Ouvrir les églises

Bonjour, 

Je dois ouvrir les églises samedi et dimanche. 
Mais dimanche nous sommes quatre ou cinq à venir. 

J'ai peur d'être contaminé même si je dois travailler. 

Fraternellement

mariejesus a écrit:Bonjour, 

Je dois ouvrir les églises samedi et dimanche. i
Mais dimanche nous sommes quatre ou cinq à venir. 

J'ai peur d'être contaminé même si je dois travailler. 

Fraternellement

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Bonjour MarieJesus 

N'ai pas peur MarieJesus  la Vierge est la ! et si vous restez à une  distance de 1 mètre les unes des autres  il n'y a pas de danger  bien se laver les mains surtout .

Va en paix ma soeur   bisous du coeut  ....amicalement Myriam 

Il n'est pas besoin d'être dans une église pour prier.

Darby Bible
Matthieu 6:
5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense.
6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.
7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés.…

florence_yvonne a écrit:Il n'est pas besoin d'être dans une église pour prier.

Darby Bible
Matthieu 6:
5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense.
6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.
7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés.…

Florence-Yvonne  ou bien sur on  n'est pas obliger de prier dans une église !  on peut le faire chez sois et autant de fois que l'on le désire .Avant la pandemie j'avais du mal a trouver une église ouverte( village de mon enfance ) le dimanche un prêtre pour 5 clochers  donc  la messe une fois tout les 15 jours ; ici ou j'habite c'est 1 fois par mois, donc il faut se rendre dans d'autres églises qui ne sont pas forcement à coté de  chez soi . prier chez soi oui , mais il bon aussi de voir le prêtre dire la messe, et de se retrouver entre chretiens sinon on ressent  tres vite l'isolement ..vivement la fin de la pandemie et que tout redevienne comme avant .
Pas de veine parole ni de blabla et reciter comme un perroquet non ! pas çà ! il faut prier sinceremet avec son coeur  je recite le notre père ,prière modèle que Jesus a enseigner a ses apotres , ensuite c'est un dialogue avec Dieu  je lui parle de ce qui me préocupe .

La messe est diffusée avec un petit comité de prêtres sur France 2 le dimanche matin à 11 heures

florence_yvonne a écrit:La messe est diffusée avec un petit comité de prêtres sur France 2 le dimanche matin à 11 heures

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Bonjour Folorence Yvonne  et à  vous tous ici 

Florence-Yvonne ...je viens de regarder la 15 bfmtv et sur KTO avec Mrg Michel Aupetit  sur l'adoration de couronne d'épine ,oui :en petit comité aussi mais tres intense 

Merci de pous informer pour la messe du dimanche 

Bon vendredi saint 

Je n'ai pas la chaîne KTO

florence_yvonne a écrit:Je n'ai pas la chaîne KTO

Je  l'ai par internet !  sinon sur la télé numérique je ne l'ai pas

Moi, j'ai canal grâce à une parabole. mais pas canal +

Je n'ai plus de parabole, mais le râteau donc numérique, çà me rend bien service en cas de panne internet 
J'ai decouvert KTO par hasard enfin ! plutot mon maris qui y est tombé dessus en zappan , j'avoue qu'il y a quelques mois çà ne m'interréssé pas du tout la messe  lol

:quebec:je suis du Quebec @Myriam je crois que tu l'es aussi. On parle de messe sur ce fil. Je voudrais y ajouter mon petit grain de sel et partager ce que je pense de la messe.
Premièrement pendant cette pandémie les églises sont fermés dans ma paroisse et les alentours. je trouve ça correct.
J'habite dans une paroisse ou il y a une messe sur semaine et deux la fin de semaine. Je me trouve chanceuse. Comme je reste pas loin de mon église à quelques minutes à pied, lorsque je prends une marche au début je n'osais pas parce que j'ai plus de 70 ans. Mais, maintenant j'y vais très tôt comme ça je ne rencontre personne ou pratiquement personne.Je fais attention maintenant les trottoirs sont sur l'asphalte moins de danger de tombe et de se faire des fractures. 
alors lorsque je vais faire ma marche je passe devant l'église je m'agenouille sur les marches et fais un signe de la croix parce que Jésus est présent dans le tabernacle. Et comme on ne peut y entrer je le fais dehors. Avant la pandémie j'allais souvent dans l'après-midi à l'église pour prier. Une anecdote aussi un jour je suis à la pharmacie et une dame d'a peur du même âge que moi me disait ha! moi je l'écoute à la télé pas besoin de se rendre à l'église l'hostie ce n'est que du pain et de l'eau.
Voilà ce que l'on en pense aujourd'hui de la messe, il ne faut pas s'étonner que les églises sont vides.
Je me rappelle avant dans mon enfance les gens allaient tous à l'église et les églises étaient pleines et même au balcon c'était plein. (je parle du balcon parce que au Quebec nos églises ont presque toutes des balcons, c'était pour loger plus de personnes et c'étaient plein en bas comme en haut).
Naturellement c'était un habitude une sortie du dimanche.On se mettaient tous sur notre 36 et on allaient à la messe. On ne connaissait pas tous vraiment la valeur de la messe, mais on y allaient.

