pas desunir ce que Dieu a uni.
Or j'observe dans les milieux cathos "jeunes" ( style charismatique) du copié collé de la mentalité divorceuse qui fait tant de ravages dans notre société et une épidémie de demandes d'"annulations" des mariages adressées à Rome. En gros, un problème, plus ou moins grave, "doit" se solver par une séparation, un divorce, et une "annulation".
Dans ce cas, on est TOUS un jour ou l'autre tentés de le faire.
Pire que d'y être incités par la banalisation des ruptures ( pourtant très couteuses psychiquement, humainement, économiquement, médicalement parlant)
ON Y EST OBLIGES PAR LA NOUVELLE MORALE, celle qui inverse les valeurs et place les droits de l'individu avant ceux de Dieu.
Cette nouvelle morale ne considère plus comme un péché de forniquer ou d'avoir des relations préconjugales ou d'avorter...mais ce qu'elle considère comme un péché grave est d'avoir un autre Dieu que son MOi. Dans cette nouvelle morale la personne qui reste "malgré les ennuis et les problèmes n'est plus une personne obéissant à Dieu ( fidèle à sa parole), c'est une pauvre chose qui ,n'a pas le droit de se plaindre car elle devient (selon le modernisme) "responsable" de ce qu'on lui fait. Si elle a le droit de divorcer et qu'elle ne le fait pas, c'est "sa faute" si elle souffre dans un mauvais mariage. Ces mentalités sont omniprésentes chez les psys et leurs lecteurs ( qui sont surtout des lectrices). Donc aussi dans l'Education nationale.
Ce qui est surprenant est leur foisonnement dans les milieux catholiques. Il n'y a pas de logique chez une personne qui est pieuse, fervente, qui conseille de donner priorité à Dieu...et qui vous conseillera de vous séparer d'un conjoint infidèle parce que "bon, cela déplait peut-être à Dieu mais parfois c'est nécéssaire"".....
DE QUELLE NECESSITE PARLE-T-ON ici ?
A quoi à qui s'agit-il d'obéir ?
Ce type de catholique me semble au contraire propre à faire FUIR. Je n'aurais pas confiance en une Eglise qui tiendrai un discours aligné sur les tendances modernes et pour causes : elles sont anti catholiques dans leur origine et leur objectif ( voir à ce sujet les livres de l'historien Alain Pascal) même si elles sont majoritaires aujourd'hui. Je trouve l'église conciliaire de plus en plus contradictoire.
La même personne qui vous dira