Aujourd'hui, la différence, c'est que ceux qui y vont sont plus conscient de ce qu'ils font. Et c'est bien comme ça.
Aujourd'hui les églises sont vide et ça m'attriste. Je me dis que si les gens tout autour de cette belle église savaient ce qu'il manquent en restant chez-eux.
La messe est un cadeaux que Dieu nous à fait pour que tout les gens se regroupent et viennent l'adorer et en même temps qu'il reçoivent toutes les grâces que Dieu veut nous donner. Il faut par contre ouvrir notre coeur et vouloir les accepter. Il faut y croire. Même si on est dupe ben on fait un effort et Dieu voit notre démarche et il est content.

Alors, si on va à la messe ce n'est pas pour se faire voir pour bien paraître mais pour aller rencontrer notre Dieu dans son tabernacle et le recevoir dans notre coeur.

Jésus a institué l'Eucharistie pour se rendre encore plus proche de nous.
J'ai hâte que les églises puissent ouvrir leur porte.

Enfant, ma grand-mère m’emmenait à la messe, je ne pouvais pas donner mon avis, je trouvais ça long et puis se lever, s’asseoir et se lever, cela ne me plaisait pas du tout enfin, j'avais l'ostie qui se collait sur le voile de mon palais et j'avais du mal à le décrocher.

florence_yvonne a écrit:Enfant, ma grand-mère m’emmenait à la messe, je ne pouvais pas donner mon avis, je trouvais ça long et puis se lever, s’asseoir et se lever, cela ne me plaisait pas du tout enfin, j'avais l'ostie qui se collait sur le voile de mon palais et j'avais du mal à le décrocher.

tu me fais rire ce matin. Moi aussi j'ai essayé d'emmener mes petits enfants ils n'étaient pas très coopératifs.
Dommage

Moi, je n'avais vraiment pas les choix.

florence_yvonne a écrit:Moi, je n'avais vraiment pas les choix.

Ouais dans notre temps on avait pas le choix non plus.
Peut-être que ta Grand-Mère faisait comme ça lui ait été fait. Pas le choix on y va. Mais, par contre tout le monde était dans le même bateau.
On aurait bien pleurer si on nous l'aurait interdit de ne pas y aller.

Bonjour,

Carmilla a écrit:Une anecdote aussi un jour je suis à la pharmacie et une dame d'à peu près du même âge que moi me disait ha! moi je l'écoute à la télé pas besoin de se rendre à l'église l'hostie ce n'est que du pain et de l'eau.

Oui ... c'est bien le genre de chose que l'on peut entendre à l'occasion et provenant de personnes qui sont certaines d'être catholiques, que l'on pourrait croiser à l'église. On imagine les autres, le 95% de la masse qui n'a plus mis les pieds dans une église depuis cinquante ans ! Hors mariage et enterrement, je veux dire. 


J'échangeais avec le nouveau vicaire de ma paroisse,  il y a deux semaines. Il ne disait qu'il avait bien l'intention de reprendre en main la catéchèse faite aux enfants. Il s'était rendu compte que les bonnes dames, bénévoles indéracinables depuis des années et des années, racontaient n'importe quoi aux jeunes, des idées parfaitement contraires à la foi catholique. En particulier : ces très chères disaient aux enfants qu'il n'y avait aucune nécessité de venir à l'église. Un bon chrétien ne serait jamais obligé de venir à l'église, même pas le dimanche. Non, chez soi, ce serait pareil. Une hérésie naturellement.

 Parce que nous avons des coreligionnaires qui ne savent même pas que Dieu est réellement présent dans un endroit très précis, le lieu consacré qui est l'église. Soixante ans d'assistance à la messe, et le bon ou la bonne paroissienne ne savent même pas ça. Le premier rudiment ... ignorance, oubli ... On dort. Zzzz ! Prière de ne pas réveiller. 


J'en aurai profité pour glisser gentiment à mon vicaire, sans nommer de nom, cette fois ou c'est une autre bénévole qui faisait les préparations au baptême depuis des décades, qui m'aura confié à moi que l'enfer n'existait pas. "Pff ! des inventions ... Tout le monde va au paradis." 


Quand j'aurai fait du bénévolat pour une autre paroisse, c'est la grande patronne responsable de l'encadrement des bénévoles qui me fait savoir un autre jour qu'elle ne croyait pas au sacrement de la réconciliation. 

En été, je me trouvais à discuter avec elle dans l'église et les portes étaient ouvertes. Un passant en profite pour entrer et vient vers nous pour s'enquérir des horaires pour la confession. Après son départ, c'est là qu'elle laisse tomber à mon intention, faisant une moue dédaigneuse : "Ah ! Ça ... la confession avec le curé ... peut-être pour ceux qui croient encore à ça ..." Traduction : ce n'était pas pour elle parce qu'elle mais il n'y croyait pas. La responsable de l'équipe des bénévoles à l'église ... qui assiste pourtant à la messe fidèlement chaque dimanche. Elle ne se confesse jamais, jamais quand on dit jamais. Cela aussi, je le lui ai dit. Non pas pour diffamer, pas pour médire. Un simple constat. Partant de mon récit vrai, le curé ne peut pas savoir de qui il s'agit au juste. 

Donc, vous ne me verrez pas surpris d'apprendre comment beaucoup vont trouver fantastiques les célébrations à la télé. Des messes virtuelles partout. On pourrait peut-être faire cela à l'année remarquez. Pour une foi virtuelle ... 



Trop cool

Pilgrim a écrit:Bonjour,

Carmilla a écrit:Une anecdote aussi un jour je suis à la pharmacie et une dame d'à peu près du même âge que moi me disait ha! moi je l'écoute à la télé pas besoin de se rendre à l'église l'hostie ce n'est que du pain et de l'eau.

Oui ... c'est bien le genre de chose que l'on peut entendre à l'occasion et provenant de personnes qui sont certaines d'être catholiques, que l'on pourrait croiser à l'église. On imagine les autres, le 95% de la masse qui n'a plus mis les pieds dans une église depuis cinquante ans ! Hors mariage et enterrement, je veux dire. 


J'échangeais avec le nouveau vicaire de ma paroisse,  il y a deux semaines. Il ne disait qu'il avait bien l'intention de reprendre en main la catéchèse faite aux enfants. Il s'était rendu compte que les bonnes dames, bénévoles indéracinables depuis des années et des années, racontaient n'importe quoi aux jeunes, des idées parfaitement contraires à la foi catholique. En particulier : ces très chères disaient aux enfants qu'il n'y avait aucune nécessité de venir à l'église. Un bon chrétien ne serait jamais obligé de venir à l'église, même pas le dimanche. Non, chez soi, ce serait pareil. Une hérésie naturellement.

 Parce que nous avons des coreligionnaires qui ne savent même pas que Dieu est réellement présent dans un endroit très précis, le lieu consacré qui est l'église. Soixante ans d'assistance à la messe, et le bon ou la bonne paroissienne ne savent même pas ça. Le premier rudiment ... ignorance, oubli ... On dort. Zzzz ! Prière de ne pas réveiller. 


J'en aurai profité pour glisser gentiment à mon vicaire, sans nommer de nom, cette fois ou c'est une autre bénévole qui faisait les préparations au baptême depuis des décades, qui m'aura confié à moi que l'enfer n'existait pas. "Pff ! des inventions ... Tout le monde va au paradis." 


Quand j'aurai fait du bénévolat pour une autre paroisse, c'est la grande patronne responsable de l'encadrement des bénévoles qui me fait savoir un autre jour qu'elle ne croyait pas au sacrement de la réconciliation. 

En été, je me trouvais à discuter avec elle dans l'église et les portes étaient ouvertes. Un passant en profite pour entrer et vient vers nous pour s'enquérir des horaires pour la confession. Après son départ, c'est là qu'elle laisse tomber à mon intention, faisant une moue dédaigneuse : "Ah ! Ça ... la confession avec le curé ... peut-être pour ceux qui croient encore à ça ..." Traduction : ce n'était pas pour elle parce qu'elle mais il n'y croyait pas. La responsable de l'équipe des bénévoles à l'église ... qui assiste pourtant à la messe fidèlement chaque dimanche. Elle ne se confesse jamais, jamais quand on dit jamais. Cela aussi, je le lui ai dit. Non pas pour diffamer, pas pour médire. Un simple constat. Partant de mon récit vrai, le curé ne peut pas savoir de qui il s'agit au juste. 

Donc, vous ne me verrez pas surpris d'apprendre comment beaucoup vont trouver fantastiques les célébrations à la télé. Des messes virtuelles partout. On pourrait peut-être faire cela à l'année remarquez. Pour une foi virtuelle ... 



Trop cool

J'ai été surprise moi aussi même dernièrement du comportement d'une bénévole envers son Curé. Et se qui m'agace c'est qu'on ne l'appelle plus M.l' Abbé ou Père on dit son prénom et c'est tout.
Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !
C'est un sacrement qui est très important pour moi. Parfois je me rend au confessionnal et j'ai les épaules lourdes ça ne me tente pas trop. Mais j'ai remarqué qu'après la messe  je m'en revenais toute joyeuse.
C'est ce que fait la confession ça nous vivivifie ce n'est pas seulement pour la Pâque ou Noël surtout pas.

Carmilla a écrit:C'est ce que fait la confession ça nous vivifie ce n'est pas seulement pour la Pâque ou Noël surtout pas.

 Tout à fait.

 Mais encore faut-il avoir eu cette chance de le découvrir soi-même. Il s'agit toujours d'une grâce. Il s'agit toujours de l'activité de Dieu qui peut nous révéler ça et moyennant le fait pour nous de nous mettre en marche, d'y faire ce minime effort d'aller à Dieu et au travers du sacrement. Celui qui ne s'expose pas, ne prend pas le risque non plus de voir ses idées négatives préconçues y être chamboulées positivement. Il n'y a pas de progrès pour la personne.

Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !

Arf !


Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?


 Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant. 


Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.

Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ... 

Mais bon ... 

Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage. 

 

La critique est facile, l'art difficile ?

Pilgrim a écrit:

Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !

Arf !


Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?


 Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant. 


Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.

Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ... 

Mais bon ... 

Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage. 

 

La critique est facile, l'art difficile ?

Oui tout à fait la critique est facile.
Elle doit faire partie du lavement des pieds. C'est ce que représente pour moi le lavement des pieds.
J'ai peut-être tord. 
Mais comme tu dis c'est pas facile. 
Il y a de ça quelques temps je parlais justement à une personne qui fait la préparation à la communion. Et j'avais accompagné une fois ma petite fille  à son cour.
Je trouvais que ce que j'avais vu et entendu n'était pas très fort. Mais bon. 
Je me serais jamais permis de lui faire une critique ou mon point de vue. Surtout que moi je ne m'implique pas dans ces choses là, alors qui suis-je pour critiquer.
Mais, un jour en parlant avec elle je lui disais que j'aimais bien aller à cet endroit parce qu'il y a aussi la confession. J'ai vu sa réaction ça fait un petit toc dans son visage. J'ai compris que je l'avais touché. Je me dis que Dieu va faire le reste.

Pilgrim a écrit:

Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !

Arf !


Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?


 Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant. 


Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.

Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ... 

Mais bon ... 

Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage. 

 

La critique est facile, l'art difficile ?

On ne prépare ne prépare pas les enfants au baptême, on les baptise et c'est tout.

florence_yvonne a écrit:

Pilgrim a écrit:

Mais, j'espère que tu ne me mets pas dans celle qui ne vont plus à la confesse !

Arf !


Non, j'aurais l'air de critiquer comme ça (un peu ?), plus haut, de pointer quelqu'un du doigt ?


 Disons plutôt que je me désolerais pour une situation constatée. Comme voir des catéchètes à l'église qui ruinent proprement (par ignorance sans doute) la pensée de l'Église catholique, auprès de jeunes enfants qui leur sont confiés. Navrant. 


Pour ceux qui méconnaissent la valeur du sacrement du pardon : je ne leur jette pas la pierre. Moi-même, je n'en ai rien su pendant tellement longtemps. Personne ne m'aura jamais vanté les vertus de ce sacrement non plus. Mes yeux ont été dessillés là-dessus il y a peu. De l'extérieur, la chose ressemble surtout à un truc moralisant et bien propre à vous créer des scrupules, un sentiment permanent d'être coupable. Beurk ! Rien d'intéressant. Naturellement, c'est juste ça que "tout le monde" va penser. Sauf qu'il ne s'agit pas de cela en réalité.

Je dirais que c'est peut-être un peu plus grave, sur le plan personnel, pour la bonne personne qui prépare des adultes ou des enfants au baptême, et qui s'obstinerait à nier l'enfer, qui est pourtant un mystère révélé et que notre Église catholique nous demande de croire. Parce qu'il n'est pas normal, ce me semble, de n'avoir pas la curiosité d'apprendre ce qu'enseigne l'Église catholique sur des points fondamentaux et quand on voudrait y jouer une sorte de rôle de formateur. Il peut y avoir là comme une paresse coupable ... 

Mais bon ... 

Je sais bien qu'il y a intérêt à pratiquer une certaine mansuétude à l'égard d'autrui, leurs manques, faiblesses ou autre. Une certaine réalité existante demeure là quand même. Et alors possible que la correction fraternelle serait un art à développer davantage. 

 

La critique est facile, l'art difficile ?

On ne prépare ne prépare pas les enfants au baptême, on les baptise et c'est tout.

Pour le baptême d' un adulte oui on le prépare à recevoir ce sacrement.
tandis que les bébés il y a un enseignement qui est fait aux parents.

Ce qui me dérange c'est que le fidèle qui vient il fait mon travail

mariejesus a écrit:Ce qui me dérange c'est que le fidèle qui vient il fait mon travail

On t'a oublié MarieJésus